Tous les articles par Claude De B.

Notre responsabilité face à la Nature.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2000
Notre responsabilité face à la Nature.
Nous vivons dans la nature matérielle, nous devons nous conformer aux lois qui régissent son environnement. Face à une agression, la nature répond par la souffrance physique ou morale. Nous avons un quota de jours dans ce monde ; Pas un de plus, pas un de moins ! Nous avons aussi qu’une seule vie matérielle, notre vie de tous les jours. Nous en n’avons pas eu avant, nous n’en aurons pas après. Pour notre vie, respectons les lois de la nature au risque de s’exposer à la souffrance déstabilisatrice qui consume des jours normalement destinés à la Vie et laisse en chemin le sentiment amer de ne pas avoir vécu.

Un jeune humain tire son éducation de l’union des ses parents. C’est une loi naturelle ! Certaines espèces animales sont aussi concernées par cette loi. La désunion des parents pendant l’éducation des enfants est contre nature et soumise à la souffrance. Avant la naissance des enfants, la désunion n’est pas contre nature. Après leur éducation, la désunion n’est plus soumise à la riposte matérielle.

La nature se renouvelle sans cesse, sainement, sans jamais se rassasier. Pour l’espèce humaine, comme pour d’autres espèces animales, ce renouvellement se réalise par l’union des deux parents.

L’empreinte laissée par un humain dans l’environnement matériel va de sa fécondation à la dissolution du corps physique. Trois étapes distinctes et irréversibles composent cette métamorphose : La gestation du corps, la vie du corps, la dissolution du corps. Elles sont cloisonnées par deux paliers : La naissance et la mort.

Le propre d’un humain est de vivre, c’est à dire se trouver dans la phase vie de sa métamorphose. Pendant la gestation, le fœtus n’a pas encore l’appellation humain ; C’est un fœtus d’humain. Après la mort, le corps n’a plus l’appellation humain ; C’est cadavre d’humain.

De même qu’un mort ne peut plus vivre, un fœtus ne peut pas mourir parce que pour mourir, tel que nous définissons la mort d’un individu, il faut naître et vivre ne serait-ce qu’un instant.

Le fœtus fait parti du corps de la mère au même titre qu’un membre ou un organe. Elle en dispose à sa guise, en fonction de ses sentiments et de ses dispositions. A condition qu’une libération anticipée ne provoque pas une naissance suivit d’une mort, des plus innocentes !

Un mammifère carnivore ou omnivore ne fait pas de sa propre race les produits de son ordinaire. Il sait d’instinct que la chair de ses semblables est impropre à sa consommation personnelle. Il ne se nourrit pas de la chair de ses congénères. C’est une loi naturelle !

Nous, humains, respectons cette loi. Nous ne mangeons pas de l’humain. Mais, dans l’éventail de viande qui nous est proposée, une analogie tend à nous induire en erreur : La viande de porc. La chair du porc ressemble à la chair humaine. Manger du porc revient à manger de l’humain, pratique contre-nature, exposée à la souffrance.

La nature est impartiale. Au niveau de l’espèce ou de l’individu, les avantages et les inconvénients s’équilibrent ; C’est la loi naturelle du juste milieu ! Elle place toutes les espèces et tous les individus sur un même niveau vis-à-vis de la nature.
Vaut-il mieux naviguer dans la tempête des extrêmes ou se contenter de l’existence simple du juste milieu ? C’est la nature et ses repères qui donnent la réponse.

Tous bonheurs ou tous malheurs dépassant la zone rationnelle sont naturellement ramenés au juste milieu par le coté opposé. Si un bonheur d’exception perdure au cours de sa vie, un humain doit lui-même s’humilier avant que son avenir spirituel n’en soit humilier. Si un trouble d’exception perdure, nous devons rester confiants car, en raison de notre constitution faite d’un corps matériel mortel et d’un avenir spirituel éternel, la loi du juste milieu se poursuit après la mort du corps physique et les sentiments s’équilibrent dans l’avenir abstrait.

Pour permettre le renouvellement, tout ce qui vit dans l’univers matériel est mortel. Pour que la vie vaille la peine d’être vécue, la nature se présente comme un paradis. Les animaux et les végétaux vivent dans l’innocence de leurs instincts, sans dévier. Ils n’ont pas l’intelligence pour se rendre compte, en permanence, qu’ils sont mortels jusqu’au moment d’un danger de mort où l’instinct de conservation se ranime. Nous, humains intelligents, savons en permanence que nos jours sont comptés. Cela nuit à la plénitude de notre vie. Nous avons donc un handicap par rapport aux autres êtres vivants : Nous perdons l’innocence instinctive qui amène au paradis matériel. Pire, nous nous faisons du mal par altération de notre intelligence et nous risquons de nous détruire.

Nous ne sommes plus au niveau de l’Animal et du Végétal ; Nous avons perdu l’innocence depuis notre naissance intelligente. Nous sommes au niveau de la nature elle-même ; Nous sommes capable de modeler, sciemment, notre environnement. Si la nature est Dieu, nous sommes des dieux ! Nous n’avons pas demandé l’intelligence ; Elle nous est imposée. Nous n’avons pas demandé la responsabilité ; Nous voulons vivre notre vie matérielle. Nous avons un handicap. La nature n’a pas put nous bâtir avec une telle dissymétrie. Elle est impartiale. Pour avoir porté l’intelligence, nous avons droit à un dédommagement à la hauteur de nos responsabilités : L’éternité. L’éternité est notre salaire pour une vie matérielle à arrière goût de mort. C’est la plus grande récompense qu’un être mortel puisse espérer!

Nous, humains de la planète Terre, saurons nous montrer, au sein de l’univers, à la hauteur de notre intelligence et de nos responsabilités !

[Claude De B. – le 30-09-00]

Appel à toute la profession.

Appel à toute la profession.

La Spiritualité est la science qui s’occupe de la vie spirituelle éternelle de l’humain, des moyens de la préparer et de ses pathologies. Nous avons un rôle à jouer dans cette science, à tous les niveaux. Nous formons cette science. Moi je suis chercheur en Spiritualité. Je communique mes recherches sur Internet aux autres membres de la profession dans un but d’évolution.

Notre activité est d’aider nos semblables dans leur spiritualité comme la Médecine ou la Biologie ou l’Astronomie nous aident dans notre vie de tous les jours. Pour rester crédible aux yeux de nos semblables, pour que la Spiritualité évolue comme ils évoluent, il est impératif de nous doter d’un « Département Recherche » composé de scientifiques, responsables, avertis en spiritualité et para-spiritualité, à même de chercher et de découvrir de nouvelles philosophies spirituelles plus en accord avec notre évolution et l’évolution des autres sciences.

J’en appelle à toute la profession. Constituons-nous un groupe de chercheurs puis réfléchissons et évoluons au-delà de ce que nous ont appris les livres anciens et les religions, et que nous avons acquis ! Restons crédibles auprès de notre génération et des générations suivantes. La Spiritualité est essentielle pour un humain comme sont essentiels, pour sa vie, les autres sciences et leurs thérapies ; Nous sommes fait d’un corps matériel mortel et d’un avenir spirituel éternel !

Chers collègues, cessons de sacraliser notre profession et de nous prendre pour de petits messies ; Travaillons rationnellement et Évoluons !

[Claude De B. – le 13-09-00]

Le cycle de la réincarnation.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2000
Le cycle de la réincarnation.
Un humain est fait d’un corps matériel mortel et d’un avenir spirituel éternel.

Un esprit est fait d’un corps spirituel éternel et d’un renouvellement dans le Matériel.

Un esprit se bâtit une anatomie abstraite dans la vie quotidienne d’un humain. Un humain est donc  » gestateur  » d’esprit. Le fœtus d’esprit mémorise tous ce qui se dégage de la vie de tous les jours de son  » gestateur  » humain sans rien arbitrer : Le Bien comme le Mal, le conforme spirituellement comme le non-conforme spirituellement. La mort du corps de l’humain correspond à la naissance de l’esprit. Les bases de cette anatomie abstraite sont les images mémorisées dans le comportement humain  » gestateur « . Après le passage de la mort, alors que son corps se dissout dans la nature matérielle, l’humain se voit vivre dans la vie de l’esprit issu de son propre comportement. L’Humain ne connaît pas la mort. Il profite du patrimoine éternel qu’il s’est constitué au cours de sa vie et qu’il réalise dans la vie éternelle d’un esprit.

Le nouvel esprit débute sa vie avec l’anatomie qu’il a hérité de son  » gestateur » humain ; Les images qu’il a mémorisé dans le corps matériel.

La particularité des humains et des esprits est qu’ils doivent vivre en symbiose. L’humain a besoin d’un contrôle de son intelligence, il le reçoit de son partenaire spirituel ; L’esprit a besoin d’un contrôle d’instinct ; Il le reçoit de son partenaire humain.

L’esprit participe à la vie de son partenaire humain. En pilotant son intelligence, il agit sur le comportement humain et, par effet symbiotique, il se rassasie en retour des images spirituellement saines émises par ce comportement responsable et qui lui permettent d’évoluer. L’esprit renouvelle à chaque mort de partenaires ses efforts de communication : De vies humaines en vies humaines jusqu’à atteindre les hautes sphères du Spirituel. Si l’Humain est figé au plus haut degré dans ses instincts, l’Esprit, lui, évolue en instinct jusqu’à être hautement instinctif dans une nature hautement intelligente. C’est la communion avec le Matériel dans des vies humaines qui lui permet cette évolution. A l’inverse, l’Esprit est figé au plus haut degré d’intelligence. L’Humain, lui, évolue en intelligence jusqu’à atteindre les hautes sphères du Matériel c’est à dire, hautement intelligent dans une nature hautement instinctive. C’est la communion avec le Spirituel qui lui permet cette évolution.

Tout humain se voit, après le passage de la mort, vivre dans la vie de l’esprit issu de son comportement. Il adhère pour l’éternité à son hôte qui ne lui est pas étranger car il est la suite spirituelle de sa propre vie, de son propre comportement. Ainsi, l’humain se voit se renouveler dans les vies humaines. Il se voit aussi atteindre les sommités spirituelles ou les profondeurs des angoisses métaphysiques. Un seul inconvénient dans ce processus, l’humain ne contrôle pas la vie de son hôte esprit. Il se voit vivre dans cette vie abstraite sans rien arbitrer. Tout ce qu’il peut faire, et c’est déjà beaucoup, c’est de régler son comportement de tous les jours pour générer un esprit spirituellement viable qui lui évitera les angoisses spirituelles et qui évoluera plus rapidement vers les plénitudes spirituelles en parrainant moins de vies humaines qui peuvent ne pas être réceptive ni disposées à cette entente.

Réponses à vos questions :

ACAM : La réincarnation est-elle un cycle régulier pour nous améliorer ?

C’est un processus spirituel tout à fait naturel pour améliorer l’esprit qui est notre hôte pour l’éternité et au travers duquel nous nous voyons vivre pour l’éternité.

ACAM : Est-ce une obligation ?

C’est un intense désir pour un esprit d’évoluer en instinct et d’atteindre les plénitudes spirituelles, tout comme c’est un intense désir, pour un humain, d’évoluer en intelligence et d’atteindre les béatitudes matérielles.

ACAM : Peut-on rompre ce cycle ?

Certainement, mais pourquoi stopper un processus qui est vital et désiré ?

ACAM : Cette réincarnation existe-t-elle vraiment (comme les bouddhistes le suggèrent) ?

Un esprit n’est pas figé dans l’éternité mais se renouvelle dans le Matériel. Cette particularité en fait un être abstrait d’exception, de la même manière que l’Humain est un être matériel d’exception dans la mesure où il est le seul dans son environnement à avoir un avenir spirituel éternel.

ACAM : La chrétienté parle de départ mais jamais de retour éventuel pour une autre vie, une autre expérience…

La chrétienté, c’est « les recherches spirituelles de Jésus de Nazareth » dont son Eglise se fait écho. S’il n’a pas parlé de ce renouvellement (ou réincarnation) ? Il a découvert tant de chose qui ont fait évoluer sensiblement la Spiritualité. Il ne faut pas en vouloir à son Eglise si elle ne parle pas de ce processus. Elle ne fait que perpétuer les paroles de Jésus de Nazareth et ne peut en aucun cas le remplacer dans ses recherches.

[Claude De B. – le 29-07-00]

La naissance de la forme humaine.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2000
La naissance de la forme humaine.
Un humain tire sa formation du corps de sa mère. Des molécules physiques, issues de la mère, s’assemblent en un ensemble matériellement cohérent apte à vivre, à terme, dans un environnement instinctif. La mère fait tout ce qui est en son pouvoir pour que son enfant naisse conforme car elle sait qu’elle souffrira les angoisses d’une venue non-conforme. Si l’enfant naît conforme aux lois naturelles, il peut espérer une progression normale dans les chemins de la vie. S’il naît non-conforme, la mort, suppression de matière, l’élimine ou sa perspective via les instincts parentaux pousse ses parents à le soigner.

Un esprit tire sa formation de la vie quotidienne d’un humain. Des molécules métaphysiques – des images abstraites de la vie et de l’environnement de l’humain – s’assemblent en un ensemble spirituellement cohérent apte à vivre, à terme, dans un environnement intelligent. L’humain doit tout faire pour que l’esprit, issu de sa propre vie, naîsse conforme aux lois spirituelles car il se verra, à la mort de son corps physique qui correspond à la naissance de l’esprit, vivre dans la vie de celui-ci.

Le fœtus d’esprit ne participe pas à la vie quotidienne de son hôte humain ; Il est en gestation. Il ne peut ni l’influencer ni le persuader. Sa seule activité est la mémorisation d’images de la vie de l’humain, le conforme spirituellement comme le non-conforme, sans rien arbitrer. Ces images seront les bases de sa future vie spirituelle.

La mort du corps physique de l’humain correspond à la naissance de l’esprit. Dès lors, ce nouvel être spirituel entre dans une nature intelligente pour l’éternité ; Les images mémorisées au cours de la vie humaine sont les bases de son anatomie. S’il naît spirituellement viable ; Si la vie humaine gestatrice et son environnement l’a modelé de façon appropriée, le nouvel esprit peut espérer une existence à tendance extasique. S’il naît non-conforme, les lieux angoissants l’obligeront à s’améliorer. Par un processus défiant les lois matérielles et spirituelles, l’humain gestateur se voit, après la mort totale de son corps physique, vivre éternellement dans la vie de l’esprit issue de son propre comportement. Mieux vaut pour l’humain que son esprit naisse conforme aux lois spirituelles ; La mort, suppression de matière et de souffrance, n’existe pas dans le Spirituel. Seul règne la démesure de l’extrémité angoisse pour forcer à l’amélioration. Un comportement humain de paix et de responsabilité produit des images adaptées à la conformité d’un esprit.

Par un comportement de paix et de responsabilité, un humain, d’une part perçoit un contrôle efficace de son intelligence par l’intermédiaire d’un partenaire esprit qui lui évitera les écarts d’un comportement intelligent incontrôlé et d’autre part, il se bâtit un patrimoine spirituel solide dans la gestation d’un esprit qui deviendra son hébergeur pour l’éternité.

Tout est naturellement ajusté pour que l’Humain ait un comportement de paix et de responsabilité envers lui-même, envers ses semblables, envers toute la nature ; C’est son rôle dans son environnement ! Il n’a pas d’autres choix s’il veut profiter d’une existence physique et métaphysique saine.

L’Humain a un rôle d’harmonie dans sa nature. C’est son comportement intelligent l’outil fondamental d’harmonie. L’Humain est le summum de la nature matérielle ; C’est un mammifère omnivore ; Ses bras, affranchis de la marche, sont terminés par des mains au pouce opposé aux autres doigts formant une pince.

Cette silhouette debout, ces bras libérés, ces appendices insurpassables que sont les mains, toute cette sommité matérielle associée à de l’intelligence spirituelle font de l’Humain un être exceptionnel capable de prendre de la matière et de la modeler et d’être ainsi, à moindre échelle, l’égal de la nature qui façonne l’environnement.

Le piège pour l’Humain est d’entrer en concurrence avec la nature. Ses capacités, certes, prêtent à la dérive mais il n’est pas « construit » pour cela. Il n’a aucune chance de salut en ce sens ; Les proportions sont démesurées ! Son rôle, dans son environnement, est de veiller au fonctionnement normal de la nature. La nature a mis des lois parfaites dès le départ. Ces lois influent sur le comportement instinctif des espèces. Il est tout à fait possible qu’une espèce animale ou végétale se développe anormalement tout en respectant les lois naturelles ; Dans ce cas, la nature ne peut rien faire. Cette race, par son développement anarchique, tend à annuler la biodiversité en ne laissant, dans son environnement, que ce qui lui est nécessaire pour vivre. Sans une intervention humaine, sans cette sommité morphologique intelligente capable de prendre, sciemment, de la matière et de la modeler c’en est fait de l’harmonie sur la planète.

Les humains et les esprits ont le même rôle dans leur environnement.

L’Humain est outillé pour maîtriser : Son physique et son intelligence lui fournissent des capacités exceptionnelles pour intervenir, à bon escient, dans un univers de matière.

L’Esprit est aussi le summum de sa nature : Son anatomie abstraite n’est pas figée dans l’éternité. Elle se régénère sans cesse dans le Matériel au travers de la symbiose avec l’Humain qui la font évoluer en instinct et l’instinct est surpuissant dans un environnement intelligent.

[Claude De B. – le 04-06-00]

Une certaine définition de l’intelligence.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2000
Une certaine définition de l’intelligence.
Il est certain que l’Humain est de passage sur la planète Terre. Cela veut dire qu’il a un cheminement à effectuer, de sa fécondation à sa disparition.

Trois étapes irréversibles marquent ce passage : La gestation, la vie, la dissipation. Elles sont séparées par des paliers : La naissance et la mort.

La fécondation du Terrien a été l’union d’une intervention intelligente et d’un milieu matériel. Une action intelligente a fécondé la nature terrestre. La nature ne « produit » pas, seule, des races qui risquent de lui être nuisibles ; Seulement des races animales et végétales s’intégrant parfaitement dans son harmonie. Si la nature produisait naturellement des races nuisibles pour elle-même se serait le début de sa fin.

La gestation du Terrien fut la longue période au cours de laquelle son anatomie s’est longuement affinée pour devenir le summum de la nature matérielle ; Du mammifère primitif à l’Australopithèque, de l’Australopithèque à l’Homme de Cro-Magnon.

Sa naissance correspond à la période ou une force supplémentaire, étrangère à la nature matérielle, lui a été inculquée, lui permettant de dépasser le comportement instinctif. Cette force est l’intelligence.

Juste avant notre naissance intelligente, nous en étions au stade supérieur de l’instinct qui consistait à prendre un outil primitif (Une pierre, un morceau de bois) et de s’en servir pour notre survie, comme le font actuellement les animaux les plus évolués.

Après notre naissance intelligente, grâce à cette force supplémentaire (que les autres éléments vivants n’ont pas) nous n’avons cessé d’améliorer nos outils de survie et par conséquent, notre façon de vivre. Nous nous démarquons depuis, en technique (Outils, réflexion, écriture, etc.) des autres mammifères.

Cette force, l’intelligence, n’est pas matérielle parce qu’elle ne se trouve pas naturellement dans les autres races animales et végétales ; Celles-ci vivent d’instinct.

L’intelligence fait autorité dans la nature matérielle. La nature, réputée invulnérable pour les autres races, devient vulnérable face à l’intelligence humaine. Pour quelle raison ? Pour quelle raison la nature matérielle accepte une force étrangère qui risque de lui être fatale ?

Parce que la nature a besoin d’une force étrangère, au-dessus de ses lois, pour veiller à l’harmonie de ses éléments car il est possible que, dans son environnement, certaines espèces se développent de façon anarchique ce qui romprait l’harmonie matérielle.

L’intelligence est étrangère à la nature matérielle. C’est une force spirituelle. Comme l’instinct dans le matériel, l’intelligence est la force motrice qui unit les éléments spirituels.

La nature spirituelle nous a doté d’intelligence pour « aider » son partenaire : La nature matérielle, dans son besoin d’harmonie, à la condition expresse d’être en contact permanent avec le Spirituel pour acquérir un comportement intelligent responsable, envers nous-même d’abord, mais aussi, envers toute la nature matérielle, au risque de nous détruire délibérément.

La nature n’a pas besoin qu’on la détruise. Elle a besoin qu’on l’harmonise. Nous sommes physiquement et intelligemment « construit » pour harmoniser ; « Vous êtes le sel de la Terre » disait un certain !!!!

[Claude De B. – le 24-04-00]