Archives de catégorie : 1997 – PETITE HISTOIRE OU…

Ces Petites Histoires sont vraies ou sont fausses… peu importe… Si l’on y trouve un semblant de vérité et un écho au fond de soi, c’est qu’il y a une part de réalité…

L’énigme du Sphinx… Suite…

Année 1997
L’énigme du Sphinx… Suite…
Il semble que la présence de la chambre en dessous du sphinx se confirme ! Certains en tout cas en sont persuadés. Le problème n’est pas un manque d’argent, mais les égyptiens ne veulent pas donner d’autorisation de fouilles, pour au moins deux raisons :

– ils ont peur d’être dépossédés de leur libre arbitre, en autorisant des « étrangers » à venir faire une découverte majeure chez eux.
– si on venait à prouver que ce ne sont pas leurs ancêtres directs qui ont construit les pyramides principales et le sphinx, et que leurs Pharaons n’en ont fait que de pâles copies pour imiter la science des « immigrés », cela ne leur ferait pas plaisir !
– certains « étrangers » se battent pour « médiatiser » l’affaire et en faire un bizness.
– d’autres, soutenus par l’A.R.E., veulent prouver qu’Edgar Cayce avait raison.

Je respecte profondément l’A.R.E., dont j’ai été membre, mais l’association est souvent perçue par certaines personnes comme religieuse, voire sectaire.

Ceci dit, Edgar Cayce a indubitablement décrit les manuscrits de la mer morte avant leur découverte. Il a surtout décrit avant sa mort, en 1944, le monastère essénien où certains parchemins ont été écrits, et qui fut pris pour un fort romain jusqu’en 1958. On reconnut alors que c’était un bâtiment essénien, et on y trouva des ossements féminins, ce qui étonna les archéologues, mais pas ceux qui avaient lu Edgar Cayce…

(Novembre /97) , traduit par Philippe L.

L’énigme du Sphinx…

Année 1997
L’énigme du Sphinx…
Dans une révélation surprenante, Joseph Schor du SCHOR GROUP a annoncé que son équipe de recherche a mis en évidence une énorme salle sous le Sphinx, « qui a à peu près 25 x 40 pieds… à peu près 35 pieds sous le sol. Les murs sont parallèles. Nous sommes sur à 99% qu’il y a une chambre là, mais nous devons l’ouvrir pour le prouver. D’une manière ou d’une autre, nous allons essayer de trouver la solution ». L’annonce est venue durant la Conférence d’août de l’ASSOCIATION OF RESEARCH AND ENLIGHTENMENT (A.R.E.), à Virginia Beach [Association qui détient les archives d’Edgar Cayce].

L’expédition Schor a passé trois semaines en Avril 1996 à la recherche du légendaire « Hall of Records » [la « bibliothèque atlante »], prédite par le voyant Edgar Cayce.

L’équipe a utilisé une ligne de radars sophistiquée, que Schor prétend être supérieure aux instruments résistifs et acoustiques utilisés par le STANFORD RESEARCH INSTITUTE
(SRI) il y a 20 ans. En ce temps là, le SRI a détecté des anomalies sous le Sphinx qui, lorsqu’on y a foré des trous, se sont avérés n’être rien de plus que des cavités naturelles du rocher.
Zahi Hawass, Directeur des Antiquités pour le plateau de Gizeh, est sceptique à propos de ces nouvelles, disant que « la précision du radar dans la description des anomalies souterraines n’est toujours pas prouvée » et exige une interprétation indépendante des résultats. John Von Auken, Directeur Exécutif de l’A.R.E., travaille avec Shor pour satisfaire la requête de Hawas, en disant « Nous demanderons à une institution qui fait autorité en la matière d’interpréter les données ». Suivant Hawass, forer ou creuser sur le site est hors de question en ce moment.

Schor pense qu’il pourrait y avoir une autre voie. Son radar a aussi montré l’existence d’un tunnel conduisant de la chambre jusqu’à six pieds sous la surface. Il pressent que ce conduit pourrait être vite ouvert et nettoyé sans forage, si les officiels Egyptiens donnaient une autorisation de travail. Le Groupe Schor est aussi intéressé à l’exploration de tout le plateau de Gizeh avec leur équipement Radar, mais cela demande une autorisation séparée.

Dans un communiqué séparé, Hawass a accepté d’autoriser une exploration complémentaire dans la Grande Pyramide, qui avait été sujet à controverse, depuis qu’un tout petit robot a découvert une porte au bout d’un conduit en 1993. Jusqu’à ce jour, Hawass avait refusé toute exploration complémentaire, disant que la préservation des monuments était sa première priorité.

(Source: A. Robert Smith, VENTURE INWARD, Sept-Oct/97) , traduit par Philippe L.

Mars la Guerrière, que nous caches-tu ?

Année 1997
Mars la Guerrière, que nous caches-tu ?
Quel drôle de « visage » ! cela ne vous rappelle rien… si… si, cherchez. Est-ce vraiment une roche sculptée par la nature comme le suggère les scientifiques de la NASA…
Alors pourquoi s’intéressent-ils tant à cette petite planète. Plusieurs missions ont été lancées, aucune n’a aboutit… Et voilà, qu’un « petit robot » se pose, le 4 juillet 1997, en rebondissant après 7 mois de voyage dans l’infini…
S’étant exclut de sa gangue de caoutchouc, il va rouler pour découvrir ou chercher à découvrir ce que certaines personnes de la NASA savent déjà. Ils pourront ainsi confirmer leurs soupçons… Au fait ! notre petit « robot », s’est-il posé près de ce « visage » étrange ?…
Nous lui souhaitons bonne chance dans sa mission qui consiste à observer l’environnement et à rechercher des traces… « de quoi au juste » !…

« L’île du Paradis » ? Pourquoi ?

Année 1997
« L’île du Paradis » ? Pourquoi ?
A l’aube du 3ème millénaire nos astronomes, astrophysiciens et chercheurs de tout poil restent perplexes devant tant de découvertes (entre autre grâce à Hubble, le télescope spatial) et si peu de réponses…

Des galaxies dont l’existence serait plus avancée que le Big Bang ? Et ce fameux Big Bang dont l’âge n’est plus certains ; 20 000 000 000 ou 12 000 000 000 d’années… n’est-il pas le fruit de notre imagination créé par le désir de découvrir un commencement. Bref ! C’est le chaos organisé, et dans ce désordre si l’on y ajoutait une autre façon de percevoir notre Univers. C’est ce que propose la cosmogonie d’Urantia…

Voici en quatre tableaux le développement de notre « Grand Univers » et j’avoue que cette explication me séduit…

LE CENTRE DE L’UNIVERS

Au centre de l’Univers se trouve l’Ile du Paradis. Elle est la source d’où émanent toutes les énergies qui participent à la création du monde astronomique et assurent les mouvements ordonnés des corps célestes par un complexe de circuits gravitationnels. L’espace existe par rapport au Paradis dont le grand axe détermine le Nord absolu.

A proximité immédiate du Paradis se trouvent 21 sphères circulant dans le sens des aiguilles d’une montre (dextrogyre) sur 3 orbites, et servant chacune
de pôle à des énergies organisatrices vivantes. Le tableau 1 est purement schématique, parce qu’il est impossible de reproduire les vraies proportions géométriques de cet ensemble. L’Ile nucléaire du Paradis a une taille tellement prodigieuse que les énormes sphères des trois circuits pourraient aussi bien être représentées par de simples points.
L’UNIVERS CENTRAL

Tournant autour du noyau formé par l’Ile du Paradis et ses 21 sphères satellites (voir tableau 1) se trouvent trois autres groupes de circuits elliptiques. Le premier est horizontal et contient 1 000 000 000 de sphères habitées circulant dans le sens dextrogyre. Il constitue le parfait univers central appelé Havona (tableau 2). Les deux autres groupes, l’un horizontal orienté en sens contraire (lévogyre) et l’autre vertical et dextrogyre sont ceux des énormes corps de gravité obscurs qui ne reflètent pas la lumière. Leur nombre immense cache Havona aux yeux des observateurs extérieurs.

Le stupéfiant total de leur masse est supérieur à celui de l’ensemble décrit dans le tableau 3, et leur très grande vitesse de circulation contribue à la stabilité de l’univers
central par un double effet gyroscopique. Cette stabilité se traduit par existence de directions cardinales absolus qui commandent toutes les positions des corps célestes. Ces directions absolus se reflètent jusque dans le monde vivant par l’existence générale de cellules directionnelles conférants aux hommes et aux animaux un sens relatif de l’orientation. L’ensemble du système central dénommé Paradis-Hanova est à nouveau représenté ici (tableau 2) d’une manière purement schématique. Par exemple, le grand axe du circuit vertical des corps de gravité obscurs est 150 000 fois plus long que son petit axe.
LE GRAND UNIVERS

Le Grand Univers inclut toutes les parties actuellement habitées de l’espace. Il comprend le parfait univers central du Paradis-Hanova et les 7 superunivers évolutionnaires qui circulent autour de lui dans le sens lévogyre. Le grand axe de l’orbite des superunivers est immensément plus long que le petit axe.

Chaque superunivers (tableau 3) contient 100 000 univers locaux dont chacun contient une dizaine de millions de planètes habitées, ou habitables dans l’avenir
par des races humaines. Notre univers local porte le nom de Nébadon. Il se situe à la frontière extérieure du septième superunivers dénommé Orvonton. Nous en apercevons la majeure partie depuis la Terre sous la forme lenticulaire aplatie de la Voie Lactée avec un diamètre apparent d’environ 200 000 années-lumière.
LE MAITRE UNIVERS

Nous appelons Maître Univers l’ensemble du Grand Univers habité (tableau 4) et de l’Espace Extérieur encore inhabité. Cet espace extérieur se compose de 4 zones elliptiques annulaires alternées et successivement dextrogyres et lévogyres. D’immenses galaxies sont en voie de formation dans ces zones. Nos télescopes optiques ou électroniques en découvrent constamment de nouvelles, dont certaines paraissent fuir à une vitesse de 50 000 kilomètres/seconde. Cette apparence de fuite est due principalement aux deux facteurs suivants :
1) – Les mouvements cycliques de contraction et d’expansion de l’espace ayant une périodicité de 2 milliards d’années. Nous sommes actuellement à peu près au milieu d’une phase d’expansion.

2) – L’effet retardateur sur la lumière de la présence dans l’espace de nombreux corps visibles ou obscurs, de nuages d’hydrogène ou de poussières cosmiques,
de la gravité circulaire du Paradis qui se surimpose à la gravité linéaire de Newton, et de plusieurs énergies encore inconnues de nos savants. On notera incidemment que la Voie Lactée (notre Superunivers) circule à grande vitesse en sens inverse des nébuleuses de la première zone d’espace extérieur, ce qui produit partiellement l’effet apparent de deux trains qui se croisent. Par ailleurs, il existe une combinaison fort complexe entre les rotations de notre planète Urantia (Terre), du soleil, et de notre univers local autour de leurs centres d’attractions respectifs, sans même mentionner les rotations de groupements intermédiaires.
Il serait étonnant d’apprendre dans le futur que notre télescope Hubble vient de découvrir le centre de notre Univers, celui-ci ressemblant à un immense Gyroscope… Attendons donc…

Le songe d’Ézéchiel… Mais est-ce vraiment un « songe » ?

Année 1997
Le songe d’Ézéchiel… Mais est-ce vraiment un « songe » ?
J’ai reçu, voilà maintenant 20 ans, un petit livret d’un ami, Jean-Paul S. Lorsque je l’ouvris à l’époque, je découvris une traduction moderne du songe d’Ezéchiel que je trouvais intéressante…

20 ans après, je la trouve simpliste mais néanmoins plausible… Ezéchiel a vécu une expérience hors du commun mais est-elle physique ou psychique? Etait-ce vraiment un rêve ou une réalité ? A chacun de juger…

Chap. I, vers. 4 – je vis et voilà un vent tempétueux, qui venait du nord, et un gros nuage et un feu enveloppant autour duquel il y avait un éclôt, et au milieu de ce feu apparaissait comme l’image du cuivre fin et étincelant. Je vis donc un objet enveloppé du caractéristique halo, électromagnétique, qui émettait des lueurs de feu. Dans la partie plus intérieure de la soucoupe volante apparaissait une couleur de cuivre étincelant. Ce fut comme l’approche d’une furieuse tempête.
Chap. I, vers. 5 – Au milieu de celui-ci encore apparaissait l’image de quatre animaux, Telle était leur forme : ils avaient l’aspect d’hommes. Dans la partie centrale supérieure on distinguait un habitacle transparent qui était occupé par quatre hommes, lesquels étaient recouverts chacun par une combinaison spatiale ; ils apparaissaient semblables à des animaux. Cependant ils avaient la forme d’hommes et étaient comparables à nos astronautes.
Chap I. vers. 6 – Et chacun avait quatre visages et quatre ailes. Sur le casque étaient dessinés quatre emblèmes distinctifs et chacun comportait quatre palmes directionnelles semblables aux ailes.
Chap I. vers. 7 – Et leurs pieds étaient droits, et la plante de leurs pieds était comme la plante du pied d’un veau, et ils étaient étincelants comme la couleur du cuivre nettoyé. Leurs pieds chaussaient des bottines rigides forgées de façon que le pouce se distingue des autres doigts ; leurs combinaisons semblaient d’amiante et envoyaient des réverbérations de cuivre.
Chap I. vers. 8 – Et ils avaient des mains d’hommes au-dessous de leurs ailes, dans leurs quatre cotés et tous ils avaient leurs figures et leurs ailes. Leurs mains s’appuyaient à des poignées mises en correspondance des palmes directionnelles qui étaient quatre, et chacun avait sa combinaison munie de palmes de direction.
Chap I. vers. 9 – Leurs ailes s’accompagnaient l’une à l’autre… Ils ne se tournaient pas en marchant, chacun marchait droit devant soi. Les palmes directionnelles étaient disposées en couple.
(Le Prophète décrit le mouvement particulier des quatre astronautes, même s’il n’a pas spécifié qu’ils sortirent du vaisseau décrit ci-dessus).
Sous la poussée des petites fusées à l’extrémité des quatre palmes directionnelles, ils se déplaçaient par petits vols en ligne droite.
Chap I. vers. 10 – Or, quant à l’aspect de leurs figures, tous les quatre avaient un visage d’homme et un visage de lion, à droite ; et également tous les quatre avaient un visage de boeuf et un visage d’aigle, à gauche. Sur leur casque étaient dessinés quatre emblèmes ; une tête d’homme et une tête de lion, à droite ; une tête de boeuf et une d’aigle à gauche. (Il est important de rappeler qu’il s’agit des quatre symboles représentés dans le fameux sphinx égyptien et ce sont aussi les quatre animaux que l’Evangéliste Jean vit, alors qu’il était en Esprit autour du trône de Dieu et dans l’attitude d’adoration. (V. Apocalypse 4. 7. ).
Chap I . vers. 11 – Et leurs visages et leurs ailes étaient divises au-dessus, chacun deux ailes qui s’accompagnaient l’une l’autre et deux autres qui couvraient leurs corps. (Précision que le Prophète fait pour expliquer la disposition des quatre emblèmes distinctifs et des palmes de direction.)
Chap I. vers. 12 – Et chacun d’eux marchait droit devant soi. Ils marchaient partout où l’Esprit se mouvait. Pendant qu’ils marchaient, ils ne se retournaient pas de ci de là. Chacun d’eux se déplaçait en ligne grâce à la poussée fournie par leurs fusées placées aux extrémités des palmes de direction.
(Esprit = Energie motrice, synonyme d’animation et de mouvement). Dans leurs déplacements ils décrivaient de petits vols en ligne droite.
Chap I. vers. 13 – Et quant à l’aspect des animaux, ils ressemblaient à des braises de feu qui brûlaient comme des flambeaux, ce feu se répandait, grâce aux animaux, et donnait un éclat éblouissant et de ce feu sortait la foudre. Les flammes qui sortaient des rétrofusées brûlaient comme des flambeaux, et ce feu, qui était le moyen de déplacement de chaque astronef, sortait des extrémités des palmes directionnelles comme la foudre.
Chap I. vers. 14. – Et ces êtres allaient et venaient, pareils à la foudre. Et les astronautes, grâce à ce système de propulsion, se déplaçaient très rapidement.
Chap I. vers. 15. – Or, comme je contemplais ces êtres vivants voilà une roue sur la terre proche à chacune de leurs quatre faces. Or, pendant que je suivais les évolutions des quatre astronautes, voilà qu’un disque volant se posa près de chacun d’eux.
Chap I. vers. 16 – L’aspect des roues, et le travail, étaient semblables aux couleurs d’une chrysolite, et tous les quatre avaient le même aspect, et leur forme était comme si une roue avait été au milieu d’une autre roue. L’aspect des disques volants et le métal qui les composait était d’une couleur brun obscur.
Tous les quatre avaient la même forme un disque dans l’autre.
Chap I. vers. 17. – Lorsqu’elles se mouvaient, elles se mouvaient toutes les quatre, chacune de son côté, et en se mouvant elle ne se retournaient pas dans leur marche. Quand ils se déplaçaient, ils le faisaient tous les quatre en même temps et en une parfaite synchronisation, en prés entant à ma vue toujours le même tableau.
Chap I. vers. 18. – Et quant à leurs cercles, ils étaient haut d’une manière si effrayante et tous les quatre étaient pleins d’yeux partout alentour. La circonférence des disques volants était vraiment remarquable, la section supérieure de chacun apparaissait pleine de hublots.
Chap I. vers. 19 – Et quand les animaux marchaient, les roues se mouvaient à côté d’eux, et quand les animaux se levaient de terre, les roues pareillement se levaient. Quand les quatre astronautes se déplaçaient en employant les fusées, pour la poussée en avant, les disques les suivaient, quant au contraire les astronautes employaient les deux fusées pour la poussée verticale, les disques volants se levaient eux aussi et les suivaient.
Chap I. vers. 20. – Partout où l’Esprit se mouvait, se mouvaient eux aussi, et les roues se levaient à côté d’eux; de sorte que l’Esprit qui animait ces êtres était aussi dans les roues Quand les astronautes actionnaient les fusées de direction, ils se déplaçaient, ça et là, suivis en même temps par un disque volant.
J’étais certain de comprendre que puisque les quatre hommes étaient sortis chacun d’un disque volant, et bien que protégés par la combinaison pressurisée, étant donné qu’ils se mouvaient dans un milieu qui n’était pas le leur, ils obéissaient dans leurs déplacements aux ordres donnés par le disque qui suivait immédiatement son homme.
Chap I. vers. 21 – Quand ils marchaient, les roues aussi se déplaçaient, quand ils s’arrêtaient, les roues s’arrêtaient, et quand ils se levaient de terre, les roues aussi se levaient de terre, à côté d’eux ; de sorte que l’Esprit qui animait ces êtres était aussi dans les roues. Déjà commenté.
Chap I. vers. 22 – Et l’aspect de ce qui était au-dessus des êtres vivants était une étendue du ciel, semblable à un cristal d’une splendeur éblouissante qui s’étendait au-dessus de leur tête. Ses quatre astronautes avaient une vasque qui ressemblait au cristal dans lequel se reflétait le bleu du ciel ; cela était éblouissant du fait que je n’apercevais aucun aspect de visage, ou de nez, ou d’yeux, mais seulement le reflet du ciel. Ce casque était semblable à ces miroirs qui d’un côté reflètent l’image tandis que de l’autre ils permettent d’observer sans être vu.
Chap I. vers. 23 – Et au-dessous de l’étendue étaient leurs ailes droites, l’une contre l’autre, chacun en avait deux autres qui lui couvraient le corps. À peine au-dessous du casque qui reflétait l’étendue du ciel, les fusées directionnelles qui imprimaient le mouvement en avant, se divisaient en sections convergentes contre deux autres palmes orientables qui descendaient perpendiculairement jusqu’à terre sur toute la longueur du corps.
Ces deux palmes actionnées par les fusées posées à l’extrémité, imprimaient aux hommes le mouvement de poussée vers le haut.
Chap I. vers. 24. – E t j’entendis le son de leurs ailes, pendant qu’ils marchaient, et ils étaient semblables au son des grandes eaux, à la voix de l’Omnipotent, La voix de leurs paroles était comme le bruit d’un champs. Quand ils s’arrêtaient, ils baissaient leurs ailes. Et j’écoutai le bruit des fusées tandis qu’ils se déplaçaient, et c’était un vacarme impressionant comme le bruit du tonnerre et de la tempête et comme le bruit d’un champ encombré de beaucoup de monde. Quand ils s’arrêtaient le bruit des fusées baissait de ton.
Chap I. vers. 25. – Et quand ils s’arrêtaient et abaissaient leurs ailes, il y avait une voix qui venait par l’étendue qui était au-dessus de leurs têtes. Quand ils s’arrêtaient et le bourdonnement des fusées se taisait, j’entendais une voix qui, évidemment amplifiée par un microphone, provenait de l’intérieur du casque.
Chap I. vers. 26. – Et au-dessus de l’étendue qui était sur leurs têtes, il y avait l’aspect d’un trône, semblable à une pierre de saphir et sur ce trône il y avait comme l’image d’un homme qui y était assis. Je vis au-dessus des têtes des astronautes planer, comme un trône bleu ciel, un disque volant pourvu d’une coupole transparente à travers laquelle je pouvais distinguer l’aspect d’un homme qui occupait l’habitacle.
Chap I. vers. 27 – Ensuite je vis comme une couleur de cuivre étincelant, semblable au feu, l’intérieur de cette apparence de trône, des reins de cet homme jusqu’en haut et pareillement de ses reins jusqu’en bas, je vis comme une apparence de feu, autour duquel il y avait une splendeur. Ensuite j’ai pu distinguer que cet homme dans toute l’ampleur de l’habitacle, était enveloppé par une intense lumière des reins jusqu’en haut.
Pareillement je pouvais observer que des reins jusqu’en bas cet homme avait quelque chose dont sortait un vif rayon de lumière qui illuminait les alentour d’un vif éclat.
Chap I. vers. 28 – L’aspect de cette splendeur tout autour était semblable à l’aspect de l’arc qui est dans les nuages un jour de pluie. Tel fut l’aspect de la ressemblance de la gloire du Seigneur ; et comme je la vis, je tombais sur ma figure et j’entendis la voix de quelqu’un qui parlait. Ce rayon dégageait une lumière multicolore, semblable à l’arc-en-ciel.
A peine j’en fus investi et enveloppé je sentis mes forces manquer et je tombais à plat ventre.
Alors j’entendis une voix d’homme me parler.
Chap 2. vers. 1 – Et il me dit fils de l’homme redresse-toi et je te parlerai.
Et quand il m’eut parlé, l ‘ Esprit entra en moi et je me redressais et j’entendis celui qui me parlait.
Et ; il me dit : homme lève-toi, et je te parlerai. Et moi, entendant cette voix qui parlait mon langage, je me sentis rassuré au point que le courage et les forces me revinrent ; ainsi, je me levais et j’écoutais.
Chap 2. vers. 3 – Il me dit : fils de l’homme je t’envoie aux fils d’Israël, à des nations rebelles, qui se sont soulevées contre moi.
Eux-mêmes et leurs pères ont mal agi envers moi jusqu’à ce jour.

Chap 2. vers. 4 – Plutôt je t’envoie à des fils qui ont le front dur et le coeur obstiné, afin que tu leur dises :
Ainsi a parlé le Seigneur, l’Éternel,
etc. . .

La narration du Prophète Ezéchiel sur ce qu’il vit, entendit et fit au service des Extraterriens, qui le formèrent et le conseillèrent, se prolonge durant 48 chapitres…