Ce qui m’a poussé à écrire ce roman, c’est avant tout l’envie de faire découvrir des notions liées à la spiritualité, à l’ésotérisme ou l’avenir possible de l’humanité. Certes, beaucoup de livres existent sur ces sujets, mais tous (ou presque) sont des essais. Le roman a le double avantage de divertir tout en évitant le piège du dogme. Il fait découvrir aux néophytes des thèmes qu’ils n’auraient jamais osé lire sous la forme d’un essai. D’ailleurs je constate que mon roman plaît beaucoup aux personnes qui ne s’intéressent pas du tout à ces sujets (c’est au-delà de toutes mes espérances).

Pour ce qui est des prophéties, j’ai dû en étudier pas mal pour réaliser le livre : ce qui m’a frappé, ceux sont les étranges similitudes que l’on retrouve entre elles : il y a de grandes constantes (voir mon site « Prophéties On Line »); je pense qu’elles représentent comme un livre du futur de l’humanité : les plus sensibles ont pu (ou peuvent) le lire; mais ce livre, est comme un programme scolaire : il représente les épreuves, les examens que l’humanité devra passer.

Comme un écolier avant de démarrer une année scolaire peut voir son programme scolaire, les prophéties donnent une liste des épreuves futures de l’humanité. Mais à l’école, un élève pourra sauter certaines épreuves, certains cours, s’il réussit bien les premières. De même, si l’humanité réussit bien certaines épreuves données dans les prophéties, elle pourra peut-être en éviter d’autres. Rien n’est vraiment définitif : le libre arbitre est précisément la qualité que l’homme devra cultiver au siècle prochain; les choix de l’homme lui permettront peut-être d’éviter les pires des prophéties.

[Pascal DHUICQ – le 29-07-97]