Archives de catégorie : 2002 – MORT

Vous avez été témoin d’une expérience curieuse ou vous êtes impressionné face à la mort, vous avez envie d’en parler, faites-moi profiter de votre point de vue… Écrivez-moi… Vous serez publié…

À qui appartient ce visage ?

Réflexions et TémoignagesAnnée 2002
À qui appartient ce visage ?
Voici un exemple extraordinaire de t.c.i :
la petite fille aux fleurs
Cette photographie a été prise à Marseille, en 1986 par une personne absolument étrangère à la transcommunication. C’était le jour de l’anniversaire de « la petite fille au bouquet de fleur », lors de la prise de vue le téléviseur était éteint. Il s’agit d’un document rare !!!
L’entité est totalement inconnue de la famille.
Agrandissement du visage apparaissant sur le téléviseur.
Cette photographie est franchement exceptionnelle, et cela pour plusieurs raisons : Elle est absolument authentique et prise par une personne parfaitement étrangère à la t.c.i. De plus l’entité étant inconnue de la famille, il est fort intéressant de la diffuser au cas où quelqu’un pourrait reconnaître cette personne et expédier des photos de son « vivant » (…)

[Fabrice S. – le 08-08-02]

De curieuses lumières.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2002
De curieuses lumières.
Je n’avais jamais été confrontée à la mort d’un être cher jusqu’à l’âge de 45ans (il y a deux ans). Il s’agissait de ma grand mère adorée… 105 ans!

Je n’avais jamais eu de bonnes relations avec mes parents tandis qu’avec elle! Quelle complicité! et je sais qu’elle m’a transmis curiosité, joie de vivre etc…

Quelques mois après son enterrement, j’étais seule et triste. Un gros coup de blues (rare) et je me suis mise à pleurer. J’étais assise dans mon salon. Brusquement de petites lumières rondes, dont passé la première surprise, je n’ai pu trouver l’origine, se sont mises à « danser » au plafond et à l’angle du mur qui me faisait face! Et j’ai senti une présence apaisante.

Jamais, ni avant ni après, je n’ai revu ces lumières, mais même si elles ont une « explication rationnelle » la coïncidence de leur arrivée avec mon chagrin et mes pensées pour ma mamie si gentille m’a vraiment fait du bien…

Je n’ai pas eu d’autres « contacts visuels » mais je n’en ai plus autant besoin: au moment où c’est arrivé, je me sentais particulièrement seule et triste. J’avais aussi sur le coeur de ne pas avoir pu la « pleurer » normalement, car je suis d’une famille où on n’exprime pas ses sentiments et ça m’avait choquée de voir que tous les assistants à l’enterrement sauf nous avaient les larmes aux yeux!! (d’ailleurs le lendemain j’ai fait une grosse chute de tension en réaction!!)

Je pense souvent à elle, mais je n’ai plus besoin de preuve de sa présence!

[Françoise K. – le 12-06-02]

Une autre approche de la réincarnation.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2002
Une autre approche de la réincarnation.
En ce qui concerne la réincarnation, je dirais que ce n’est pas une qualité que nous possédons tous de manière innée mais qu’elle reste à développer.

Ce que je veux dire par là, c’est qu’un être humain « ordinaire » si je puis dire, ne possède pas forcément la capacité de se réincarner.

Il doit développer en lui les « composants » qui lui donneront d’une certaine manière l’immortalité, c’est à dire, cultiver et cristalliser les corps subtils qui existent déjà en lui sous forme de germes.

La conscience de l’homme doit donc prendre ensuite le contrôle de ces véhicules émotif, mental et spirituel afin de vivre des expérience dans ses quatre corps qui sont interactifs les uns avec les autres.

Un homme ordinaire peut très bien se passer de ces corps et vivre uniquement sa vie au niveau du corps physique qui possède toutes les facultés suffisantes pour évoluer dans ce monde. À sa mort, cet homme retournera à la terre et sa conscience sera absorbée ou servira de nourriture à des « entités » beaucoup plus évoluées, telles que la Lune et la Terre.

S’il veut garder son individualité et se souvenir, comme ceux qui ont développés ces différents corps et passer au travers les « mailles du filet », il doit donc « transférer » sa conscience dans ce qui est durable.

Ce qui peut prêter à confusion et nous laisser croire que l’homme les possède déjà, c’est que le corps physique et ces différents corps subtils sont faits de la même matière mais à des taux de vibrations différents et déjà présents en lui sous formes de graines, mais qu’il n’a pas « cultivé », c’est à dire qu’ils ne sont pas « cristallisés ».

Pour finir sur la réincarnation, je dirais que ce n’est pas du tout une certitude pour l’homme, il est mortel et peut disparaître à jamais, s’il ne fait en sorte de rester conscient après sa mort. Il doit donc apprendre à développer cette immortalité

[François D. – le 23-03-02]

Un choix, une attitude face à notre mort.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2002
Un choix, une attitude face à notre mort.
Sincèrement, je crois qu’il n’y a aucune souffrance dans la mort comme telle. La souffrance viendrait de la maladie, des organes qui sont attaqués, ou encore des blessures subit lors d’accidents. Mais que la mort, intrinsèquement, ne comporte pas de souffrances. D’autre part, je crois que comme la naissance, il y a un choc psychosomatique, dont on fait l’expérience lors du décès; mais qui forcément ne laisse pas de séquelles, vraiment ce serait semblable à la naissance.

Pendant longtemps, la mort a été le domaine réservé des prêtres. Les médecins, eux, ne devaient s’intéresser qu’à la vie. Mais, peu à peu, la science a commencé à avoir une autre vision du problème. Ainsi, la publication des ouvrage du Dr. Elisabeth Kübler-Ross, ont fait l’effet, en son temps, d’une véritable bombe, une révolution. Elle avait osé entreprendre une enquête auprès des agonisants, leur demandant leurs sentiments, leurs impression à propos de leur mort prochaine. À peine dix ans après, on donnait des cours de thanatologie, on étudiait l’approche de la mort à travers tous les États-Unis. On finit même par créer les « hospices ». Elisabeth Kûbler-Ross avait fait exploser les barrières.

Elle suscita surtout d’autres auteurs et d’autres ouvrages sur le sujet, tel que La Vie Après La Vie de Raymond Moody et Ce Qu’ils Ont Vu… Au Seuil De La Mort de Karlis Osis et Erlandur Haraldsson. Les récits font preuve d’une étonnante unanimité.

Il existe, tous les médecins le savent, des cas, certes rares et occasionnels, de ce que l’on peut appeler des rémissions spontanées du cancer. Nous avons tous dans nos entourages de ces patients que les spécialistes croyaient inopérables et condamnés à court terme, mais qui, pourtant, ont survécu encore cinq, voire dix ans et même beaucoup plus. L’un des points communs à ces « anomalies » a été la réaction du malade se sachant condamné. Chaque fois, il avait décidé de changer d’existence, durant le court temps qu’il lui restait à vivre.

Jeannine, mon épouse, a opté pour la crémation, et je n’avait pas à intervenir, je respecte son choix; tout comme celui de son don d’organes. Cela relève de sa volonté, de son choix, et ça fini là.

Pour ma part, j’ai opté pour des funérailles traditionnelles, c’est mon choix, mes idées qui je crois respectent ma formation, mes idées, la tradition dans laquelle j’ai du vivre ma vie, et dans laquelle j’y est vécu ma spiritualité. Je serai exposé une journée avant les funérailles. Mais de là à dire s’il y a un choc provoqué par la crémation, ou l’injection de produit chimique violent dans le système sanguin ? Y a-t-il eu un choc morphologique, lors de la momification en Égypte ? Je ne peux te le dire. D’ailleurs il est sans doute préférable que nous n’en sachions rien, et que nous ignorions tout de ce passage, tout comme notre prochaine incarnation. Mais nous avons la responsabilité de bien la préparer, afin d’avoir le moins possible à répéter les expérience de cette vie-ci.

[Jean-Samuel G. – le 16-03-02]

Le fabuleux voyage d’Angèle… Suite.

Réflexions et TémoignagesAnnée 2002
Le fabuleux voyage d’Angèle… Suite.
ACAM : Que reste-t-il de cette expérience 17 ans après.

Tout est intact dans l’intensité de ce que j’ai vécu. Dans les épreuves que j’ai eues à vivre depuis 17 ans, je les ai mieux acceptées car j’ai fait le choix de revenir sur terre et d’assumer pleinement. C’est comme une énergie complémentaire qui m’aide dans les moments difficiles. Il serait par exemple inimaginable pour moi d’envisager l’idée de me suicider. Ce serait pour moi la lâcheté extrême, la fuite face au choix que j’avais fait.

ACAM : Le champ de conscience s’est-il déplacé suffisamment pour avoir une approche claire du passage « vie-mort » et avec le recul l’impression en est-elle aussi forte…

La mort ne me fait pas peur. D’ailleurs je préfère parler de l’après-vie car pour moi la mort n’existe pas, seul le corps physique disparaît. Je vis d’ailleurs des situations où je reçois des signes d’aides extérieures invisibles et inexplicables mais qui me confirment que subsiste une forme de vie de la conscience.

ACAM : Que reste-t-il des impressions d’union, d’amour avec cette force, cette lumière et de la compréhension de notre être et des autres…

Ces impressions d’union, d’amour avec cette force, cette lumière, sont intactes, imprimées dans chaque cellule de mon être physique, tout comme le sang qui coule dans mes veines (pour donner une image).

En ce qui concerne la compréhension de mon être, je ressens un grand décalage (et non pas une supériorité) vis à vis de toutes les personnes que je côtoie dans ma vie de tous les jours. Dans des moments de relaxation ou de méditation, j’accède à des « niveaux supérieurs » qui me donnent des « clefs », des « outils ». Je me suis longtemps demandé pourquoi cette EMI m’était arrivée à moi personnellement. 17 ans après je ne cherche plus avidement une explication. Je le vois plus comme une chance, un cadeau de la providence.

Quand je rencontre un « expérienceur » je savoure ce moment privilégié où nous échangeons en parfaite communion de pensée.

En ce qui concerne la compréhension des autres, là aussi, 17 ans après tout est intact. Je « suis » dans l’autre et instantanément je le perçois dans ses zones d’ombres et de lumière.
Je me souviens de deux personnes qui m’ont dit un jour :

La première : « Il y a dans tes yeux une lumière qui vient d’ailleurs… »
La deuxième : « Quand je vous regarde, vos yeux me remplissent d’énergie. »

Voilà, succinctement, ce que je peux dire de ce qui reste 17 ans après…

[Angèle. – le 09-01-02]