Tous les articles par Michael AR.

Quelle signification peut-on donner au mot Amour? Réponse.

Réflexions et TémoignagesAnnée 1997
Quelle signification peut-on donner au mot Amour? Réponse.
Tout d’abord il est préférable de préciser que sa signification diffère selon le niveau de conscience où il est ressenti et vécu; En ce qui concerne le niveau de conscience actuel des hommes, il s’agit plutôt d’un besoin, d’une nécessitée, d’une dépendance et d’une croyance véhiculée par l’ego. Il ne connaît pas la juste valeur de l’amour car il ne comprend pas la différence entre la relation d’âme et celle de l’ego. Donc à ce niveau-ci il s’agit d’un amour incompris et superficiel par conséquent ce que nous entendons par ceci, un AMOUR CONDITIONNEL. Pourquoi conditionnel? Eh bien tout simplement parce que l’ego dans ce niveau de conscience vit la séparation et la limitation. Il vit la séparation de son âme ainsi que de celle des autres ayant pour résultat de limiter la compréhension, l’unification, le partage.

Ex.: Dans une relation dès qu’un événement, un sentiment incompris surgit dans un couple, il devient une condition à l’amour.

Ensuite si nous faisions référence à un niveau de conscience dans lequel l’homme connaît l’implication de son ego, et par le fait même l’implication de celui des autres, ainsi que ce qu’ils ont choisis de vivre dans cette vie-ci; Nous parlons donc d’un AMOUR PARTAGÉ. C’est-à-dire que la compréhension graduelle des sentiments, qui sont une des manifestations par lesquels l’âme s’exprime, permet une ouverture vers l’être aimé, vers les autres, et vers le tout.

Enfin nous parlons d’un AMOUR INCONDITIONNEL lorsque la relation entre les âmes est claire, comprise. L’âme ainsi que l’ego sait le pourquoi de toutes les manifestations des autres ego ainsi que de leurs âmes.

Ma définition :

– L’amour est un état d’âme provenant du pressent, sans peur et sans négativité. C’est la manifestation transcendante de cette âme à une autre âme, ou bien aux autres âmes. L’émergence de ses pouvoirs dans ce pressent sans espace temps, sans aucune condition, sans attente et limitation.

[Michaël AR – le 03/03/97]

LA NOTION DE KARMA…

Réflexions et TémoignagesAnnée 1997
LA NOTION DE KARMA…
A l’heure de la « connaissance » ésotérique, qui n’a pas entendu parler de la notion de karma? On décrit souvent le karma comme une loi de rétribution et de punition, qu’on doit subir, coûte que coûte. Voilà une conception très simpliste due à des distorsions que certaines religions et pratiques spirituelles ont fait subir à un très vieil enseignement. A l’origine celui-ci reconnaissait le pouvoir spirituel des êtres humains. Si vous saviez QUI VOUS ÊTES VRAIMENT ET CE QUE VOUS ÊTES VENU APPRENDRE ICI, vous sauriez que la notion de karma telle qu’elle est perçue maintenant est simplement une autre croyance créée par les hommes.

« Vous créez aussi inconsciemment que vous respirez », disait notre frère Morya. Si vous saisissez que ce sont vos pensées et vos croyances (conscientes et inconscientes) qui déterminent votre réalité, vous constaterez que le karma n’est en fait que le résultat d’un libre choix « inconscient ». Par exemple, si vous gardez dans votre champ d’énergie (aura) une peur déniée, qui devient par conséquent inconsciente, vous pouvez être certain qu’elle se manifestera tôt ou tard. Si seulement vous vous rappeliez le choix ultime que votre âme fait d’une incarnation à l’autre, soit apprendre à aimer inconditionnellement et s’unir à Tout Ce Qui Est, vous comprendriez vos choix inconscients en relation avec la souffrance, la peur, les luttes de pouvoir, les erreurs, le contrôle, l’attachement, la possessivité, les dépendances, l’abandon, le pardon, l’amour, le service et ainsi de suite.

Ce que vous vivez actuellement est une conséquence directe de ce que vous avez choisi d’apprendre. Ceci n’a peut-être pas de sens pour vous, car vous avez perdu la mémoire à votre naissance. De plus, votre ego pense qu’il sait, alors qu’en fait il se moque royalement de la véritable connaissance.

Par ce message je souhaite éveiller en vous une nouvelle compréhension, car il est temps que certaines choses d’importance majeure changent sur terre.

VOUS SAVEZ SÛREMENT, MAIS VOUS NE COMPRENEZ PEUT-ÊTRE PAS VRAIMENT…

Les bouleversements personnels et collectifs qui se produisent actuellement sur terre sont là pour vous éveiller.

[Michaël AR – le 20/02/97]

La Crise Suicidaire…

Réflexions et TémoignagesAnnée 1997
La Crise Suicidaire…
J’ai moi-même connu le désir ardent de me suicider et j’ai longtemps tenté de le faire consciemment et inconsciemment. Mais j’ai vaincu cette propension et aidé plusieurs jeunes suicidaires. Mes expériences m’ont amené à la conclusion suivante: LES PENSÉES SUICIDAIRES N’APPARTIENNENT GÉNÉRALEMENT PAS À CEUX QUI LES VIVENT ET QUI EN DEVIENNENT LES VICTIMES. Dans bien des cas, il s’agit souvent d’influences négatives qui tirent profit des faiblesses, des peurs et des souffrances des êtres humains. Souvent on entend un rescapé du suicide s’exclamer: « Je ne comprends pas ce qui m’a pris ! », ou « Je n’avais plus d’espoir en la vie, je ne voyais pas la lumière au bout du tunnel », ou « La seule chose que je pouvais envisager, c’était le suicide. Je ne pouvais contrôler cette pensée », ou bien encore « Quelque chose ou quelqu’un me disait de me suicider ». Ces impulsions proviennent généralement d’une énergie négative créée par les formes pensées de la personne elle-même. Elles peuvent aussi résulter de l’influence d’entités désincarnées, soit d’êtres humains qui se sont eux-mêmes suicidés, croyant que c’était la meilleure solution à leurs problèmes. De plus, l’alcool, les drogues et les fausses croyances amplifiées par la société affaiblissent certaines personnes, les rendant encore plus vulnérables au suicide. Elles deviennent des victimes dociles. L’ALCOOL ET LES DROGUES ONT ÉTÉ INTRODUITS DANS LA SOCIÉTÉ POUR VOUS FAIRE PERDRE VOS POUVOIRS, POUR VOUS AFFAIBLIR ET VOUS CONTRÔLER, ET VOYEZ Á QUI CELA PROFITE; ARGENT, CONTRÔLE ET POUVOIR. Il arrive parfois que certains membres d’une famille ou des amis qui se sont suicidés hantent leurs connaissances, les incitant au suicide afin de les retrouver. Tout ceci est grandement facilité par l’absorption d’alcool et de drogues, car ces facteurs altèrent la conscience et ouvrent la porte à toutes sortes d’énergies discordantes. Les personnes à tendance suicidaire auraient tout intérêt à discerner les sources de la persécution qu’elles subissent. Vous avez peut-être remarqué que la majorité des candidats au suicide sont des personnes qui possèdent une grande sensibilité émotionnelle et une intelligence plus développée, ou supérieure, bien qu’inexploitée. VOTRE DEGRÉ DE SOUFFRANCE EST PROPORTIONNEL À VOTRE POUVOIR, OU À VOS CAPACITÉS. Donc si vous souffrez énormément, c’est que vous êtes très puissant. Les gens puissants souffrent D’AVANTAGE ET AVEC PLUS D’INTENSITÉ. Un entourage discordant et des situations conflictuelles les affecteront plus profondément, et par conséquent, leur déception pendra plus d’ampleur. Ces jeunes seront plus touchés par l’état actuel de l’environnement et de la société, et leur sens de la justice sera plus conscient et défini. On les entendra souvent dire: « Ce n’est pas juste ! », ou « Je n’ai pas d’avenir », ou « Je n’en peux plus, Ça n’a pas d’allure ». A ce propos, je vous dirai que PLUS LES ÉLÉMENTS NÉGATIFS SONT PUISSANTS, PLUS LES ÉLÉMENTS POSITIFS LE SONT ÉGALEMENT.

Laissez-moi vous relater le cas d’une jeune fille de 16 ans qui avait complètement perdu le goût de vivre et d’apprendre à utiliser sa créativité; elle ne parvenait pas à s’imaginer un futur intéressant. Après avoir discuté avec elle, je me suis rendu compte qu’elle était sérieusement et dangereusement suicidaire, sans qu’elle le réalise vraiment. Je voyais qu’elle se laissait inconsciemment manipuler par des entités, soit des amis qui s’étaient suicidés récemment. Je lui ai donc demandé de me raconter ses rêves. L’un d’eux révéla des évidences significatives quant à ce qui a été dit précédemment. Durant la nuit, sa chambre et son salon furent envahis par des jeunes de son âge, parmi lesquels elle reconnut des amis qui s’étaient suicidés. Elle les voyait consommer de l’alcool et de la drogue, et faire des allusions aux plaisirs sexuels. Ils lui répétaient sans cesse: « Viens fêter avec nous! Viens nous rejoindre, vois comme nous nous amusons! », ou « Viens rejoindre tes amis. Nous avons fait la bonne chose, le bon choix. Nous avons eu le courage de le faire. » Par la suite ces pensées la hantaient constamment, mais elle ne s’en rendait pas compte. Après un échange plutôt ardu, je lui ai fait prendre conscience de l’emprise que ces entités exerçaient sur elle tout en lui montrant que son attitude suicidaire était une conséquence directe de cette influence. Elle comprit les motivations malsaines cachées derrière ces pensées. Elle découvrit qu’elle avait le pouvoir de contrôler sa pensée, de discerner « leurs » pensées des siennes, et de les tenir à distance. Dès le lendemain elle avait repris le goût à la vie de façon inespérée. Elle a pu ensuite créé de très beaux projets. Maintenant elle se fixe régulièrement de nouveaux buts qu’elle réalise, car elle croit désormais en ses aptitudes. Cela est devenu possible parce qu’elle contrôle ses pensées et qu’elle a repris confiance en sa propre créativité. Mais surtout, elle est maintenant consciente que son véritable objectif personnel, et les façons d’y parvenir, n’ont absolument rien à voir avec le suicide.

Beaucoup d’adolescents consomment de la drogue et de l’alcool. Plus les doses et la fréquence de consommation augmentent, plus ils perdent le contrôle de leurs facultés et deviennent dysfonctionnels, en proie a une négativité et à une violence tournées contre eux-mêmes ou les autres. La criminalité et les actes de violences des adolescents sont des cris d’alarme et de contestation. Naturellement, les jeunes disent: « C’est la faute de la société, des parents, des autres… » Sachez que ceci n’est pas entièrement faux, car IL EST DIFFICILE D’ACCEPTER CERTAINES SITUATIONS LORSQU’ON LES PERÇOIT AVEC PERSPICACITÉ, DE FAÇON PLUS CONSCIENTE. Car les adultes acceptent un quotidien érigé sur des concepts préétablis qu’ils ne questionnent jamais. Bien sûr, ils grognent de temps en temps, mais la routine quotidienne ramène rapidement tout en « ordre ». Comprenez qu’il est difficile à ces garçons et à ces filles, dont le niveau de conscience est plus élevé que celui du cercle familial ou des amis, d’observer et d’accepter ce qui se passe autour d’eux. Plus leur souffrance est intense, plus ils rejettent la société. C’est pourquoi on les entend parfois s’écrier: « Je ne veux plus vivre dans cette société! », ou « Je ne peux pas accepter ce qui se passe! », ou « Vous n’êtes pas comme moi, vous ne pouvez pas me comprendre ». Alors, ils décrochent physiquement ou mentalement, ou bien les deux à la fois. Si les jeunes comprennent QUI ILS SONT VRAIMENT, s’ils reconnaissent les raisons de leur rébellion et de leur souffrance, s’ils prennent conscience du POUVOIR QUE LEURS PENSÉES POSITIVES OU NÉGATIVES ONT SUR EUX, s’ils savent comment contrôler et transformer leurs pensées, alors, leurs désirs et leurs souffrances deviendront des sources d’inspiration pour créer de nouveau.

Il est important aussi de noter que les personnes qui ont expérimenté un abus quelconque (physique, intellectuel, émotif ou mental) ont ainsi créé des formes pensées qui peuvent les maintenir dans des croyances négatives, dans la souffrance et la peur. Ces personnes peuvent inconsciemment léguer leur pouvoir à ces aspects négatifs d’eux-mêmes qui les accableront jusqu’à ce qu’elles décident consciemment d’y mettre un terme. L’inconscience par rapport à l’influence des pensées négatives peut se résumer dans des propos: « Je ne sais pas pourquoi je pense comme ça », ou « J’ai toujours telle impression », ou « Cette pensée revient constamment sans que je sache pourquoi », ou « Quelqu’un me dit toujours… », ou encore « J’ai complètement oublié telle ou telle période de ma vie. Je n’en garde aucun souvenir. »

En somme, ce qui importe, c’est de savoir que si vous NE COMPRENEZ PAS CE QUI VOUS ARRIVE, C’EST QUE VOTRE SYSTÈME DE PENSÉE EST INADÉQUAT, SUBJUGUÉ PAR DIFFÉRENTES INFLUENCES INCONSCIENTES. Tous les problèmes ont des solutions, mais pour découvrir les diverses possibilités existantes, on doit d’abord sortir de l’inconscience et de l’ignorance.

[Michaël AR. – le 09-02-97]

Pourquoi le Monde change-t-il?

Réflexions et TémoignagesAnnée 1996
Pourquoi le Monde change-t-il?
Tout au long de son évolution, la Terre a subi plusieurs destructions, plusieurs transformations. Depuis les temps les plus reculés, de millénaire en millénaire, les hommes et les civilisations se sont succédés.

Que l’on se fie aux anciennes légendes des peuples ou encore uniquement à l’histoire officielle, la mémoire de l’humanité est remplie d’indices qui viennent le confirmer. À mesure que les preuves s’accumulent, la science ne peut rien faire d’autre que constater les faits et réviser ses vieilles positions.

Nous sommes à un tournant dans l’évolution de notre planète. Consciemment ou non, tout le monde le sait. Il suffit de jeter un coup d’oeil autour de nous pour constater à quel point le moment des grands choix se rapproche et combien tout le reste en dépend. Mais il y a là une précieuse leçon à aller chercher, toujours la même, aussi actuelle aujourd’hui qu’elle l’était pour les civilisations passées.

Et quelle est cette leçon que tant d’âmes ont pu nous léguer à travers leurs erreurs? En quoi l’usage de leur libre choix, conditionné par leurs croyances et leur vision du monde, peut-il nous apprendre quelque chose? Quelle est l’essence du message à saisir? Que croyez-vous que tout cela signifie?

Par le terme « libre choix », nous ne parlons pas du libre arbitre au sens où on l’entend généralement. Il y a plus encore, beaucoup plus… Quels étaient les enseignements que ces âmes avaient choisis, que nous avons choisis? Quelles valeurs, croyances ou peurs profondes ont motivé leurs choix, les nôtres aussi?

Comment ne pas voir que nous-mêmes, en tant qu’âmes, avons fait des choix de vie et par conséquent défini à l’avance les leçons de vie à maîtriser…

Prenons un simple exemple : Je choisis telle réalité dans ma vie, telle famille, tel emploi, telle condition matérielle. Mais comment et par quoi ces choix sont-ils dictés? Eh oui, par nos croyances! Mais quelles croyances? Et d’où viennent-elles, le savez-vous?

Une foule de croyances profondes conditionnent la vie de la majorité des gens. En voici un exemple flagrant : Il faut souffrir pour apprendre… Comment peut-on ne pas souffrir avec une telle vision des choses? C’est ainsi que nos croyances viennent littéralement diriger notre vie, chacune à sa façon.

À l’inverse, vous pouvez être de ceux qui se disent : Pas moi, je n’entretiens pas de telles pensées! N’est-ce pas là un pur mécanisme de défense? Et en creusant un peu, vous risquez d’avoir toute une surprise car, plus souvent qu’autrement, la réalité, elle, est très différente.

Certains se disent : J’ai fait un long cheminement et je sais qui je suis. D’autres pensent : Je ne m’arrête pas au côté négatif des choses. D’autres encore : J’ai beaucoup vécu et je possède toute la connaissance et l’expérience dont j’ai besoin. Existe-t-il vraiment des recettes automatiques à la sagesse? Qu’y a-t-il donc au delà des clichés confortables?

Votre âme a déterminé son chemin selon ses croyances, ses peurs, son choix de leçons de vie. Si vous attachez une grande importance au savoir ou bien à l’expérience, souvenez-vous du proverbe : Plus on apprend, plus on réalise qu’on ne sait rien. C’est encore plus vrai lorsqu’on s’imagine se connaître soi-même.

Attention de ne pas laisser l’ego prendre le contrôle… C’est peut-être lui qui vous empêche d’évoluer, de partager, de vous unir aux autres qui, tout comme vous, sont des enfants de Dieu, du cosmos, de l’univers, etc., peu importe vos vues.

Cette mise en garde s’adresse autant à tous ces maîtres, clairvoyants, chamanes, médiums ou « channelers » qui croient avoir la science infuse et devoir cheminer seuls, servir seuls. À notre époque plus que jamais, il faut être vigilant et se rappeler la maxime : « Diviser pour régner » de Machiavel. Ne tombez surtout pas dans le piège ou le confort des certitudes.

D’abord et avant tout, il s’agit d’arriver à une conscience claire et d’être qui on est vraiment… Quelle est la vraie nature de mon âme? D’où vient-elle? Quelles sont ses peurs et ses croyances? Pourquoi et comment s’est-elle imprégnée, encodée de ces limites? Qu’est-ce qui contrôle mes peurs, mes croyances profondes? Qu’est-ce que tout cela peut m’enseigner?

Être dans l’amour, sans peur, sans négativité, sans notion de possession ni de contrôle, cela veut dire : Devenir qui je suis vraiment au delà de ma perception et de ma vision mentale.

Cela signifie aussi : être un enfant de Dieu dans l’amour et, puiser à même la Source Vivante de la Conscience Universelle, réaliser pleinement que nous sommes tous Un dans le Tout, frères et soeurs, égaux, avec chacun notre assignation.

Oui, vous avez une assignation. Chaque jour, vous enseignez à votre conjoint, votre famille, vos amis, et ce, bien plus que vous ne le percevez consciemment. Mais à cause des limites que vous vous êtes imposées, vous ne pouvez pas saisir l’étendue véritable de votre potentiel.

Uniquement sur le plan physique, nous savons tous à quel point nos pensées sont puissantes et influencent notre corps… La recherche de pointe montre que nos cellules et même nos molécules ont une intelligence et sont le miroir de notre vie intérieure. Et ce n’est là qu’une fraction de ce que nous pouvons accomplir, si nous le voulons réellement. Il ne tient donc qu’à nous d’exercer le plein pouvoir de notre pensée sur tous les plans.

La Terre change, se transforme. Elle rectifie sa vibration et ce n’est pas la première fois. Elle accomplit son passage de la troisième à la quatrième dimension et ce n’est pas terminé. Le monde change, les institutions doivent changer. Certains sont bouleversés par ces changements, d’autres n’en ont qu’une vague impression. Mais souvenez-vous : Il n’y a pas de hasard ! Si l’on veut s’intégrer au changement, il faut changer sa façon de penser.

Malgré toutes sa science, son intelligence et sa conscience, notre civilisation nous montre que ça ne marche pas, encore une fois. Serait-ce que la conscience, l’intelligence et la vision mentale que nous avons ne sont pas valables? À vous d’en décider, car vous avez plus que jamais le libre choix.

Demandez à Dieu de vous aider à vous connaître, vous aimer vous-même, aimer et honorer inconditionnellement les autres dans la pleine acceptation de leur libre choix. N’oubliez pas de Lui demander la même grâce pour tous vos frères et soeurs.

Et sachez qu’en devenant conscient, en changeant et en transformant la source de votre libre choix, vous serez enfin libéré de vos peurs, vos croyances, vos « patterns », vos leçons de vie présentes et passées.

Dans l’amour et la lumière…

[Michaël AR – le 20-10-96]

Michaël AR vous parle…

Réflexions et TémoignagesAnnée 1996
Michaël AR vous parle…
Bonjour, mon nom est Michaël et je vous écrits pour vous faire partager mon intérêt sur le sujet : Autre Conscience, autre Monde.

Après un cheminement spirituel et une expérience de vie après la mort, je me dois de partager ceci à qui veut bien l’entendre;

* Il y a quatre niveaux de conscience :

– La conscience non valable, inappropriée.
– La conscience valable, appropriée.
– La conscience égale (nous sommes tous égaux, tous nos actes sont égaux).
– L’état de co-création (Jésus, les Mantres).

Avec Amour
[Michaël AR – le 26-09-96]