Voici le résumé d’une observation d’ovni pratiquement identique à celle que j’ai faite le 08/11/1996. Cette observation a été faite par Anne Sophie et son amie sur la plage de Carnac en France en été 1986.

Elles étaient assises sur la grande plage de Carnac. C’était le crépuscule. Leur attention a été attirée par deux lumières de forme circulaire. Ces lumières ne scintillaient pas et brillaient intensément. Elles étaient assez basses sur l’horizon. Ces lumières évoluaient au-dessus de la mer en face des témoins. Après un certain temps, ces lumières ont fusionné (inverse de mon observation). Ensuite, la lumière a eu des déplacements linéaires rapides entrecoupés d’arrêts brusques. Enfin, le phénomène a disparu d’un coup dans une accélération foudroyante avec une trajectoire qui n’a rien à voir avec celle d’un avion ou d’un hélicoptère.

Les témoins n’ont entendu aucun bruit provenant de ce phénomène.

Pendant ou après cette observation, l’amie d’Anne Sophie a été victime d’une « absence ». Elle ne répondait plus à Anne Sophie comme si son esprit était parti ailleurs. Elle a fini par dire d’une voix étrange [ertsba] ! Ensuite elle n’a eu aucun souvenir de ce mot qu’elle a prononcé…

Anne Sophie précise qu’à l’époque, elle avait l’habitude de faire des observations astronomiques.

Mais ce qui m’intéresse le plus dans cette histoire, c’est le mot [ertsba] écrit en phonétique. L’orthographe de ce mot est incertaine. Ce n’est donc pas la peine d’y chercher un anagramme.
Je ne peux m’empêcher de penser que ce mot est lié au lieu d’observation : Carnac…

[ertsba]… Est-ce un mot, une expression, un nom, un lieu géographique en breton ou dans une langue ancienne ?

Je lance un appel à toute personne qui pourrait trouver une signification à ce mot. Vous parlez le Breton ou vous connaissez des personnes qui parlent Breton. Vous connaissez le vieux Français ou d’autres langues anciennes qui ont été parlées en Bretagne. Vous connaissez l’Hébreux, l’Araméen, l’Égyptien ancien,… Merci de me faire savoir si ce mot en phonétique a une signification quelconque dans ces langues.

[Arnaud. – le 30-04-01]

Première phrase prononcée par Frank Bormann ( un des astronautes du vol Apollo 8 ) lors du rétablissement radio qui a suivi la sortie de la face cachée de la lune. (Noël 1968)

Si vous continuez, vous ne regarderez plus jamais la lune avec les mêmes yeux !

Personnellement j’ai toujours été persuadé que la vie était non pas un phénomène isolé propre à la terre, mais un phénomène banal étendu à tout l’univers. La découverte en 1979 de toute une chaîne alimentaire (bactéries, vers, moules, poulpe) vivant dans de l’eau à 350°C, dans le noir complet, avec 2500 mètres de pression d’eau sur la tête et dans un milieu riche en soufre, hydrogène sulfurée et ammoniaque me conforte d’ailleurs dans cette opinion.

Si la vie a été capable de s’adapter à ces conditions extrêmes, alors elle peut exister sur toutes les planètes du système solaire. Et pas seulement sous la forme de bactéries car sur terre on a pu filmer un poulpe à oreille vivant dans de l’eau à 350°C. Cela augmente considérablement la chance de trouver un jour une planète ou la vie a atteint un stade supérieur de conscience.

Mais venons en au fait. En 1980 dans le métro, je remarque un homme qui lisait un livre au titre étonnant que je me suis procuré dans la semaine qui suit .

Il s’agissait du livre de George Leonard

ILS N’ÉTAIENT PAS SEULS SUR LA LUNE
– éditions BELFOND
– « Initiation et connaissance »

Voici le résumé de l’éditeur

Ce livre, que George Leonard a réussi à faire paraître malgré l’opposition des services publics américains, fera l’effet d’une bombe.

George Leonard affirme et démontre, preuves à l’appui, à partir de photographies officielles de la N.A.S.A., cette incroyable réalité: la Lune est habitée. Les astronautes de la N.A.S.A. l’ont constaté de leurs propres yeux mais ils respectent strictement la consigne du silence.

Mon livre, dit George Leonard, est le résultat d’une véritable enquête policière et d’années de recherches considérables. J’ai étudié, scruté des milliers de photographies de la N.A.S.A.; j’ai eu d’innombrables conversations avec les membres des équipes de programmes spatiaux: il faut obliger le gouvernement américain et la N.A.S.A. à dire toute la vérité et, ensuite, à proposer un débarquement massif sur la Lune, »

Une fois entré dans le détail d’une démonstration particulièrement rigoureuse, il est difficile aux lecteurs de n’être pas convaincus par les extraordinaires révélations de George Leonard qui remet en cause tout un acquis scientifique trop rassurant et débouche sur une redéfinition, tant militaire qu’économique, d’une stratégie à l’échelle cosmique.

Je ne sais pas si ce livre est toujours disponible actuellement, mais ceux qui voudront en savoir plus pourront essayer de le commander.

Ce que j’en pense.

Lors de la première lecture, j’ai cru que l’auteur avait « pété un fusible », c’est le genre de livre à offrir un premier avril, des extraterrestres sur la lune, et puis quoi encore ! pffffff, si c’était vrai ça ce saurait depuis longtemps. Pourquoi cacher une telle découverte ? C’est vraiment trop gros comme canular ! Et puis pourquoi choisir la lune alors que la terre, si proche est quand même plus hospitalière.

En plus l’auteur est un peu parano, les photos soi-disant officielles peuvent être truquées… Allez savoir où se trouve la vérité !

Je me doute bien que vous allez penser la même chose de moi dans pas longtemps, et c’est un peu normal.

C’est la réaction d’un esprit sain face à une nouveauté, le rejet par principe ! Il n’est pas si évident de remettre en question des vérités établies. Depuis les missions tout le monde pense que la lune n’est qu’une sorte de désert sans atmosphère complètement impropre à la vie telle que nous la connaissons. C’est vrai mais rien n’empêche une civilisation évoluée d’y avoir envoyé des machines… Nous l’avons bien fait nous !

En 1980, impossible de vérifier la véracité des photos, mais aujourd’hui grâce à internet, la chose est possible et là autant vous dire que je suis tombé de haut. Maintenant, je sais pourquoi Georges Leonard a eu envie d’écrire un livre. Il existe bien sûr des sites américains traitant de ce sujet et même un site français.

Je remercie vivement le serveur clémentine du CNES d’avoir mis à la disposition des internautes une telle base de donnée concernant la lune. 1,8 millions de photos de la surface lunaire… Quel pied, j’ai même pu faire l’économie d’un télescope. Je leur ai emprunté quelques photos représentatives qui ne manqueront pas d’attirer vos commentaires avisés. J’espère qu’ils ne m’en voudront pas ! Le minimum que l’on puisse faire face à de telles photos est de se poser des questions et d’essayer d’y apporter des réponses.

Ceci dit j’ai l’impression que la race humaine a peur des conséquences de la découverte d’une vie plus évoluée qu’elle.

Dieu créa l’homme à son image, c’est bien mais s’il existe des extraterrestres plus intelligents que l’homme cela risque de remettre en cause pas mal de choses. Comment accepter qu’ils nous regardent avec la même considération que celle que nous avons pour des vers de terre.

Pour information, toutes les photos de la lune visibles dans cette enquête ont une résolution de 80 mètres, c’est à dire qu’un pixel d’écran = 80 mètres. Tous les objets dont la taille est inférieure à cette résolution demeurent donc invisibles. Ne perdez pas de vue que tout ce que vous regardez est gigantesque, il ne s’agit en aucun cas d’une technologie humaine.

L’hypothèse officiellement admise selon laquelle les « cratères » lunaires seraient dus aux impacts de gigantesques météorites est, selon moi, erronée. Non qu’il n’y ait sur notre satellite des cratères d’impact, fort loin delà, mais le plus grand nombre cependant représente beaucoup plus vraisemblablement la face supérieure, figée à jamais, de cellules de convection thermique ayant, lorsque la Lune était encore entièrement fluide, brassé le magma qui la constituait.

Les tenants de l’origine par impacts n’ont jamais pu répondre á la question : pourquoi un cratère résultant de la chute d’une météorite, au lieu d’être circulaire, serait-il polygonal ? Alors que, on le sait depuis les travaux de Bénard sur le phénomène de la convection thermique des fluides, des cellules de convection en activité simultanée, serrées les unes contre les autres, passent de la forme cylindrique qui caractérise une telle cellule isolée à celle d’un prisme droit polyédrique, polyèdre hexagonal lorsque la viscosité est suffisante.

Il en est de même en ce qui concerne la juxtaposition de deux ou de plusieurs cratères lunaires si communément observée : alors que l’hypothèse de la convection magmatique en rend aisément compte, celle des impacts ne peut, à ce propos, que se taire.

De même encore pour la décroissance du diamètre de cratère qui se recoupent : elle répond selon moi, à la diminution de profondeur de ces cellules lorsque croit la viscosité du magma, laquelle est liée au refroidissement.

ll y a un quart de siècle, le débat était vif entre partisans de la théorie des impacts et ceux de la théorie convective (dite souvent volcanique). Les spécialistes de la Nasa étant pour la plupart « impactistes » et le prestige de la Nasa (et des États-Unis) impressionnants comme d’habitude le troupeau scientifique autant que le grand public, l’hypothèse météoritique fut finalement plébiscitée sans que les trois questions rappelées ci-dessus eussent été prises en considération : il est trop souvent d’usage, dans le microcosme scientifique, de ne pas donner de réponse à une question embarrassante et de simplement ignorer celle-ci. Que cette attitude soit en contradiction avec l’éthique ne semble gêner en rien le scientifique moyen. Et aujourd’hui, tout le monde, ou presque, considère que les cratères de la Lune ont été engendrés par impact alors que la plupart d’entre eux me semblent indiscutablement liés au formidable volcanisme des premiéres années de la Lune.

Ce que j’en pense.

Il a sûrement raison pour pas mal de cratères mais pour ceux qui sont isolés et polygonaux comme celui de la photo ci-dessus il peut y avoir une autre hypothèse.

Cette forme a très bien pu être obtenue artificiellement suite à l’action de machines. Une sorte d’exploitation minière.

Bien sur c’est difficile à gober et pourtant regardez la photo ci-dessous.

UKERT est un cratère triangulaire donc polygonal bien connu des astronomes mais cette trace rectiligne partant du petit cratère en bas à gauche et se dirigeant vers le cratère UKERT ! Qu’en pensez-vous ?

Depuis quand une météorite laisse-t-elle des traces rectilignes sur le sol de la lune ?

Il existe bien sûr tout un tas de figures possibles si bien que la nature semble faire un peu trop bien les choses.

Comme vous pouvez le remarquer, il y a deux tranchées qui ont été réalisées en contrebas du talus de ce cratère.

Les théories officielles sont-elles capables d’expliquer de telles marques dans un cratère ? non bien sûr car même une météorite arrivant latéralement n’aurait pas laissé une telle trace. La terre du déblai est parfaitement disposée de part et d’autre de la tranchée.

Que faire quand la théorie officielle ne cadre plus avec l’observation ?

Proposer une nouvelle théorie, au risque de passer pour un fou qui a trop regardé de series X-files à la télé, est loin d’être évident mais c’est pourtant la seule solution envisageable pour l’instant. Ne rien dire serait pire encore.

Le même endroit vu sous deux angles différents et à deux moments différents. À l’heure où l’on va sur mars et où l’on en déduit qu’il y a eu de l’eau du fait de l’orientation des pierres, que peut-on dire de ces photos ?

On y voit des chemins qui ressemblent à une couverture de tunnel et qui suivent parfaitement le relief du terrain. On observe un rond point à quatre voies avec un dôme central qui pourrait être en verre à cause des reflets et un rectangle noir en haut à droite du rond-point. Un des chemin est masqué partiellement par le rectangle qui ressemble ainsi à une tour mais c’est une illusion (j’ai d’autres photos qui prouvent que c’est une partie plate). La structure en bas à gauche de la photo de gauche et que l’on retrouve sur la photo de droite est plus qu’étrange. Les zones réfléchissantes ne sont pas les mêmes sur les deux photos, est-ce du à des « travaux » entre les deux photos ou à l’angle de vue ?