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Nibiru ou la planète X, existe-t-elle réellement ?

Année 2009
Nibiru ou la planète X, existe-t-elle réellement ? Où en sommes-nous en 2009 ?
Planète X nommée ainsi par les scientifiques de la Nasa. Il y a apparemment bien quelque chose qui se ballade dans notre système solaire vers Jupiter actuellement mais quoi ?

Ce qui est étrange c’est qu’il y a très peu de polémique à ce sujet au niveau scientifique. Le web foisonne de vidéos et de prédictions apocalyptiques. Les internautes s’affrontent par forums interposés mais ni la NASA, ni le CNES, ni les astronomes ne lancent un communiqué annonçant que tout cela est du « bluff ».

Ce silence médiatique est vraiment étrange. « Qui ne dit mot consent » dit le proverbe. Alors messieurs les scientifiques affirmez-nous que cet « étoile noire » n’existe pas à moins que cela soit vraiment le contraire dans ce cas il serait plus intelligent de le confirmer même si cela peut provoquer une certaine appréhension… Voici quelques infos faisant pencher la balance plutôt vers son existence:

En 1978, article de presse

En 1978, les astronomes, R. Harrington et T. Van Flanders constatent des perturbations sur les orbites de Neptune et d’Uranus, perturbations que la présence de Pluton seule n’arrive pas à expliquer. 

La cause viendrait alors de l’attraction gravitationnelle d’un mystérieux corps céleste non identifié baptisé « La planète X », la dixième planète.

1982 – 1983, COMMUNIQUÉS de presse 

1982: le New York Times – « Des forces gravitationnelles perturbent les deux planètes géantes Uranus et Neptune, ce qui provoque des irrégularités dans leur parcours orbital. Les astronomes ayant fait ce constat estiment que ces forces suggèrent la présence lointaine d’un » gros objet ».
1983 : Le Washington Post – « Un corps céleste aussi gros que Jupiter et faisant partie de notre système solaire a été découvert dans la direction de la constellation d’Orion. Cet objet a été détecté grâce à notre télescope orbital IRAS (InfraRed Astronomical Satellite) »

1988, une planète intruse

Un rapport de l’astronome Richard Harrington de l’ U.S. Naval Observatory indiqua que la masse de ce corps céleste serait 4 fois supérieur à celle de la Terre. 
4 ans plus tard, il affirmera avec son collègue Thomas van Flandern, qu’il existe bel et bien une 10e planète « intruse » dans notre système solaire.

08/10/1999, article de presse

LONDRES (AFP) « Le système solaire pourrait avoir une dixième planète à son extrême limite, tournant en sens inverse des 9 autres et influençant la trajectoire des comètes », a affirmé un astronome britannique dans une revue scientifique.

Les astronomes du monde entier spéculent, depuis plus de 50 ans, sur l’existence de cette fameuse planète baptisée « X » (X pour dixième et inconnue), en raison de perturbations observées de l’orbite d’Uranus. Mais le scientifique britannique John Murray affirme apporter de nouveaux éléments pour soutenir sa thèse. Dans un article, que publiera lundi la revue de la Société d’astronomie royale (Royal Astronomical Society, RAS) de Londres, il affirme avoir déduit la présence de ce mystérieux astéroïde de trajectoires étranges de comètes arrivant dans le système solaire.

De nombreuses comètes proviennent d’un gigantesque « réservoir » qui entoure le système solaire, appelé le « nuage d’Oort ». Elles n’y pénètrent que lorsque leurs orbites sont « dérangées ». Le Dr Murray estime que la dixième planète est directement à l’origine de ces perturbations. « A mon avis, a-t-il dit, cette planète traverse constamment ce nuage et nous envoie ces comètes ».

La planète serait au moins de la taille de Jupiter, la plus grosse de notre système, et peut-être 10 fois plus massive, selon les calculs de l’astronome. Située à une distance 30.000 fois supérieure à celle séparant la Terre du Soleil, elle ne serait pas née au moment de la création du système solaire mais aurait été « captée » par lui plus tard. Elle tournerait en outre en sens inverse des neuf autres planètes et avec une inclinaison très différente par rapport au plan du système solaire.

Février 2003, article de presse

 » Une planète supplémentaire, avec une trajectoire très elliptique, pourrait exister sans que les astronomes ne l’aient jamais encore observée « . (février 2003. Science & Vie.)

 » La ceinture de Kuiper semble s’arrêter brusquement à 50 unités astronomiques, comme si elle était tronquée. Si une planète de la taille de Mars s’était formée dans cette région au début du système solaire, elle aurait pu « nettoyer », à mesure qu’elle grossissait, l’extérieur de la ceinture de Kuiper. Puis, perturbée par son interaction avec Neptune, cette planète aurait pu être expulsée sur une orbite très allongée, dont la période pourrait se compter en milliers d’années. Je m’attends à ce qu’un jour, nous découvrions une telle planète « . (Interview de l’ Alessandro Morbidell – astronome A L’ Observatoire de Nice)

L’orbite de Nirubu ou planète X

Il est même désormais possible de <l’apercevoir par intermittence à l’aide d’un télescope de taille moyenne, sans que l’on puisse toutefois encore l’identifier avec précision. Car le gigantesque corps découvert en direction d’Orion est si mystérieux que les astronomes ne savent pas encore s’il s’agit d’une planète, d’une comète géante, d’une ’’proto-étoile’’ (c’est-à-dire d’un corps céleste ne s’étant pas suffisamment réchauffé pour devenir une véritable étoile), ou d’un système formé d’une naine de couleur brunâtre enveloppée de poussière et entraînant une planète dans son orbite. ’’Nous savons qu’elle est là, qu’elle se rapproche de nous, mais nous ne savons pas ce qu’elle est.’’ a récemment reconnu Gerry Neugebauer, directeur scientifique de l’IRAS.

Alors attendons, les années à venir vont probablement nous révéler des choses importantes…

La planète X identifiée par la Nasa, nommée Sedna ou Nibiru 2012.

Année 2008
La planète X identifiée par la Nasa, nommée Sedna ou Nibiru 2012.
La NASA a cherché longtemps sa trace et c’est en 1983 que IRAS identifia formellement l’existence de cette planète, baptisée « Planète X » par les chercheurs. Cette planète non observable aurait une orbite de 3600 ans et serait habitée par des êtres appelés « Annunakis ». Les Sumériens connaissaient déjà l’existence de celle-ci il y a plus de 6000 ans !

En 1978, 2 astronomes de l’observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l’attraction gravitationnelle d’un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la planète X pour traduire à la fois son caractère énigmatique et le rang de dixième planète qu’elle occuperait au sein du système solaire. L’existence d’une planète au-delà de l’orbite de Pluton a été avancée pour rendre compte des perturbations observées sur le mouvement d’Uranus et Neptune, perturbations que la présence de Pluton seule n’arrivait pas à expliquer. Toutefois, les recherches visant à la mettre en évidence sont restées vaines, mais on a découvert depuis 1992 des astéroïdes trans-neptuniens. On attribue l’existence de ces astéroïdes à la présence d’une vaste région au-delà de l’orbite de Neptune peuplée de planétésimaux (astéroïdes et noyaux cométaires) : la ceinture de Kuiper.

Cette mystérieuse planète avait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon ces deux astronomes, la planète X. était une intruse que le soleil aurait piégé dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l’écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre. En janvier 1981, un astronome de l’Observatoire National des Etats-Unis déclara que, pour la première fois, des irrégularités avaient été constatées dans l’orbite de Pluton, ce qui pouvait laisser supposer qu’il existait une interférence provoquée par la présence d’une dixième planète au sein de notre système solaire.

En fait, les astronomes sont pour la plupart convaincus qu’il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10ème planète ou planète X. Même la NASA en 1982 va reconnaître son existence. En 1983, le satellite Iras, envoyé par l’homme, repère dans l’espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l’Iras qui déclare « un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d’Orion par un télescope en orbite… nous ne savons pas ce que c’est ».

Le télescope à infrarouge embarqué à bord d’un satellite américain dans le cadre du programme IRAS identifia formellement l’existence de cette planète, baptisée « Planète X » par les chercheurs de la NASA. En 1987, la NASA reconnaît officiellement l’existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/07/1987 « … La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil… ».

Nibiru existe donc bel et bien. Elle décrit effectivement une large orbite elliptique autour du Soleil (plus proche de celle d’une comète que de celle des autres planètes de notre système) et revient à proximité de la Terre tous les 3600 ans, comme Sitchin l’avait pressenti. Son orbite va dans le sens contraire de celui des autres planètes de notre système. Elle est actuellement cachée par la barre d’astéroïdes qui se trouvent entre Mars et Jupiter. C’est pour cette raison qu’elle a été découverte aussi tardivement.

Il est même désormais possible de l’apercevoir par intermittence à l’aide d’un télescope de taille moyenne, sans que l’on puisse toutefois encore l’identifier avec précision. Car le gigantesque corps découvert en direction d’Orion est si mystérieux que les astronomes ne savent pas encore s’il s’agit d’une planète, d’une comète géante, d’une « proto-étoile » (c’est-à-dire d’un corps céleste ne s’étant pas suffisamment réchauffé pour devenir une véritable étoile), ou d’un système formé d’une naine de couleur brunâtre enveloppée de poussière et entraînant une planète dans son orbite. « Nous savons qu’elle est là, qu’elle se rapproche de nous, mais nous ne savons pas ce qu’elle est. » a récemment reconnu Gerry Neugebauer, directeur scientifique de l’IRAS.

Nibiru au sein de notre système planétaire pénétre suivant un angle d’une trentaine de degrés par rapport au plan de l’écliptique. À la lumière des plus récentes données scientifiques, il existe un important faisceau de probabilités pour qu’elle passe à proximité de la Terre en 2012 ! et selon d’autres mesures 2300 (basé sur la vie de Moîse).

Selon différentes mesures effectuées par la NASA, dès 1995, elle était déjà suffisamment proche de notre planète pour l’influencer par son magnétisme. Et au fur et à mesure qu’elle s’est rapprochée de nous, l’effet rayonné de son champ magnétique a augmenté de manière exponentielle. Certains chercheurs y voient une corrélation avec le phénomène actuellement observé de l’accélération de la résonance Schumann qui mesure la fréquence de la Terre (Cf. dossier Résonance Shumann). Car cette accélération vibratoire est liée à la perte de densité progressive de notre planète et aux perturbations gravitationnelles et électromagnétiques qui l’accompagnent. Or, la pénétration d’un corps étranger dans notre système planétaire induit évidemment des bouleversements électromagnétiques au niveau de l’ionosphère, qui, à leur tour, perturbent l’équilibre des pôles magnétiques terrestres. L’éventualité du franchissement du fameux Point Zéro et d’un basculement des pôles est peut-être ainsi directement liée à la venue de Nibiru !

Pour en finir avec l’affaire Eric Julien…

Année 2006
Pour en finir avec l’affaire Eric Julien…
Maintenant que le célèbre message « Changez le Monde par effet de levier ! » prétendument « reçu » par un channel a été traduit en 15 langues et, le Web aidant, a largement circulé à travers toute la planète … il serait peut-être temps de faire la part du rêve, du fantasme, de l’affabulation et… de la réalité.

On sait que le soit-disant channel, Jean Ederman, s’appelle en réalité Eric Julien, ce même Eric Julien qui a largement défrayé la chronique ufologique affirmant qu’il était formé par les E.T. pour devenir pilote de soucoupe volante.

L’affaire a pris une autre proportion lorsque sa compagne, Eve, n’a pas hésité à faire une déposition à la gendarmerie, déclarant que le 12 mars 2004 Eric Julien avait disparu : il avait quitté la Terre (comme cela lui avait été annoncé) à bord d’un ovni…

Disons-le tout de suite : la gendarmerie a retrouvé Eric Julien. Ce dernier n’a jamais quitté la Terre, n’est jamais monté dans un ovni : il a simplement organisé une belle mise en scène de disparition avant de partir se cacher dans l’île de la Réunion.

Bref rappel de « l’affaire Eric Julien »:
En 2002, les internautes découvrent une texte assez « décoiffant » d’Eric Julien intitulé : « LA PLUS GRANDE DÉCOUVERTE DE TOUS LES TEMPS : LE TEMPS 3D ». À l’époque, personne ne semble remarquer que cet article pille largement les travaux des cosmistes russes (savants relégués dans les goulags et dont les travaux furent interdits et cachés pour crime de lèse-marxisme) sans jamais les mentionner et sur lesquels certains physiciens russes continuent à travailler. Il faut ici rendre hommage aux longues recherches de Pascuser qui a démontré que l’intégralité des informations données par Eric Julien est contenue dans les travaux réalisés par les physiciens russes N.A.Kozyrev et Albert Veiniket Vadim Chernobrov et qu’il ne s’agit que d’un simple plagiat : Tous [s]es thèmes : temps 3D avec densité variable, application à l’antigravité et au déplacement dans l’espace des Ovnis par champs de temps modifié, la théorie quantique de conversion d’espace en temps et inversement par le biais des Quantas de temps, etc… s’y retrouvent, ainsi que les applications suivantes : télépathie, voyage dans le temps, etc … cf :

Différentes rumeurs circulent sur le compte d’Eric Julien car l’homme se manifeste souvent sur le Net. Il y raconte sa vie, ses différents contacts avec les OVNIs, ses enseignements donnés télépathiquement. Il y publie les premières pages d’un livre en préparation : « OVNIS, LA FIN DU MYSTÈRE » qu’il présente, toujours modestement comme un « ouvrage répond[ant] de façon lumineuse à tous les arguments et les zones d’ombre qui nous empêchaient jusqu’alors de comprendre le phénomène ovni. » Il déborde d’idées dont : – le projet Hélios, pour rassembler les moyens nécessaires à la construction d’un prototype de soucoupe … sur une génération, – le montage d’une Opa censée préserver entre ses mains l’ensemble des documents ayant trait à l’ufologie, Tous les éléments sont réunis pour pressentir le montage d’une superbe arnaque. En septembre 2003, c’est « le » texte (très réussi) qui allait faire le tour de la planète se présentant comme le message des E.T. parmi nous et qui ne demandent qu’à se manifester si nous le désirons : « CHANGEZ LE MONDE PAR EFFET DE LEVIER » . Il se termine par une étonnante proposition de référendum : il suffit de voter – télépathiquement – en faveur d’une apparition massive de vaisseaux extraterrestres pour que ceux-ci se manifestent.

Puis en 2004, l’affaire se complique, avec le témoignage de sa nouvelle compagne Eve, diffusé sur une radio FM française, « Radio Ici&Maintenant! » (icietmaintenant.com). Cette radio, dirigée par Didier de Plaige, consacre chaque mardi à partir de 11pm (local time) une émission de plusieurs heures sur les OVNIs. Eve annonce avoir lancé un avis de recherche auprès de la Gendarmerie Nationale, à qui elle explique que son compagnon a suivi de longs stages d’entrainement avec les E.T., pour devenir pilote d’OVNI, et que leurs amis les E.T. lui annonçaient qu’il avait été choisi pour devenir instructeur à son tour. Elle savait que les E.T. allait l’enlever : son compagnon avait du reste aménagé un champ pour le transformer en piste d’atterrisage pour le vaisseau. Le Gendarme chargé de l’enquête, M. Cyril Fromage, reçoit la déposition sans sourciller, précisant toutefois qu’il aurait peut-être quelques problèmes avec sa hiérarchie pour faire accepter ce scénario. (Ayant fait lui même une observation, M. Fromage s’intéresse particulièrement aux OVNIs).

Invitée deux semaines plus tard par cette même radio, Eve Marchal a persisté dans son roman, bien qu’il y ait la preuve qu’Eric Julien était toujours sur Terre : il lui avait envoyé un e-mail lui demandant instamment de faire interrompre les recherches ! On se demande bien pourquoi Eric Julien persistait à utiliser ce moyen de communication bien terrestre, puisque Eve, en « voyage de conscience » se disait à même de le rejoindre plusieurs fois par jour dans sa soucoupe, et que du reste elle connaissait l’emplacement des bases E.T. souterraines et sous-marines. (Il n’empêche qu’un simple courriel recèle bien des informations pour qui sait chercher : l’imprudent courriel d’Eric Julien révélait une adresse IP réunionnaise).

Au cours de ces émissions, toutes les perches ont été tendues à Eve pour qu’elle cesse ces discours infantiles, auxquels malheureusement beaucoup de naïfs continuaient de s’accrocher, jusqu’à des représentants bien connus du monde ufologique … La jeune femme a persisté dans son récit de SF, y mêlant des éléments spiritualistes faisant référence aux Maîtres de Sagesse, et à l’Agartha, et à des descriptions détaillées des diverses formes d’E.T avec lesquels elle se dit en contact : les Gris, les Reptiliens, les Draconniens, les Goriens et autres Annunakis (comme sa grande amie Lizzia : « Elle et les siens mesurent au moins deux mètres cinquante; elle a le corps trapu d’un kangourou, avec de grosses pattes griffues, et une tête de varant. »).

Elle explique comment Eric Julien a été formé par les E.T., se rendant chez eux deux fois par jour, pour des séances de pilotage en cabine de simulation, comment il avait également subi des « opérations sur le plan subtil pour la reconnaissance du vaisseau » : Opérations pour ses empreintes de mains et d’iris … et précisant que : « dans un premier temps l’intention de nos amis est de montrer des milliers de vaisseaux. Ce sera un choc culturel énorme. Ce choc positif va déverrouiller des consciences … ».

L’enquête de gendarmerie a suivi son cours. M. Fromage s’est fait confier l’enquête par sa hiérarchie et … il a retrouvé Eric Julien. A notre époque, il est assez difficile de disparaître tout en continuant à percevoir ses allocations de chômage ! Notre héros se prélasse dans la belle île de La Réunion (Océan Indien). Sa déclaration laconique, sans justification ni excuse, a consisté en une seule phrase : « J’avais espéré qu’on ne me retrouverait jamais ». Il faut savoir qu’Eric Julien n’en est pas à sa première « disparition », ayant laissé une première épouse sans nouvelles pendant plusieurs mois Malgré les preuves les plus accablantes, certains persistent dans leurs croyances. Sur le Net, ils affirment que la gendarmerie n’a retrouvé qu’un clone d’E. Julien et que leur héros continue, à l’insu des debunkers, sa mission de pilote d’OVNI. Inutile d’épiloguer sur cette farce dont les conséquences les plus fâcheuses sont simplement un renforcement de la position des détracteurs de l’ufologie.

Marie-Thérèse de BROSSES

L’Évangile selon Judas… Montre la stupidité d’un évêque grec ou d’un archevêque anglais…

Année 2006
L’Évangile selon Judas… Montre la stupidité d’un évêque grec ou d’un archevêque anglais…
Voici une découverte importante et qui montre une fois de plus la stupidité des religieux et leur manque d’ouverture… Même si cet évangile est identifié d’une façon scientifique, admettre une autre vérité est impossible pour eux…

Je vous présente donc l’article suivant paru le 16/04/2006 dans le journal « La Croix ».

« Évangile de Judas, Da Vinci Code: Mgr Williams dénonce la théorie du complot »

L’archevêque de Canterbury Rowan Williams a dénoncé dimanche la fascination grandissante pour les théories du complot, nourries notamment par des ouvrages comme le « Da Vinci Code » ou par le supposé manuscrit de l’Évangile selon Judas récupéré récemment par l’Égypte.

Dans un discours prononcé à l’occasion de la messe de Pâques, à la cathédrale de Canterbury (sud-est de l’Angleterre), le patron de l’église anglicane a critiqué la façon dont la société moderne « célèbre les grandes fêtes chrétiennes (…) en remuant les braises de la controverse sur les bases historiques de la foi ».

« C’est pourquoi cela n’a pas été une grande surprise de voir la couverture médiatique accordée récemment à la découverte de « l’Évangile selon Judas », un texte qui évidemment ébranle les fondations traditionnelles de la croyance chrétienne en donnant une autre version de l’histoire de la passion et de la résurrection », a ironisé l’archevêque.

Rowan Williams faisait référence à un manuscrit en papyrus récemment récupéré par le Conseil supérieur des antiquités égyptiennes et présenté comme la seule copie connue de l’Évangile selon Judas. Dans cet Évangile, Judas n’apparaît pas comme un traître mais comme un initié qui aurait dénoncé Jésus aux Romains, à la demande de ce dernier et pour la rédemption du monde.

« Cela nous ramène à la couverture médiatique exacerbée du Da Vinci Code », le roman ésotérique de Dan Brown, a insisté Mgr Williams dans son sermon.

« Nous sommes instantanément fascinés par toutes les suggestions de conspirations ou de manipulations », et dès que nous tombons sur d’anciens textes, et notamment d’anciens textes bibliques, « nous les considérons comme si ils étaient des communiqués de presse peu convaincants émanant de je ne sais quelle source officielle, dont l’intention serait de cacher la vraie histoire », a insisté l’archevêque de Canterbury.

L’article suivant paru le 12/04/2006 toujours dans le journal « La Croix », nous donne une idée plus précise de cet évangile…

L’Égypte récupère « l’Évangile selon Judas ».

L’Égypte a récupéré un manuscrit en papyrus datant du IIIè ou IVè siècle et contenant la seule copie connue de l’Évangile selon Judas, l’apôtre qui a trahi Jésus, a annoncé jeudi le Conseil supérieur des antiquités égyptiennes (CSAE).

L’Égypte a réussi à récupérer « le manuscrit de 13 feuilles de papyrus en langue copte ancienne », a déclaré le secrétaire général du CSAE, Zahi Hawwas, dans un communiqué.

Jeudi, le National Geographic a annoncé que le document avait été authentifié comme étant l’Évangile selon Judas.

« Le manuscrit, perdu pendant près de 1.700 ans, a été authentifié comme étant le travail de la littérature apocryphe des premiers chrétiens », a déclaré Terry Garcia, un des responsables de la revue américaine.

L’existence de cet Évangile avait été attestée par le premier évêque de Lyon, la capitale des Gaules (France), Saint Irénée, qui l’avait dénoncé dans un texte contre les hérésies vers le milieu du IIè siècle. Dans cet Évangile, Judas n’apparaît pas comme un traître mais comme un initié qui aurait dénoncé Jésus aux Romains, à la demande de ce dernier et pour la rédemption du monde.

Le document bordé de cuir a été découvert dans les années 1970 par un paysan égyptien dans le désert près d’Al-Minya (sud).

Il a ensuite circulé parmi les courtiers en antiquités pour se retrouver aux États-Unis, où il a été racheté en 2000 par l’antiquaire suisse Frieda Nussberger-Tchacos, qui l’a confié à la fondation suisse Maecenas en 2001 afin de le préserver et de le traduire.

Le document, appelé « Codex de Tchacos », sera conservé au musée copte du Caire.

Ce qui est assez extraordinaire c’est la corrélation donnée par le livre d’Urantia (cosmogonie). En effet, celui-ci présente Juda comme un homme intelligent, raffiné, cultivé et par surcroît, riche. Il était un des seuls apôtres à savoir lire et écrire. Il était très proche de Jésus et a bien été missionné par celui-ci pour le dénoncer aux romains. Pourquoi, tout simplement parce que cela faisait parti d’un plan précis lié à l’élévation spirituelle de la planète Terre et de ses habitants.

Mais Juda est-il vraiment mort ?… N’est-ce pas une invention rajoutée au texte de la bible pour coller avec la situation décrite ?

Et voici enfin un bref aperçu de la traduction, tiré du journal « Libération ». J’espère que cette traduction publiée partiellement en anglais (The gospel of Judas) par le National geographic society à Washington le 5 avril 2006, sera bientôt publié en français et arrivera jusqu’à nous sans blocage de la part des instances religieuses.

Le document contient une traduction, en copte dialectal, d’un texte grec. Le texte révèle des conversations privées entre Jésus et Judas, à quelques jours de Pâques. « Jésus dit à Judas : « Tu surpasseras tous les autres. Car tu sacrifieras l’homme qui me sert d’habit » », peut-on lire. Ou encore : « Jésus dit à Judas : écarte-toi des autres. Je t’enseignerai les mystères du royaume. Tu pourras l’atteindre, mais pour cela, tu souffriras beaucoup. » La lecture du texte,
rédigé entre 130 et 180 après Jésus-Christ, présente donc Judas comme le premier des apôtres, l’Initié « Non seulement un type bien, mais le seul apôtre qui comprend les secrets révélés par Jésus », glose Bart Ehrman, professeur à l’université de Caroline-du-Nord. Selon la version la plus communément admise par les chrétiens, Judas, fils de Simon l’Iscariote, trahit Jésus pour 30 pièces d’argent, poussé par la cupidité et séduit par Satan. Pris de remords, il s’est pendu. Mais cette version a toujours soulevé des questions. Pourquoi Jésus a-t-il confié l’argent de son groupe à Judas, s’il ne lui faisait pas confiance ? Si le sacrifice du Christ était un plan divin, où était le libre arbitre de Judas dans sa trahison ?…
Je ne sais pas si vous avez remarqué cette petite phrase: « Car tu sacrifieras l’homme qui me sert d’habit ». Bonne méditation…