Les dons que j’ai pu développer au cours de ces 5 dernières années ont toujours été l’acheminement logique postérieur à une souffrance. Le suicide puisque vous en faîtes allusion n’est pas, comme le prétend la religion, interdit.
En effet je prends comme exemple ma vie, ma modeste petite vie. Il faut savoir qu’il y a 5 ans, le 3 août 1993 ma mère décidait de « partir ». Sacrilège certains diront. Grossière erreur que celle-là. En effet il est marqué dans mon thème astral que ma mère se donnerait la mort dans sa maison, chose qui fut faîte ce 3 août 1993. Un mois, jour pour jour, avant ce terrible drame, l’au-delà me prévenait par un rêve.
Deux mois après son décès je gagnais une superbe lithographie dans une loterie lors de la soirée de la Sainte Geneviève, Sainte des Gendarmes, signée « L. LESCURE ». Fruit du hasard ? Ma mère s’appelait LESCURE Jacqueline. Pourquoi donc le L, tout simplement parce que son surnom était « LINOU ».
Autre « coïncidence », j’était flic avant, donc je suis comme St Thomas, j’ai besoin de preuves pour comprendre. Or le jour de naissance de ma mère et celui de sa mort, correspondent au deux fêtes du calendrier des deux femmes qui lui ont succédées auprès de mon père, soit le 23 juillet et le 3 août. Sainte Brigitte et Sainte Lydie, ces deux femmes furent les deux épouses de mon père.
Autre « coïncidence », j’ai acheté l’année dernière une maison. L’achat devait se faire courant juin, juillet. Pour de multiples raisons, qui résultent soit disant du hasard, l’achat ne s’est concrétisé que le 3 août, soit 5 ans exactement après le décès de ma mère. Il en résulte que le hasard n’existe pas.
J’ai encore bons nombre d’exemples qui démontrent l’illusion de ce que nous vivons. Cela fait l’objet d’un livre que j’ai commencé à écrire: VÉRITÉ CACHÉE. Encore le fruit du hasard, il y a quelques jours j’ai acheté en librairie le livre de Jean GUITTON mon testament philosophique, deux jours après ce croyant de la toute première heure qui s’est remis maintes fois en question décédait. Ce livre nous éclaire sur les questions existentielles qui restent parfois avec un gros point d’interrogation.
Bonsoir, je me prénomme Franck. Il n’y a aucun texte (suite à une question posée par Claude B.), qui a appuyé ma réflexion, seulement l’étude des gens et des « coïncidences ». Mon expérience personnelle m’a permis de comprendre que nous n’apercevions qu’une partie du monde.
Nous avons tous une destinée à accomplir, le tout est d’en comprendre le sens. La mienne est rude et mettra à mal les certitudes qui régissent le monde actuel, lorsque le livre que j’ai commencé à écrire sortira.
Pour l’instant, l’homme n’est pas encore prêt pour comprendre les lois universelles qui régissent notre univers. Il est trop tourné sur son « nombril ». Trop assoiffé de pouvoir pour accepter qu’il n’est que l’instrument d’une lente évolution vers la spiritualité. Les fléaux qui nous frappent ne sont là que pour nous faire sortir des tripes ce que nous avons de meilleur en nous.
J’ai le don de perception des choses cachées. C’est difficile à assumer. Parfois on souhaiterait être aveugle, mais je ne peux déroger à cette mission : réunir le ciel et la terre. Les psychanalystes ont déjà une approche du pouvoir de l’inconscient. L’inconscient cette partie de nous qui reste le lien privilégié avec l’au-delà renferme tellement de possibilités. Certains ont une approche de cette faculté avec le sentiment du déjà vu. Peu, ont conscience qu’il s’agit d’une communication spirituelle. Pourtant cela a traversé les âges, le rêve est le moyen de communiquer entre le ciel et la terre.
Si vous souhaitez comprendre les mécanismes et le pouvoir que peut engendrer la maîtrise de l’inconscient, vous pouvez lire le testament de Karl JUNG sur l’approche des facultés inconscientes de l’homme dans son évolution. Il s’agit du livre ESSAI D’EXPLORATION DE L’INCONSCIENT aux éditons FOLIO en livre de poche. JUNG élève de FREUD s’est opposé à l’analyse du grand psychanalyste sur le fait que tout avait pour origine le sexe sur les perturbations qui pouvaient suivre l’homme lorsqu’il devient adulte. Lorsque JUNG aborda le sujet de la parapsychologie, soit les pouvoirs de l’inconscient, FREUD ne donna pas suite, et ce fut la rupture de leur collaboration.
À l’attention de Claude B., évolution et civilisation.
Monsieur, j’ai lu avec intérêt vos observations sur l’évolution de la civilisation. Je suis loin de partager l’ensemble de vos critiques. Néanmoins je vous rejoins sur un point qui est incontournable : le besoin d’élévation de notre conscience, qui gangrenée par la matière génère les fléaux dont vous faites état.
Vous faites référence à la notion de hasard; savez-vous que la nouvelle physique quantique démontre que le hasard n’existe pas. En effet, au niveau de la micro physique il est établi que la hasard ne peut exister. La physique quantique cherche à établir le parallèle entre la micro et la macro. Aujourd’hui vient de paraître une étude sur l’évolution du comportement des ménages. Il apparaît que la précarité s’étend de plus en plus dans toutes les couches sociales, soit 1 foyer sur 5. En contre partie, 50 % de la population adhère d’une façon ou d’une autre à une association, dans le cadre du bénévolat.
Cette évolution des mentalités n’est-elle pas la matérialisation concrète qu’il est nécessaire de « détruire » un monde matérialiste pour accéder à une élévation spirituelle. André MALRAUX disait : « le prochain siècle sera spirituel ou ne sera pas ». À méditer…
Ce site est une modeste invitation à parcourir ensemble le chemin de la réflexion…
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Les dons que j’ai pu développer au cours de ces 5 dernières années ont toujours été l’acheminement logique postérieur à une souffrance. Le 
Bonsoir, je me prénomme Franck. Il n’y a aucun texte (suite à une question posée par Claude B.), qui a appuyé ma réflexion, seulement l’étude des gens et des « coïncidences ». Mon expérience personnelle m’a permis de comprendre que nous n’apercevions qu’une partie du monde.
Monsieur, j’ai lu avec intérêt vos observations sur l’évolution de la civilisation. Je suis loin de partager l’ensemble de vos critiques. Néanmoins je vous rejoins sur un point qui est incontournable : le besoin d’élévation de notre conscience, qui gangrenée par la matière génère les fléaux dont vous faites état.