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Tous les articles par Claude B.
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Une curieuse traduction…
Une curieuse traduction… |
J’ai reçu vers les années 67/68 une traduction de certains passages de la Genèse. Elle me fut envoyée par Madame Chantal d’O. Apparemment le traducteur connaissait parfaitement l’hébreu et explique au travers des différents chapitres le sens réel des mots comme « aléhim », « aléha », « iom », etc… C’est une curieuse interprétation de la Genèse mais qui a peut-être un fond de vérité. En voici un bref extrait : Les textes hébraïques mentionnés dans ce « mémoire » sont relevés dans la Bible (l’ancien testament). BERASCHIT : QUI SONT LES DIEUX ET NAISSANCE DES HOMMES. Tout d’abord, je vous mets en garde contre les traductions littérales incomplètes ou erronées que vous rencontrerez dans toutes les bibles – ancien ou nouveau testament – Toutes contiennent des fautes de traduction et aussi des arrangements où cette traduction a été faite pour les besoins de la cause ; Le travail que je vous donne ici est fait sans qu’il soit changé « un trait de lettre » suivant la tradition comme ce n’est pas malheureusement toujours le cas, bien au contraire. Voyons la première phrase : béraschit = au commencement. Bera = créa, aléhim = (l’équipe des ) aléhim, at eschamaïm = les cieux, vat earets = et la terre (Genèse I, I) ce qui nous donne en langage claire : Au commencement, l’équipe des Aléhim (Gilgamesh, ses compagnons et leurs femmes) créa « l’Univers, les Cieux et la Terre ». Ainsi, le premier verset du premier chapitre de la Genèse relate clairement la création de notre Univers. Ce n’est pas un seul homme, un seul « aléha » qui la crée comme le disent les mauvaises traductions catholiques, orthodoxes et protestantes, mais bien une équipe d’aléhim, composée de plusieurs « aléha » – puisque le terme qui les désigne est au pluriel. En 1965/1966, je vous ai dit que Gilgamesh était accompagné de huit compagnons, ainsi que leurs femmes ; ceci étant entièrement confirmé par l’emploi de JE ou MOI au féminin : « anokhi » dans le même texte « heraschit » (Genèse VII,4) et (Genèse XV,I), lorsqu’une aléha s’adresse à « Noah », (Noé) et également à « Avraam » (Abraham). Le genre masculin de JE ou MOI est « ani » en hébreux. Le terme « aléhim » ne désigne donc pas un « dieu » puisqu’il est au pluriel (le singulier étant « aléha », ni les « anges » comme l’a improprement traduit l’église grecque. En hébreu, « ange » se dit « ha-malakh » au singulier et « malakim » au pluriel. (voir Epître aux Hébreux XIII, 1 et 2). Si ce texte vous intéresse, vous pouvez le télécharger. |
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Il serait également intéressant d’avoir l’avis d’un spécialiste de la langue hébraïque pour confronter les traductions… À voir… |