J’ai pris connaissance de Padre Pio, il y a plus de vingt ans, lorsqu’un ami et compagnon de travail, très engagé dans la spiritualité « Catholique Romaine »; avait accompagné un général de communauté religieuse en Europe, lors d’une enquête par le Vatican sur les stigmatisés.

De retour à Québec, il avait la charge de poursuivre l’enquête en Amérique du Nord il mais avait besoin d’un compagnon témoin. C’est ainsi que j’ai pris connaissance de cinq cas spécifiques, et poussa mon intérêt de Padre Pio. Peu de temps avant, à mon retour du Moyen Orient, j’avais fait six ou sept fois la rencontre personnelle avec T. Lampsung R.

Padre Pio était un moine de l’ordre des Capucins, du monastère à San Giovanni Rotondo, près de Foggia en Italie. Il décéda, je crois vers 1925. Stigmatisé, il lui fallait porter des gants (sans doigts) même pour dire sa messe. Son supérieur devait assister à celles-ci, car elles pouvaient se prolonger extraordinairement. En effet à la consécration lors de la transsubstantiation, la concentration de sa méditation était telle que Padre Pio « lévitait » de 30 à 45 cm du sol.

En plus, plusieurs incidents prouvèrent non seulement qu’il était clairvoyant mais aussi clairaudiant.

[Jean-Samuel G. – le 30-12-97]