J’ai imaginé les caractéristiques de la matière physique bien connue, mais aussi de la matière émotionnelle, mentale et spirituelle. Je suis arrivé à la conclusion que ces différents types de matière n’interagissent pas entre eux, sauf au sein des êtres vivants. Leurs différents corps, formés de chaque type de matière, y sont liés par l’étincelle « d’énergie divine » qui se cache en toute chose. Voilà pourquoi la matière physique étudiée en laboratoire, hors de tout être vivant, n’interagit qu’avec elle-même.
C’est ainsi qu’au-delà de notre monde physique peuvent coexister des mondes émotionnels, mentaux ou spirituels, sans que nous puissions en soupçonner l’existence. Ce monde émotionnel est souvent appelé Astral, et l’ensemble de ces mondes sont aussi qualifiés de subtils.
Ma théorie fait un pont entre les caractéristiques de la matière physique connue et cette matière subtile. Cela facilita sans nul doute, mon assimilation et ma bienveillance envers les grands principes énoncés par la Tradition depuis des siècles : d’après elle, la personnalité de chaque être humain est composée de plusieurs corps :
– un corps physique dont le cerveau n’est qu’un simple transformateur d’informations matérielles en émotions ou pensées pures, – un corps vital dit aussi éthérique. Il est le prolongement subtil de ce dernier, – un corps émotionnel aussi appelé astral. Il est le siège des émotions où chaque onde-corpuscule de matière émotionnelle ne représente qu’une émotion, – un corps mental, siège des pensées. L’homme possède également des corps spirituels, mais ils n’entrent pas dans la composition de la personnalité humaine incarnée.
Dans la glande pinéale au centre du cerveau, un « mécanisme » que seuls quelques initiés ou privilégiés savent manipuler, empêche le cerveau de prendre conscience que l’origine réelle des pensées et des émotions se situe ailleurs. Durant le sommeil du corps physique, les corps subtils s’en détachent, même de trente centimètres seulement, afin de se « recharger » en énergie émotionnelle et mentale indispensable à leur fonctionnement. Il arrive aussi que les corps subtils vivent en Astral des aventures, des rencontres, avec une vitesse de pensée infiniment plus rapide que le cerveau physique. Au réveil, ce « mécanisme » déforme le vécu astral, ce que le cerveau tente de reconstituer au travers d’une imagerie souvent fictive, que l’on nomme les rêves.
Ce que l’on nomme un rêve n’est que le vague souvenir déformé que garde parfois le cerveau de nos voyages nocturnes. Ceux-ci sont une soupape de sécurité, un retour aux sources, à notre être intérieur spirituel. Ils permettent aussi de se recharger en énergie émotionnelle et mentale qu’utilise la conscience pour se manifester au travers du cerveau et du corps physique. On garde rarement le souvenir de ces escapades, et pourtant, elles influencent notablement nos comportements dans la journée.
Enfin, d’autres « mécanismes », plus subtils, empêchent la personnalité de tout être humain, sauf exception, d’avoir conscience de l’existence de ses autres corps spirituels, et à travers eux, de ses vies antérieures. En effet, si à la mort le corps physique meurt immédiatement, les corps émotionnel et mental persistent quelque temps : le temps nécessaire à une parfaite assimilation des expériences vécues dans le corps physique. Une fois cela fait, ces deux corps se dissolvent et la quintessence de la personnalité fusionne avec notre corps spirituel qui est le seul à conserver le souvenir de toutes nos incarnations. À chaque naissance, le corps spirituel forgera une nouvelle personnalité à la mesure des expériences qu’il désire vivre, un peu comme un écolier avant une année scolaire, qui déciderait des cours qu’il veut suivre.
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