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Un Nouvel Élément Historique révèle la Vérité au Sujet de L’Incident de Fatima.

Année 2006
Un Nouvel Élément Historique révèle la Vérité au Sujet de L’Incident de Fatima.
Voici, peut-être, une confirmation de ce qui me semble beaucoup plus réaliste où religions et « extra-terrestres » (ou « étrangers » comme le mentionnent les auteurs) ne font qu’un et va dans le sens d’une sorte d’enseignement face à des individus à l’esprit conditionné par la croyance religieuse. Cet article m’a été envoyé en français par mon ami Jean-Samuel.

Les auteurs mentionnent que les Célèbres Apparitions de 1917, étaient des rencontres insolites avec des Êtres Étrangers.

VICTORIA, BC. (Canada)
– L’incident de Fatima était un évènement important dans l’histoire de la religion. En 1917, trois jeunes bergers Portugais – Jacinta, Francisco et Lûcia – ont soudainement rencontré la Vierge Marie, illuminée dans la splendeur de feux célestes, et elle a confié trois secrets aux enfants au sujet du destin de la terre. Les contacts furent suivis par un phénomène aérien, non expliqué, appelé « le Miracle Du Soleil », par lequel des milliers de spectateurs frappés de terreur, ont vu le Soleil dansé dans le ciel; ceux-ci avaient alors afflués à Fatima.

On a présumé que les apparitions étaient un cas d’intervention divine dans les affaires humaines, un signe du Ciel que la guerre mondiale qui faisait rage à l’époque, en Europe, doit finir. Un lieu saint a brusquement apparu à Fatima, attirant des millions de croyants et un mythe fut inventé que les secrets de Fatima seraient révélés dans la plénitude du temps – tel un testament de foi dans l’ère séculaire.

Dans l’œuvre « Heavenly Lights » (EcceNova Editions; July 2nd, 2005, $22.95). Les historiens Portugais Joaquim Fernandes et Fina d’Armada, font la narration de la vraie histoire des apparitions de Fatima. La première histoire de Fatima à être écrite par des historiens Portugais, basée sur les documents originaux, « Heavenly Lights » est le résultat d’une odyssée de 25 ans par les auteurs à la recherche des faits réels du phénomène de Fatima. Fernandes et d’Amada ont débuté leur enquête en 1978, lorsqu’on leur a donné accès aux archives secrètes, sous la garde du Sanctuaire de Fatima.

Les dossiers de Sœur Lucia, sous bonne garde aux Archives depuis l’incident, ont révélé que les enfants n’ont pas interagies à propos d’une apparition de la Vierge Marie, mais en rapport avec la projection d’un hologramme extra-terrestre dans un fuseau lumineux provenant d’un vaisseau de l’espace qui planait très haut au-dessus d’eux. Les Archives ont clairement montré que les entités rencontrées à Fatima n’étaient pas des déités du Ciel, mais des êtres plutôt étrangers visitant notre planète, venus « d’ailleurs » dans le vaste Cosmos. Cette découverte a été soutenue par des centaines de faits supplémentaires de l’époque des apparitions de Fatima, et les découvertes des auteurs, étaient les tous premiers cas majeur d’OVNI du 20ième siècle.

« Heavenly Lights – deviendront certainement une histoire définitive de l’Incident 1917 « . À sa première publication au Portugal en 1995, portant le titre de : As Aâriçôes de Fatima e o Fenômeno OVNI, le Journal de Noticia, un journal principal portugais, a déclaré le travail:  » un succès littéraire sans précédent dans le domaine des études ufologiques portugaises. »

Maintenant le monde entier peut connaître la vérité sur les apparitions de Fatima. Cette nouvelle traduction par les Journalistes Américains Andrew D. Basiago et Eva M. Thompson offre un puissant argument, autant pour les chercheurs d’OVNI que pour les savants religieux à la fois, pour examiner à nouveau les élément d’évidence réelle qui explique en dernier essor le mystère persistant de l’incident de Fatima.

Au sujet des Auteurs:

Joaquim Fernandes est Professeur d’Histoire à l’Université Fernando Pessoa à Porto, au Portugal. Il dirige le Réseau de Recherches Internationales Multiculturelles sur les Apparitions (Projet MARIAN). Ses intérêts de recherches comprennent également l’Histoire de la Science et l’Anthropologie comparative des religions, avec emphase sur les phénomènes anormaux.

Fina d’Amada détient une Maitrises dans les Études de la Femme. Elle est l’auteur de cinq livres sur les incidents de Fatima, tous basés sur les documents originaux détenus par les Archives – trois desquels elle est co-auteur avec Fernandes – en plus des centaines d’articles. Ses intérêts en Recherche comprennent également la Phénoménologie, l’Histoire locale, l’Histoire de la Femme et la sphère des découvertes Portugaise.

Au sujet du Livre:

– « Heavenly Lights » : les Apparitions de Fatima et le Phénomène d’OVNI
– Joaquim Fernandes et Fina D’Armada
– Traduit et Édité par André D. Basiago et Eva M. Thompson
– Préfacé par Jacques F. Vallée

Les Édition EcceNova, Publication datée du 2 juillet, 2005

Prix :
– US $22.95.
– CAD $30.95.
– £14.99
– ISBN : 0-973534103-3

Pour un sommaire de l’Éditeur. Information sur les Auteurs. Photos des jaquettes, des Extraits et détailles sur les visites de contacts. Consultez le Site :
www.amazon.com.

L’énigme de Baïan Kara Oula au Tibet. Où en sommes-nous ?

Année 2005
L’énigme de Baïan Kara Oula au Tibet. Où en sommes-nous?
Sungods in Exile (« L’exil des dieux-soleil ») est un livre publié en 1978 sous le pseudonyme de David Agamon. Cet ouvrage prétend être basé sur les notes d’un Dr Karyl Robin-Evans, qui, selon Agamon, aurait été professeur à l’université d’Oxford.

L’histoire est celle d’une expédition menée en 1947 au Tibet et pendant laquelle une équipe scientifique visite la cordillère de Bayan Har et rencontre la tribu Dropa, d’origine extraterrestre et dont le vaisseau se serait écrasé sur la Terre. Le livre présente des photographies de la tribu et de pierres circulaires (les dropas) qui contiendraient des messages de ces entités.

Les dropas apparaissent régulièrement dans la sous-culture ufologiste, et l’auteur Hartwig Hausdorf en a popularisé l’histoire dans son livre Le Roswell chinois publié en 1998. Diverses variations sur le même thème ont par la suite ajouté un professeur Tsum Um Nui de l’université de Pékin, qui aurait décodé les inscriptions sur les pierres.

En 1995, l’auteur britannique David Gamon admit dans un entretien au magazine Fortean Times qu’il était bel et bien l’auteur de Sungods in exile1, inspiré par la popularité d’Erich von Däniken et sa théorie des anciens astronautes. L’essentiel des sources utilisées pour la rédaction du livre proviennent d’un article de Russian Digest des années 1960 et d’un livre de science-fiction de l’auteur français Daniel Piret intitulé Les disques de Biem-Kara.

1947 – Résumé:

Le docteur Robin-Evans effectua un voyage pour le pays mystérieux des Dzopas, traversant Lhasa (Tibet) où il obtint une audience avec le 14ème Dalai Lama. Sur la route de cette région particulièrement difficile d’accès du nord-est de l’Himalaya, le scientifique anglais fut abandonné par ses porteurs tibétains — particulièrement effrayés par Baian-Kara-Ula — et ce ne fut qu’au terme d’un incroyable effort qu’il réussit à gagner sa destination. Après avoir gagné la confiance des indigènes, le docteur Karyl Robin-Evans reçu les enseignements d’un professeur de langue locale qui lui appris les bases de la langue Dzopa et il apprit de Lurgan-La, gardien de la religion des Dzopa, l’histoire des Dzopas. Lurgan-La indiqua qu’ils (les Dzopas) venaient originellement d’un planète du système de Sirius. Ils avaient entrepris — il y a environ 20 000 puis en l’année 1014 — 2 missions d’exploration sur Terre. En 1014 eu lieu un crash qui ne permit pas aux survivants de l’accident de repartir de la Terre.

1962 – Résumé:

En 1962, un autre scientifique chinois décode finalement le message sur les disques.

Le professeur Tsum Um Nui entreprit de décoder et traduire partiellement les disques de pierre et publia ses découvertes, qui furent si extraordinaires que l’académie des sciences de Pekin interdit tout d’abord leur publication. Le rapport du professeur Tsum Um Nui racontait l’histoire d’un groupe d’individus — appelés les Dropas — dont le vaisseau spatial s’était écrasé dans les montagnes Baian-Kara-Ula il y a 12 000 ans de cela et qui, après avoir réalisé l’impossibilité de quitter la Terre à nouveau, avait dû supporter un environnement assez hostile afin de survivre. Le professeur Tsum Um Nui publia son rapport après en avoir reçu la permission de l’académie, ce qui lui valut la moquerie de nombreux archéologues. Attristé par ces événements, le professeur Tsum Um Nui émigra au Japon, où il mourut en 1965.

Les disques – Résumé:

A moitié enterré dans le sol de la caverne, un disque en pierre, évidemment façonné par la main d’une créature intelligente. Le disque faisait approximativement neuf pouces de diamètre et trois quarts de pouce d’épaisseur. Au centre exact du rond, un trou, et une cannelure fine se développant en spirales du centre jusqu’au bord, comme un genre de disque primitif de phonographe.

Le disque, est datés entre 10.000 et 12.000 ans, de loin plus vieux que les grandes pyramides d’Egypte, c’était fantastique, en tout, 716 disques ont été trouvés. Et chacun contient un secret incroyable. La cannelure, lors davantage d’inspection, n’était pas une cannelure du tout, mais une ligne continue de hiéroglyphes, étranges écriture !

Les caractères minuscules et presque microscopiques étaient dans une langue jamais vue au paravent. Ce n’est qu’en 1962 qu’un autre scientifique chinois pourra décoder le message des disques en pierre – un message si incroyable que le département de préhistoire de l’académie de Beijing a interdit d’éditer sa traduction. Par la suite, le message a été enfin rendu public, et ce qui est indiqué vous étonnera.

1968 – Résumé:

En 1968 le scientifique russe W. Zaitsev publia un article à sensation déclenchant un grand intérêt quant au sujet des extraterrestres ayant visité la Terre par le passé. Certaines informations présentées dans son article étaient basées sur les travaux qu’effectua le professeur Tsum Um Nui en 1962.

En examinant un disque avec un oscillographe, un rythme étonnant d’oscillation a été enregistré comme si, par le passé, ils avaient été électriquement chargés ou avaient fonctionné comme conducteurs électriques. Les pierres des Dropa ressembles à un puzzle intrigant pour des archéologues et des anthropologues. Est-ce que les visiteurs de Dropa viennent vraiment d’une certaine planète éloignée, ou leur histoire est simplement un mythe de la création qui aurait été imaginé par une culture primitive ? Si c’est le cas, il additionne un tel « mythe » au grand nombre d’histoires de cultures antiques qui réclament que leurs descendants sont venus des cieux. Si non, les pierres de Dropa pourraient représenter la première visite enregistrée d’une civilisation étrangère à notre planète. Pour l’instant, les pierres de Dropa restent non expliquées.

1995 – Résumé:

En 1995 des nouvelles remarquables vinrent de Chine : dans la province de Sichuan, située du côté est des montagnes Baian-Kara-Ula, 120 membres d’une tribu jusqu’ici ethnologiquement non classée furent découverts. L’aspect le plus important de cette nouvelle tribu est la taille de ses membres : pas plus grands que 3 pieds 10 pouces, le plus petit adulte mesurant seulement 2 pieds 1 pouce !

Cette découverte pourrait être la première preuve solide de l’existence des Dropas/Dzopas – un peuple dont les ancêtres sont supposés être venu de l’espace.

Conclusion:

Toujours de la rétention d’information… D’après la description du peuple Dropa, ces « Frères de l’espace » avaient de grosses têtes et des corps frêles. Cela ne vous rappelle rien ? On en revient toujours aux mêmes conclusions, la non acceptation de races différentes de la notre, provenant de l’espace et ayant pour certaines, laissées des descendants…

Enquête sur la vidéo de Sverdlovsk.

Année 2005
Enquête sur la vidéo de Sverdlovsk.
Stanton T. Friedman, après avoir vu le film, reste perplexe et pense qu’il faudrait enquêter sérieusement sur les uniformes des soldats. Cependant, alors que les « experts » ayant vu les boîtes du film et examiné les pellicules déclarent penser qu’elles sont authentiques et correspondent aux standards de l’époque, Bob Shell fait remarquer de son côté que l’on voit les russes utiliser des caméra 16 mm, alors que les boîtes de film présentées sont du 35 mm.

Enquête d’Alex Hefman

Les couleurs et la nature des uniformes frappent aussi. Elles correspondent aux caractéristiques des films des années 1960s et Alex Hefman, un homme d’affaires d’origine russe vivant à New York, est tout d’abord fortement impressionné par l’émission de la TNT. Il commence à analyser le cas, et est frappé par certains détails comme l’absence de boucle de ceinture métalliques chez les soldats, qui ne furent introduites qu’à la fin des années 1960s. Le camion également, identifié comme un modèle ZIS-151 de 1948, n’est plus en service depuis longtemps et très difficile à trouver de nos jours. D’un autre côté, les jeeps sont vraiment étranges : en toute apparence des clônes les Willys MB (1ères jeeps militaires US) de la 2nde guerre mondiale, tout en ayant de sérieuses différences avec elles, comme avec les jeeps soviétiques. La neige semble vierge de toutes traces (ce qui rend possible une absence de répétition) et les ombres des arbres diffèrent peu au cours du film (laissant supposer un intervalle de temps relativement cohérent). Ceci étant dit Hefman conclut, non pas définitivement, mais au moins qu’un « canular réalisé par autre gens que le KGB doit être absolument exclu ».

Par la suite, Hefman tente de retrouver l’article de journal étayant l’histoire d’un crash. Hefman finit par trouver que le seul journal de Sverdlovsky Gorkom portant « Vecherniy » dans son nom était le Vecherniy Sverdlovsk. A travers une série de contacts à Moscow, Ekaterinburg et Perm, il finit par obtenir une copie du numéro du dimanche 29 novembre 1998… qui ne ressemble en rien à celui montré dans l’émission télévisée. Aucune mention d’observation d’ovni ou d’explosion. Il s’étonne aussi que les principaux protagonistes nommés, le « vendeur » du film et le « traducteur », n’ai pas été inquiétés, notamment par le successeur du KGB. Il contacte alors le 3ème Institut de Stomatologie Médicale imeni Semashko, la seule institution de ce nom, à l’exception de l’hopital d’enfants, qui lui répond ne jamais avoir eu d’adjoint nommé « Decan Tolmakov ». Hefman écrit enfin aux producteurs pour leur faire part de sa suspicion. Ils refusent de lui fournir toute information, et revendiquent accessoirement tout copyright sur les films présentés, pourtant censés appartenir à d’autres. Bien que menacé de poursuites par la société de production, il parvient à entrer en contact avec une personne ayant participé à la production du film, qui lui confirme le canular. En octobre il finit par déclarer que le film et les documents sont « un canular très élaboré ». Il finira cependant par retirer son site web, craignant les menaces de poursuites de la production.

Révélations

En fait en mars (?), les membres d’une équipe de producteurs de télévision américaine auraient déclaré avoir réalisé le film en question par appât du gain. Ils auraient engagé des comédiens à Moscou, acheté des uniformes de 1968, fabriqué une soucoupe en mousse plastique et monté quelques prises dans la forêt.

C’est en 2007 que le film aérien de la première partie sera révélé être une version retouchée du documentaire « Russian Top Gun ».

Source: rr0.org
Conclusion

Où se trouve réellement la vérité, intox, désinformation, vrai, faux, qui croire? En tout cas ce type de comportement est complètement irresponsable. Il y aura de toute façon, un jour, un prix à payer…

Fatima, une réalité, oui mais, non religieuse (suite).

Année 2004
Fatima, une réalité, oui mais, non religieuse (suite).

Voici la suite de cette recherche et interprétation de Fatima. Nous sommes loin des années 17, où tous événèments non rationnels étaient systématiquement reliés à la religion où plus exactement la religion s’en approprié les droits…

Fatima, apparition mystique et/ou observation d’ovni…

– Cinquième apparition : le 13 septembre 1917;

Comme les autres fois, une série de phénomènes atmosphériques furent observés par l’assistance, dont le nombre a été évalué entre quinze et vingt mille personnes, peut-être même plus : un soudain rafraîchissement de l’atmosphère, un obscurcissement du soleil au point de laisser voir les étoiles, une sorte de pluie comme des pétales irisées ou de flocons de neige, qui disparaissaient avant de se poser à terre. Cette fois-là en particulier on remarqua un globe lumineux qui se déplaçait lentement et majestueusement, du levant au couchant, et en sens inverse à la fin de l’apparition. Les voyants remarquèrent comme d’habitude le reflet d’une lumière, puis la Sainte Vierge leur apparut au dessus du chêne vert.

Commentaires:
Ces manifestations vont tout à fait dans le sens de l’apparition d’un ovni comme cette « sphère céleste ». Il y a toujours cette sensation de froid comme si les témoins étaient projetés dans un autre plan.
Les questions qui se posent sont de savoir si c’est une projection holographique, si c’est un vaisseau ou un drône extraterrestre et pour quel motif ?

– Sixième apparition : le 13 octobre 1917;

Comme les autres fois, les voyants eurent le regard attiré par un reflet de lumière, puis la Sainte Vierge apparut sur le chêne vert………….
………………La Sainte Vierge ayant apparu dans l’immensité du firmament, les voyants assistèrent à trois scènes successives, la première symbolisant les mystères joyeux du rosaire, puis les douloureux et enfin les glorieux (seule Lucie a vu les trois scènes; François et Jacinthe n’ont vu que la première) :

Ils virent apparaître à coté du soleil, Saint Joseph avec l’Enfant-Jésus, et Notre-Dame du Rosaire. C’était la sainte famille. La Vierge était vêtue de blanc, avec un manteau bleu. Saint Joseph était aussi habillé en blanc et l’Enfant-Jésus en rouge clair. Saint Joseph bénit la foule, en traçant trois fois le signe de la Croix. L’Enfant-Jésus fit de même. Ensuite vint la vision de Notre-Dame des Douleurs et de Notre-Seigneur accablé de douleur sur le chemin du Calvaire. Notre-Seigneur donna au peuple sa bénédiction par un signe de Croix. Notre-Dame n’avait pas l’épée sur la poitrine. Lucie voyait seulement le haut du Corps de Notre-Seigneur. L’apparition finale, environnée de gloire, fut celle de Notre-Dame du Carmel, couronnée Reine du Ciel et de la Terre, portant l’Enfant-Jésus dans ses bras.

Pendant que ces tableaux se succédaient aux yeux des voyants, une grande foule de cinquante à soixante-dix mille spectateurs assistait au miracle du soleil. Il avait plu durant toute l’apparition. A la fin de l’entretien de Lucie avec la Sainte Vierge, au moment où Celle-ci s’élevait et que celle-là s’écriait « Regardez le soleil ! », les nuages s’entr’ouvrirent, découvrant le soleil tel un immense disque d’argent. Il brillait avec une intensité jamais vu, mais sans aveugler. Cela ne dura qu’un instant. L’immense boule se mit à « danser ». Tel une gigantesque roue de feu, le soleil tournotait rapidement. Il s’arrêta un certain temps, avant de se remettre à tourner sur lui-même, à une vitesse vertigineuse. Ensuite, il se mit à rougeoyer sur les bords et à glisser dans le ciel, en tourbillonnant et en répandant des gerbes rouges de flammes. Cette lumière se reflétait sur le sol, sur les arbres et les buissons, et même sur le visage des gens et leurs vêtements, prenant des tonalités brillantes, de différentes couleurs. Animé par trois fois d’un mouvement fou, le globe de feu se prit de tremblements et de secousses, et paru se précipiter en zig-zag sur la foule terrorisée. Le tout dura environ dix minutes. A la fin, le soleil regagna en zig-zag le point d’où il s’était précipité, reprenant son aspect tranquille et son éclat de tous les jours.

Le cycle des apparitions étaient terminé.

Beaucoup de gens remarquèrent que leurs vêtements, trempés par la pluie, avaient séché subitement. Le miracle du soleil fut observé également par de nombreux témoins situés en dehors du lieu des apparitions, dans un rayons de quarante kilomètres.

Commentaires:
 Cette  nouvelle manifestation va encore ici tout à fait dans le sens de l’apparition d’un ovni comme ce « disque d’argent ». Il est bien mentionné « disque d’argent ». Hors le soleil est couleur « OR ». Il se transforme ensuite en boule et en disque de feu (cela me rappelle les chariots de feu mentionnés dans la Bible). Nous retrouvons ainsi notre fameuse sphère des apparitions précédentes. Il zig-zag et fonce sur les témoins qui sont quand même au nombre de 50 à 70 000, tout en projetant différentes couleurs qui prouvent l’aspect matériel. En plus le phénomène est observé 40 km à la ronde. La question qui peut-être posée est : Où se trouvait le véritable soleil ? Caché par les nuages ?
Ce qui est étonnant, c’est la manifestation visible à tous les témoins alors que les 3 scènes n’apparaissent qu’aux 3 « voyants », pourquoi ?
Enfin les vêtements trempés des spectateurs se retrouvent rapidement secs comme si une forte chaleur ou un rayonnement les avaient frappés.

En conclusion:
Nous avons ici vraiment la manifestation d’un phénomène extraterrestre encore lié aux croyances religieuses. Les hommes ont toujours été manipulés probablement, pour leur bien, par ces forces inconnues, un autre exemple étant l’Arche d’Alliance.

N. A. S. A. (1958)

Année 2004
N. A. S. A. (1958)
Sigle de la National Aeronautics and Space Administration, l’agence spatiale américaine.

C’est le 1er Octobre 1958, suite à la crise de Sputnik, que le National Aeronautic and Space Act remplace le NACA par la NASA, toujours sous la direction adjointe de Hugh Dryden. La NASA a depuis ce jour occupé et occupe toujours un rôle capital dans la divulgation d’informations relatives aux ovnis, notamment en ce qui concerne les photographies et films qu’elle détient.

Le rapport Brooking (1960)

En 1960 la NASA commande le rapport Brookings : une étude sur les implications des activités spatiales sur la société, notamment l’eventualité de la découverte d’une vie extraterrestre, menée par une comité de l’Institut Brookings, dont fait partie Llyod Berkner. Il est intitulé : Etudes Proposées sur les Implications des Activités Spatiales Pacifiques sur les Affaires Humaines.

Fuites (1965)

Le 2 Septembre 1965, le FBI a vent par source confidentielle que des agents de la NASA divulguent clandestinement, hors de leur agence, des « informations maison » relatives aux ovnis. Ces informations seraient destinées à 2 individus installés à Pittsburgh (Ohio). Le dossier du FBI, précise encore : D’après notre source, ces informations ex-filtrant de la NASA sont classées « Top Secret ». On y apprend par exemple que XXXXX a visionné un film tourné lors de la séparation d’un missile, film sur lequel apparaît un ovni. Ce même XXXXX recommanda aux pilotes du vol Gemini 4 de rester sur le qui-vive car leur vaisseau spatial avait été spécialement équipé de dispositifs destinés à déceler la présence d’ovnis…

Refus d’étude des ovnis (1977)

Le 21 Juillet 1977, Frank Press, conseiller scientifique du président Carter, adresse une lettre à Robert Frosch, administrateur de la NASA, pour lui recommander d’organiser un petit comité d’enquête (…) afin de voir si l’on a trouvé de nouveaux éléments significatifs depuis le rapport Condon. Le 21 Décembre, Frosch répond qu’il refuse de monter un effort de recherche ou de réunir un symposium, considérant l’absence de preuves physiques pouvant être analysées en laboratoire. Cependant, ajoute-il, si, dans le futur, quelque élément de preuve matérielle est porté à notre attention, il serait entièrement justifié que le laboratoire de la NASA étudie tout échantillon organique ou inorganique inexpliqué et publie les résultats ; nous sommes prêts à examiner bona fide une preuve physique provenant de sources crédibles. Nous laissons la porte grande ouverte à une telle possibilité [Sturrock 2001].

Débats sur vidéos (1991)

Le 15 Septembre 1991, les caméras de la navette spatiale Discovery (vol STS-48) filment, au-dessus de l’Australie occidentale, les mouvements de mystérieux objets brillants. Le plus spectaculaire de ces objets apparaît vers le haut de l’image, près de l’horizon terrestre. L’image agrandie montre l’objet qui se déplace vers la gauche avant que l’écran ne soit illuminé par un éclat de lumière. Puis l’objet change de direction en accélérant. Quelques secondes plus tard, un autre objet passe devant la caméra et se dirige vers l’espace. Le professeur Jack Kasher, de l’Université du Nebraska et collaborateur de la NASA, a étudié ces séquences et en a tiré un rapport de 105 pages. Conclusions :

Selon la NASA, il s’agissait de cristaux de glace, ce qui est physiquement impossible car les cristaux de glace ne pourraient changer de direction d’une telle manière. Nos calculs montrent que si les objets se situaient à 16 km de la navette, le plus gros a accéléré de 0 à 4023 km/h en 1 seconde.

James Oberg a notamment défendu la thèse officielle de la NASA sur cette affaire.

Les dirigeants de la NASA furent :

  • le docteur T. Keith Glennan, du 19 Août 1958 au 20 Janvier 1961
  • James Edwin Webb, du 14 Février 1961 au 7 Octobre 1968
  • le docteur Thomas O. Paine, du 21 Mars 1969 au 15 Septembre 1970
  • le docteur James C. Fletcher, du 27 April 1971 au 1er Mai 1977
  • le docteur Robert A. Frosch, du 21 Juin 1977 au 20 janvier 1981
  • James M. Beggs, du 10 Juillet 1981 au 4 décembre 1985
  • le docteur James C. Fletcher, du 12 mai 1986 au 8 avril 1989
  • Richard H. Truly, du 14 mai 1989 au 31 mars 1992
  • Daniel S. Goldin, depuis le 1er Avril 1992

La NASA fut parfois en contradiction avec les déclarations de ses propres membres au sujet des ovnis, tels que :

  • Maurice Chatelain, ancien responsable des communications, un des concepteur du programme Apollo.
  • Gordon Cooper, astronaute.
  • James McDivitt, astronaute.
  • Joseph Walker, pilote d’essai.
  • Robert White, pilote d’essai.

Références :