Une rencontre OVNI extraordinaire.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2004
Une rencontre OVNI extraordinaire.
Voici un témoignage assez extraordinaire raconté dans le livre : « Nous ne sommes pas seuls dans l’espace » écrit par Gordon Cooper astronaute de la Nasa. Je tenais à vous le faire connaître car certaines vidéo montrent ce type de vaisseau. C’est la partie la plus intéressante du livre…

Cette rencontre avec un OVNI se déroule en 1950 et a pour témoin Dan Fry scientifique spécialisé dans les fusées, chercheur, ingénieur en électronique.

« Un soir du 4 juillet 1950 , Dan avait l’intention d’aller à Las Cruces avec d’autres scientifiques et chercheurs de White Sands pour dîner et voir les feux d’artifice de la fête de l’indépendance. La majorité du groupe d’Aerojet General était partie dans une voiture de société tôt dans l’après-midi, mais Dan était resté pour terminer du travail. Il voulait prendre un car descendant en ville plus tard pour rejoindre les autres. Il a raté la dernière navette et s’est retrouvé bloqué sur une base pratiquement déserte avec rien d’autre à faire sinon s’asseoir dans sa chambre et lire.

Vers 20h30, il a décidé d’aller marcher. Il est sorti par une nuit étoilée et s’est dirigé vers le banc d’essai statique du V2 sur lequel l’équipe Aerojet avait monté un nouveau moteur-fusée de grande taille. Le banc d’essai était à près de 2 km des installations.

A mi-chemin environ, il a changé de cap, empruntant une piste qui menait au pied des Organ Mountains. La piste n’était rien d’autre qu’une paire d’ornières dans le désert et il s’est vite retrouvé dans les dunes de sable. Le soleil s’était couché une heure plus tôt, mais il y avait toujours assez de lumière pour marcher.

Il a parcouru le ciel clair du regard, observant un groupe d’étoiles brillantes juste au-dessus des sommets. A ce moment-là, l’une des étoiles s’est soudain éteinte. Il savait que les étoiles ne s’éteignent pas comme ça surtout dans un ciel nocturne sans nuage. Quelque chose avait du l’éclipser.

Si s’était un avion, il lui aurait fallu une ou deux secondes pour passer devant l’étoile et celle-ci serait redevenue visible. Mais ce n’était pas le cas. Il s’avait qu’on ne lâchait pas de ballons météo la nuit et que, dans tous les cas de figure, un ballon-sonde serait monté rapidement et n’aurait éclipsé l’étoile que quelques secondes.

Puis, une autre étoile a disparu, suivie de deux autres. Dan s’est arrêté net.

Ce qui cachait la vue des étoiles devait augmenter rapidement en taille. Il a attendu, puis il a vu un objet sombre s’approchant de l’endroit où il se tenait.

Une fois l’engin plus proche, il a compris pourquoi il ne l’avait pas remarqué plus tôt : sa couleur était quasiment identique à celle de la nuit.

Sa première idée a été de fuir mais, par sa longue expérience avec les fusées, il savait qu’il était inutile de fuir un objet tant que l’on est pas certain de sa trajectoire. Vous pouvez tout aussi bien courir justement dans une direction qui croiserait cette trajectoire.

Lorsque l’objet a été à environ 30 mètres, il a pu distinguer une forme de sphère avançant lentement vers lui. Cette vitesse réduite le rassurait. L’engin ne donnait pourtant pas l’impression qu’il allait tomber. Quel que soit son système de guidage, tout semblait être entièrement contrôlé. Dan l’a regardé glisser ainsi pour atterrir doucement à une vingtaine de mètres.

Le seul bruit était le craquement des buissons, puisque la manoeuvre de l’appareil avait été silencieuse. Aucune hélice ne fouettant l’air, pas de gaz incandescents s’enflammant et sortant en rugissant de tuyères quelconques.

Quoi qu’est pu être cet engin, il avait manoeuvré avec une grande efficacité et sans efforts en violant les lois de la gravité. Dan a eu alors le sentiment très fort que l’objet n’avait pas été construit en Union Soviétique, mais ailleurs que sur Terre.

Le scientifique en lui a repris le dessus pour essayer de trouver une façon de gérer la situation. Il pouvait revenir à la base et signaler l’engin ou trouver quelqu’un des autorités militaires et revenir avec des témoins. Et si l’objet s’envolait pendant ce temps ? Il n’y aurait plus qu’un tas de buissons écrasés. Que pourrait-on apprendre avec ça ?

Il a donc décidé d’enquêter lui-même et s’est approché lentement de l’objet, à quelques mètres à peine. L’objet avait environ 10 mètres de diamètre en son point le plus large, qui se trouvait à près de 2 mètres du sol. La hauteur de l’objet devait être de 5 à 6 mètres. Sa courbure était telle que, de dessous, l’appareil pouvait ressembler à une soucoupe alors qu’en fait il s’agissait plutôt d’un bol retourné sur une petite assiette.

La couleur bleu foncé qu’il avait observée au début avait disparu, remplacée par une finition argent métallisé. En faisant le tour de l’engin, il a été surpris de trouver des ouvertures, des trappes et des jointures visibles.

Il a touché la surface métallique polie, doucement au départ au cas où elle aurait été brûlante. Elle n’était en fait que de quelques degrés supérieure à la température ambiante et d’un toucher incroyablement lisse – « comme si vous passiez votre doigt sur une grosse perle qui aurait été recouverte d’une fine pellicule de savon, disait-il. Je n’avais jamais rien senti de pareil. »

Intrigué, il a frappé la surface du vaisseau de la paume de la main, ressentant de légers picotements, pas déplaisants, au bout de ses doigts et dans sa main.

 – « Évitez de touchez la coque ! »

Il a fait un bond en arrière, a perdu l’équilibre et s’est retrouvé étendu dans le sable. – « J’ai entendu comme un ricanement, racontait Dan, souriant à mesure qu’il se souvenait, puis on m’a dit quelque chose comme quoi je devais rester calme, qu’on était entre amis » – Une fois relevé, la voix lui a indiqué pourquoi il ne devait pas toucher la coque : elle était protégée par un champ qui repoussait toute autre matière. Ce champ était utilisé pour réduire la friction de l’air pendant les voyages à grande vitesse traversant une atmosphère.

– « Peut-être avez-vous remarqué que la surface semble lisse et glissante. C’est parce que votre chair n’a pas touché réellement le métal mais était retenue à une courte distance de la surface par ce champ répulsif. Il y a une raison à cela. Le contact avec le métal entraîne la production par la peau humaine de ce que vous appelez des anticorps dans la circulation sanguine. Pour des raisons que nous ne comprenons pas vraiment, ces anticorps sont absorbés par le foie dont ils attaquent les fonctions provoquant ainsi son hypertrophie et sa congestion. Cela prendrait quelques mois, mais la mort serait certaine. »

Dan était donc content de ne pas avoir trop enfoncé cette surface savonneuse.

Il y avait beaucoup de questions à poser pour un scientifique curieux comme lui, et il les a posées. Il a eu rapidement l’impression que la voix qu’il entendait ne parvenait pas à ses oreilles par des ondes sonores mais qu’elle prenait source directement dans son cerveau. Ils semblaient communiquer par un genre de télépathie. Lorsque Dan les a interrogés là-dessus, la voix admis que c’était le cas.

La soucoupe était un appareil de téléguidage, l’a-t-on informé. Elle était commandée depuis une centrale, « ce que vous appelleriez un vaisseau-mère », gravitant à 6000 km au-dessus de la Terre.

Dan a demandé pourquoi on venait lui dire cela à lui, et non à quelqu’un d’autre.

– « Ne sous-estimez pas notre capacité à choisir ceux à qui nous désirons parler. »

Dan était d’après eux un bon « émetteur », mais aussi un « récepteur » très doué. C’était quelque chose dont d’autres humains sont capables, mais seul un nombre limité de personnes en avait déjà fait l’expérience sur Terre.

– « Si je ne l’avais pas vu de mes propres yeux ni touché de mes propres mains, j’en aurais sûrement conclu que j’avais des hallucinations. Ma formation scientifique m’avait conditionné à être prêt à toutes éventualités, mais je n’ai jamais pensé même dans mes rêves les plus fous que je me retrouverais un jour au milieu du désert en train de parler avec un visiteur d’un autre monde par le biais des ondes. »

L’entité qui lui parlait ce soir-là disait être d’un lieu très lointain du système solaire. Les expéditions sur notre planète menées par leurs ancêtres au cours de nombreux siècles avait toujours été des échecs complets.

– « La voix m’a expliqué que leurs principaux objectifs en visitant la Terre étaient de déterminer notre capacité à adapter notre esprit rapidement et calment à des concepts totalement étrangers à nos modes de pensée habituels, à savoir si nous étions prêts à entendre qu’il existait une intelligence extraterrestre supérieure à la notre ? Apparemment nous ne l’étions pas. »

soucoupe téléguidée n’était qu’un « petit cargo », mais elle disposait d’un compartiment pour passagers avec quatre sièges. La partie basse de la coque s’est ouverte laissant un passage assez grand pour que Dan puisse entrer debout. Il s’est ensuite assis dans l’un des sièges et a été surpris de ne voir aucune ceinture.

– « La voix m’a dit que je ne ressentirais aucune sensation ni aucun effet néfaste durant le vol. Et je n’ai senti ni accélération, ni le moindre mouvement. On m’a expliqué que la force qui faisait accélérer le vaisseau était identique à un champ gravitationnel. Elle agissait non seulement sur chaque atome de l’engin lui-même, mais aussi de manière équivalente sur chaque atome des masses qu’il contenait, y compris moi. Je me souviens avoir entendu la voix dire que la seule limite à cette accélération [était] la limite imposée par la force disponible. »

– « Tout à coup nous nous sommes retrouvés à 15 km d’altitude et je voyais les lumières d’El Paso sous moi. Je pouvais même distinguer la fine ligne noire du Rio Grande séparant El Paso de sa jumelle mexicaine Ciudad Juarez. Une partie de la coque devenait transparente et je voyais l’extérieur comme si j’étais en train de regarder au travers d’une vitrine chez Macy’s. »

Dan expliqua que cette rencontre l’avait déprimé face à son travail et à sa vie qu’il ressentait n’avoir plus aucun sens. – « Quelques heures avant tout ça, j’étais un ingénieur content de lui, travaillant sur l’un des plus gros moteurs-fusées jamais construit par l’homme. Après ce vol, je savais que le moteur que nous avions placé sur le banc d’essai était pitoyablement inefficace. Il ne nous emporterait pas bien loin dans l’espace ». »

[Claude B. – le 17-05-04]

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