Dans une révélation surprenante, Joseph Schor du SCHOR GROUP a annoncé que son équipe de recherche a mis en évidence une énorme salle sous le Sphinx, « qui a à peu près 25 x 40 pieds… à peu près 35 pieds sous le sol. Les murs sont parallèles. Nous sommes sur à 99% qu’il y a une chambre là, mais nous devons l’ouvrir pour le prouver. D’une manière ou d’une autre, nous allons essayer de trouver la solution ». L’annonce est venue durant la Conférence d’août de l’ASSOCIATION OF RESEARCH AND ENLIGHTENMENT (A.R.E.), à Virginia Beach [Association qui détient les archives d’Edgar Cayce].
L’expédition Schor a passé trois semaines en Avril 1996 à la recherche du légendaire « Hall of Records » [la « bibliothèque atlante »], prédite par le voyant Edgar Cayce.
L’équipe a utilisé une ligne de radars sophistiquée, que Schor prétend être supérieure aux instruments résistifs et acoustiques utilisés par le STANFORD RESEARCH INSTITUTE
(SRI) il y a 20 ans. En ce temps là, le SRI a détecté des anomalies sous le Sphinx qui, lorsqu’on y a foré des trous, se sont avérés n’être rien de plus que des cavités naturelles du rocher.
Zahi Hawass, Directeur des Antiquités pour le plateau de Gizeh, est sceptique à propos de ces nouvelles, disant que « la précision du radar dans la description des anomalies souterraines n’est toujours pas prouvée » et exige une interprétation indépendante des résultats. John Von Auken, Directeur Exécutif de l’A.R.E., travaille avec Shor pour satisfaire la requête de Hawas, en disant « Nous demanderons à une institution qui fait autorité en la matière d’interpréter les données ». Suivant Hawass, forer ou creuser sur le site est hors de question en ce moment.
Schor pense qu’il pourrait y avoir une autre voie. Son radar a aussi montré l’existence d’un tunnel conduisant de la chambre jusqu’à six pieds sous la surface. Il pressent que ce conduit pourrait être vite ouvert et nettoyé sans forage, si les officiels Egyptiens donnaient une autorisation de travail. Le Groupe Schor est aussi intéressé à l’exploration de tout le plateau de Gizeh avec leur équipement Radar, mais cela demande une autorisation séparée.
Dans un communiqué séparé, Hawass a accepté d’autoriser une exploration complémentaire dans la Grande Pyramide, qui avait été sujet à controverse, depuis qu’un tout petit robot a découvert une porte au bout d’un conduit en 1993. Jusqu’à ce jour, Hawass avait refusé toute exploration complémentaire, disant que la préservation des monuments était sa première priorité.
(Source: A. Robert Smith, VENTURE INWARD, Sept-Oct/97) , traduit par Philippe L.
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3 réflexions sur « L’énigme du Sphinx… »
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