J’aimerai vous répondre sur l’envie qu’une personne peut avoir de supprimer la vie qui coule en elle lors d’une forte dépression ou d’une fuite en avant. Vous me dites que vous vous intéressez depuis 10 ans à cette approche finale qu’est la mort et qui nous concerne tous. Vous devez donc savoir que c’est une continuité. De nombreux livres sacrés parlent de ce passage et certains médecins se sont trouvés devant des cas particuliers de gens cliniquement morts et qui ont pu raconter leurs propres impressions. Si il y a continuité, il y a également souvenir des expériences vécues. On n’efface pas la souffrance que l’on a en soi par la mort. Au contraire n’ayant plus le support physique, les sentiments ou les émotions se propagent d’une façon différente mais ne s’altèrent pas. Pour preuve, les personnes qui ont vécu certaines expériences dans ce domaine ont éprouvé des joies, des peines ou de la terreur suivant leur approche d’un de ces autres mondes. Ne ressentez-vous pas cela ?
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