La planète X identifiée par la Nasa, nommée Sedna ou Nibiru 2012.
La NASA a cherché longtemps sa trace et c’est en 1983 que IRAS identifia formellement l’existence de cette planète, baptisée « Planète X » par les chercheurs. Cette planète non observable aurait une orbite de 3600 ans et serait habitée par des êtres appelés « Annunakis ». Les Sumériens connaissaient déjà l’existence de celle-ci il y a plus de 6000 ans !
En 1978, 2 astronomes de l’observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l’attraction gravitationnelle d’un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la planète X pour traduire à la fois son caractère énigmatique et le rang de dixième planète qu’elle occuperait au sein du système solaire. L’existence d’une planète au-delà de l’orbite de Pluton a été avancée pour rendre compte des perturbations observées sur le mouvement d’Uranus et Neptune, perturbations que la présence de Pluton seule n’arrivait pas à expliquer. Toutefois, les recherches visant à la mettre en évidence sont restées vaines, mais on a découvert depuis 1992 des astéroïdes trans-neptuniens. On attribue l’existence de ces astéroïdes à la présence d’une vaste région au-delà de l’orbite de Neptune peuplée de planétésimaux (astéroïdes et noyaux cométaires) : la ceinture de Kuiper.
Cette mystérieuse planète avait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon ces deux astronomes, la planète X. était une intruse que le soleil aurait piégé dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l’écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre. En janvier 1981, un astronome de l’Observatoire National des Etats-Unis déclara que, pour la première fois, des irrégularités avaient été constatées dans l’orbite de Pluton, ce qui pouvait laisser supposer qu’il existait une interférence provoquée par la présence d’une dixième planète au sein de notre système solaire.
En fait, les astronomes sont pour la plupart convaincus qu’il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10ème planète ou planète X. Même la NASA en 1982 va reconnaître son existence. En 1983, le satellite Iras, envoyé par l’homme, repère dans l’espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l’Iras qui déclare « un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d’Orion par un télescope en orbite… nous ne savons pas ce que c’est ».
Le télescope à infrarouge embarqué à bord d’un satellite américain dans le cadre du programme IRAS identifia formellement l’existence de cette planète, baptisée « Planète X » par les chercheurs de la NASA. En 1987, la NASA reconnaît officiellement l’existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/07/1987 « … La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil… ».
Nibiru existe donc bel et bien. Elle décrit effectivement une large orbite elliptique autour du Soleil (plus proche de celle d’une comète que de celle des autres planètes de notre système) et revient à proximité de la Terre tous les 3600 ans, comme Sitchin l’avait pressenti. Son orbite va dans le sens contraire de celui des autres planètes de notre système. Elle est actuellement cachée par la barre d’astéroïdes qui se trouvent entre Mars et Jupiter. C’est pour cette raison qu’elle a été découverte aussi tardivement.
Il est même désormais possible de l’apercevoir par intermittence à l’aide d’un télescope de taille moyenne, sans que l’on puisse toutefois encore l’identifier avec précision. Car le gigantesque corps découvert en direction d’Orion est si mystérieux que les astronomes ne savent pas encore s’il s’agit d’une planète, d’une comète géante, d’une « proto-étoile » (c’est-à-dire d’un corps céleste ne s’étant pas suffisamment réchauffé pour devenir une véritable étoile), ou d’un système formé d’une naine de couleur brunâtre enveloppée de poussière et entraînant une planète dans son orbite. « Nous savons qu’elle est là, qu’elle se rapproche de nous, mais nous ne savons pas ce qu’elle est. » a récemment reconnu Gerry Neugebauer, directeur scientifique de l’IRAS.
Nibiru au sein de notre système planétaire pénétre suivant un angle d’une trentaine de degrés par rapport au plan de l’écliptique. À la lumière des plus récentes données scientifiques, il existe un important faisceau de probabilités pour qu’elle passe à proximité de la Terre en 2012 ! et selon d’autres mesures 2300 (basé sur la vie de Moîse).
Selon différentes mesures effectuées par la NASA, dès 1995, elle était déjà suffisamment proche de notre planète pour l’influencer par son magnétisme. Et au fur et à mesure qu’elle s’est rapprochée de nous, l’effet rayonné de son champ magnétique a augmenté de manière exponentielle. Certains chercheurs y voient une corrélation avec le phénomène actuellement observé de l’accélération de la résonance Schumann qui mesure la fréquence de la Terre (Cf. dossier Résonance Shumann). Car cette accélération vibratoire est liée à la perte de densité progressive de notre planète et aux perturbations gravitationnelles et électromagnétiques qui l’accompagnent. Or, la pénétration d’un corps étranger dans notre système planétaire induit évidemment des bouleversements électromagnétiques au niveau de l’ionosphère, qui, à leur tour, perturbent l’équilibre des pôles magnétiques terrestres. L’éventualité du franchissement du fameux Point Zéro et d’un basculement des pôles est peut-être ainsi directement liée à la venue de Nibiru !
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