Voici un curieux petit fascicule (tapé à la machine à écrire) qui m’a été envoyé dans les années 70. C’est un condensé (33 pages) du livre qui n’a jamais, je pense, été traduit en France. Ce contact extraterrestre date de 1952, il y a donc 50 ans et pourtant certains passages sont tout à fait d’actualité. Je vais le placer en ligne petit à petit. Vous pourrez ainsi le télécharger…

[Claude B. – le 24-02-02]

Extraits tirés du livre de Monsieur Dino Kraspedon :

« MY CONTACT WITH FLYING SAUCERS »

…Les événements décrits dans ce livre ont été tenus secrets depuis Novembre 1952. Nous tenions à tout prix à garder le silence, de crainte d’être ridiculisés par ceux qui ne croient qu’à la vie terrestre et ne peuvent admettre l’existence d’autres êtres humains, dans notre système solaire, qui soient capables de raisonner aussi bien que nous, sinon mieux, sur des questions scientifiques.

Cela ne veut pas dire que notre croyance à l’existence d’autres mondes habités, en plus de notre « coquille de noix », dont nous sommes si fiers, ne soit qu’un acte de foi, car nous sommes convaincus qu’il est très possible que le vie ne soit pas un simple accident qui se serait produit sur un globe n’ayant rien de bien particulier : notre Terre. Si notre hypothèse est raisonnable, il est également possible que nous puissions échanger nos vues et conceptions scientifiques, spirituelles et autres, avec les habitants des autres planètes.

Ce livre ne renferme qu’un résumé succinct des renseignements reçus. Certains faits doivent demeurer secrets, d’après notre conception du devoir, en partie parce que notre informateur nous l’a demandé, en partie parce que nous en avons jugé ainsi.

Nous nous sommes bornés à répéter ce que nous avons entendu. Evidemment les mots imprimés ici ne sont pas les mêmes utilisés par le Capitaine. Même si nous avions reproduit textuellement ses paroles, nous n’aurions pas pu reproduire son message dans son intégralité.

Si nous recevions ultérieurement une confirmation des conceptions énoncées dans ce livre, celui-ci serait peut-être considéré alors, comme une importante contribution dans l’éclaircissement du mystère des « M.O.C », comme on dit. Mais si elles ne l’étaient pas, nous deviendrions alors les cibles de ceux qui nous traiteraient alors d’imposteurs, de mystificateurs. Nous nous rendons fort bien compte des risques que nous prenons, si nous étions les dupes d’une cruelle tromperie, mais nous demeurons inébranlables…