Tout d’abord il est préférable de préciser que sa signification diffère selon le niveau de conscience où il est ressenti et vécu; En ce qui concerne le niveau de conscience actuel des hommes, il s’agit plutôt d’un besoin, d’une nécessitée, d’une dépendance et d’une croyance véhiculée par l’ego. Il ne connaît pas la juste valeur de l’amour car il ne comprend pas la différence entre la relation d’âme et celle de l’ego. Donc à ce niveau-ci il s’agit d’un amour incompris et superficiel par conséquent ce que nous entendons par ceci, un AMOUR CONDITIONNEL. Pourquoi conditionnel? Eh bien tout simplement parce que l’ego dans ce niveau de conscience vit la séparation et la limitation. Il vit la séparation de son âme ainsi que de celle des autres ayant pour résultat de limiter la compréhension, l’unification, le partage.

Ex.: Dans une relation dès qu’un événement, un sentiment incompris surgit dans un couple, il devient une condition à l’amour.

Ensuite si nous faisions référence à un niveau de conscience dans lequel l’homme connaît l’implication de son ego, et par le fait même l’implication de celui des autres, ainsi que ce qu’ils ont choisis de vivre dans cette vie-ci; Nous parlons donc d’un AMOUR PARTAGÉ. C’est-à-dire que la compréhension graduelle des sentiments, qui sont une des manifestations par lesquels l’âme s’exprime, permet une ouverture vers l’être aimé, vers les autres, et vers le tout.

Enfin nous parlons d’un AMOUR INCONDITIONNEL lorsque la relation entre les âmes est claire, comprise. L’âme ainsi que l’ego sait le pourquoi de toutes les manifestations des autres ego ainsi que de leurs âmes.

Ma définition :

– L’amour est un état d’âme provenant du pressent, sans peur et sans négativité. C’est la manifestation transcendante de cette âme à une autre âme, ou bien aux autres âmes. L’émergence de ses pouvoirs dans ce pressent sans espace temps, sans aucune condition, sans attente et limitation.

[Michaël AR – le 03/03/97]

Je crois personnellement que la vie en soi est psychique et non physique! L’humain regarde tout avec sa matière car il a été coupé de sa source (son double, son esprit).

Aussitôt que les centres psychiques de l’homme seront prédisposés à s’ouvrir, l’homme connaîtra tout, il aura accès à un savoir instantané, il ne voudra plus avoir de la connaissance. Car la connaissance devient très lourde à supporter dans son mental.

[Michel T. – le 23/02/97]

A l’heure de la « connaissance » ésotérique, qui n’a pas entendu parler de la notion de karma? On décrit souvent le karma comme une loi de rétribution et de punition, qu’on doit subir, coûte que coûte. Voilà une conception très simpliste due à des distorsions que certaines religions et pratiques spirituelles ont fait subir à un très vieil enseignement. A l’origine celui-ci reconnaissait le pouvoir spirituel des êtres humains. Si vous saviez QUI VOUS ÊTES VRAIMENT ET CE QUE VOUS ÊTES VENU APPRENDRE ICI, vous sauriez que la notion de karma telle qu’elle est perçue maintenant est simplement une autre croyance créée par les hommes.

« Vous créez aussi inconsciemment que vous respirez », disait notre frère Morya. Si vous saisissez que ce sont vos pensées et vos croyances (conscientes et inconscientes) qui déterminent votre réalité, vous constaterez que le karma n’est en fait que le résultat d’un libre choix « inconscient ». Par exemple, si vous gardez dans votre champ d’énergie (aura) une peur déniée, qui devient par conséquent inconsciente, vous pouvez être certain qu’elle se manifestera tôt ou tard. Si seulement vous vous rappeliez le choix ultime que votre âme fait d’une incarnation à l’autre, soit apprendre à aimer inconditionnellement et s’unir à Tout Ce Qui Est, vous comprendriez vos choix inconscients en relation avec la souffrance, la peur, les luttes de pouvoir, les erreurs, le contrôle, l’attachement, la possessivité, les dépendances, l’abandon, le pardon, l’amour, le service et ainsi de suite.

Ce que vous vivez actuellement est une conséquence directe de ce que vous avez choisi d’apprendre. Ceci n’a peut-être pas de sens pour vous, car vous avez perdu la mémoire à votre naissance. De plus, votre ego pense qu’il sait, alors qu’en fait il se moque royalement de la véritable connaissance.

Par ce message je souhaite éveiller en vous une nouvelle compréhension, car il est temps que certaines choses d’importance majeure changent sur terre.

VOUS SAVEZ SÛREMENT, MAIS VOUS NE COMPRENEZ PEUT-ÊTRE PAS VRAIMENT…

Les bouleversements personnels et collectifs qui se produisent actuellement sur terre sont là pour vous éveiller.

[Michaël AR – le 20/02/97]

 Michel AR parle souvent de l’Amour dans ses réflexions et je souhaiterais lui poser la question suivante : quelle puissance donne-t-il à ce mot et l’associe-t-il aux sentiments ? L’Amour dans notre société amène bien des abus… Il est souvent lié à des sentiments négatifs comme la domination ou la possession de l’autre… l’Amour dans sa véritable forme correspond à un état vibratoire, c’est une force que l’on peut ressentir à l’intérieur de soi et qui apparaîtra peut-être une fois dans sa vie… Cet état peut-être totalement destructeur car l’homme n’est pas préparé à cela. C’est une prise de conscience de l’Univers qui nous entoure, de notre monde tridimensionnel aux plans plus subtiles et en passant par tous les règnes… La vie n’a pas de fin, elle englobe tout et l’Amour en est le support.

L’amour tel que nous le concevons est souvent une piètre image de la réalité car déformée par le miroir du mental, il engendre souvent des conflits et l’aspect le plus noir de cette force est la haine, la jalousie… Cela nous entraîne dans de fortes rivalités qui finissent toujours par une destruction irréversible…

L’Amitié et l’Amour sont souvent confondus et qu’elle en est vraiment la différence ?

Cette état doit donner à l’homme une grande humilité face aux forces qui l’entourent et un profond respect de la Vie. Le manque de maturité de notre civilisation nous entraîne petit à petit vers une chute exponentielle et les signes annonciateurs envoyés par notre planète devraient nous faire réfléchir… Cette Force de l’Amour doit rendre l’homme responsable et lui faire comprendre que chaque acte reçoit une réponse, arriverons-nous à en prendre conscience un jour?

[Claude B. – le 15-02-97]