Archives de catégorie : 2003 – PETITE HISTOIRE OU…

Ces Petites Histoires sont vraies ou sont fausses… peu importe… Si l’on y trouve un semblant de vérité et un écho au fond de soi, c’est qu’il y a une part de réalité…

Fatima, une réalité, oui mais, non religieuse.

Année 2003
Fatima, une réalité, oui mais, non religieuse.
Voici le résultat d’une interprétation que j’ai ressenti (commencée depuis 2003, terminée en 2004) face aux observations décrites en détails dans un livre religieux (bien sûr) intitulé: FATIMA, Message de tragédie ou d’espérance ? d’Antonio A. Borelli…

Pourquoi en parler maintenant en 2006, tout simplement parce qu’un visiteur nommé Joaquim m’a envoyé un mail en 2005, en anglais et envoyé en français en 2006, rejoignant tout à fait l’idée de ma démarche… À vous de juger…

Fatima, apparition mystique et/ou observation d’ovni…

Je voudrais aborder les manifestations de Fatima sous un angle d’observation et non sur son aspect religieux.

En effet, les fameux « secrets » datant de 1917 paraissent complètement obsolètes par rapport à notre monde moderne. De plus, ils sont orientés de façon très « catholique » même souvent sectaire.

Si vous voulez en savoir plus à ce sujet, vous pouvez télécharger les révélations de Lucie…

Avant l’apparition de la Vierge, soit un an plutôt, une vision c’est manifestée aux trois enfants, Lucie et ses deux cousins François et Jacinthe demeurant au hameau d’Aljustrel.

Au milieu de l’année 1916, une entité (un ange) se manifesta devant une grotte, près d’Aljustrel. Voici ce que nous raconte Lucie:

« Nous étions à jouer depuis quelques temps et voici qu’un vent fort secoua les arbres et nous fit lever les yeux pour voir ce qui se passait, car le jour était serein. Alors, nous avons aperçu, à une certaine distance, au-dessus des arbres qui s’étendaient au levant, une lumière plus blanche que la neige, présentant la forme d’un jeune homme transparent, plus brillant qu’un cristal traversé par les rayons du soleil.

« A mesure qu’il s’approchait, nous pouvions en distinguer les traits : un jeune homme dans les 14 à 15 ans, d’une grande beauté…………………………….

………………………………..Ensuite il disparut ».

« L’atmosphère surnaturelle qui nous enveloppa était si intense que nous en avons quasiment perdu, pendant un long moment, la notion de notre propre existence………………………… »

Commentaires:
Il est intéressant de constater que cette manifestations s’accompagne de phénomènes physiques comme « un vent fort qui secoua les arbres… », phénomène que l’on retrouve dans l’apparition d’ovnis où de fantômes, par exemple.

Cette entité apparaît transparente, ce qui ferait penser plutôt à un hologramme, une projection provenant de « cette lumière plus blanche que la neige ».

Manifestation de la « Dame Blanche » :

– Première apparition : le 13 mai 1917;

Les 3 voyants, Lucie, François et Jacinthe jouaient à la Cova da Iria quand leur attention fut attirée par deux lueurs semblables à l’éclair. Puis il virent la Mère de Dieu sur le chêne vert. « C’était une Dame toute vêtue de blanc, plus brillante que le soleil, répandant une lumière plus claire et plus intense qu’un verre de cristal rempli d’eau cristalline, traversé par les rayons du soleil le plus ardent », raconte Lucie. Son visage, d’une beauté indescriptible, n’était « ni triste, ni joyeux, mais sérieux……………………. »

« ……………………….Ses vêtements semblaient tout faits de lumière………………………….. ……………………….Quant aux traits de la physionomie, Lucie n’a jamais pu les décrire, car il lui fut impossible de fixer ce visage céleste, tant il éblouissait. Les voyants étaient tellement près, à une distance d’environ un mètre et demie, qu’ils se trouvaient dans le halo de lumière qui l’entourait, ou qu’elle répandait………………………………. »
« …………………………… Puis, raconte Lucie, Elle commença à s’élever sereinement, en direction, du levant, jusqu’à disparaître au loin dans l’immensité. La lumière qui l’environnait semblait lui ouvrir un chemin parmi les astres. »

Commentaires:
Cette apparition me fait penser à ce que vivent les personnes en phase de mort éminente lorsqu’elles sont en approche d’une forme brillante, entourée d’un halo, ou d’un « fantôme ».
Lors de l’apparition de cette entité appelée Marie, les trois voyants pouvaient se trouver dans une « faille » entre notre monde et une autre dimension. Est-elle, comme l’Ange, un hologramme, une projection qui peut s’élever et disparaître dans le lointain ?

– Deuxième apparition : le 13 juin 1917;

La deuxième apparition s’annonça aussi aux voyants par une vive clarté, qu’ils ont appelée un éclair, mais qui était plutôt le reflet d’une lumière qui s’approchait. Quelques-uns des spectateurs qui, au nombre d’une cinquantaine, étaient venus sur les lieux, ont observé un obscurcissement de la lumière du soleil pendant quelques minutes à partir du début de l’entretien. D’autres ont rapporté que le sommet de l’arbrisseau, couvert de feuillage, avait semblé se courber, comme sous l’effet d’un poids. Pendant l’entretien de la Vierge avec les voyants, plusieurs entendirent un murmure à la manière d’un bourdonnement d’abeille…………………………… ……………………….. Quand cette vision ce fût évanouie, la Dame, toujours environnée de lumière qui émanait d’elle, s’éleva de dessus le chêne sans le moindre effort, doucement en direction de l’Est, jusqu’à disparaître totalement. Quelques personnes qui se trouvaient près, remarquèrent que le feuillage de l’arbuste avait ployé dans cette même direction.
Il resta ainsi quelques heures avant de revenir à sa position naturelle.

Commentaires:
Les phénomènes liés à cette deuxième apparition me font penser plus à une observation du premier type à laquelle serait liée la vision de la Vierge. La question est de savoir qu’elle en est le lien ? Ce qui est extraordinaire c’est que le feuillage de l’arbuste, d’après les témoins, ploie sous l’effet d’une force… Son départ se déroule de la même façon comme si derrière cette image il y avait quelque chose qui se déplaçait.

– Troisième apparition : le 13 juillet 1917;

Au moment de la troisième apparition, un petit nuage cendré vint surmonter le chêne vert, le soleil se voila, une brise fraîche se mit à souffler sur la montagne, alors qu’on se trouvait au plus fort de l’été. M. Marto, le Père de Jacinthe et François, dit avoir aussi entendu, selon ses propres termes, un bourdonnement semblable à celui de mouches dans une cruche vide. Les voyants virent le reflet de lumière habituel, puis, aussitôt après, sur l’arbrisseau, la Vierge…………………………….. ……………………………Comme à l’accoutumée, Elle commença alors à s’élever en direction du levant, jusqu’à disparaître dans l’immensité du firmament. On entendit alors une espèce de tonnerre annonçant la fin de l’apparition.

Commentaires:
Même déroulement du scénario, toujours cet effet de bourdonnement mais un fait nouveau apparaît, un bruit de tonnerre. Cela ne vous rappelle rien… Ne serait-ce pas le bruit du dépassement du mur du son ?

– Quatrième apparition : le 15 août 1917;

Le 13 août devait avoir lieu l’apparition mais les 3 voyants ne purent se rendre à la Cova da Iria. A l’heure habituel, un coup de tonnerre se fit entendre à la Cova da Iria, suivi d’un éclair, tandis que les spectateurs observaient un petit nuage blanc qui resta quelques minutes au dessus du chêne vert. Ils assistèrent aussi à des phénomènes de colorations successives, sur le visage des gens, sur les vêtements, les arbres, le sol.
Le 15 août, Lucie se trouvait avec François et un autre cousin sur la terre des Valinhos, quand vers quatre heure de l’après-midi, commencèrent à se produire des modifications atmosphèrique: un soudain rafraîchissement de la température et une baisse dans l’éclat du soleil. Lucie sentant l’approche que quelque chose de surnaturel qui les environnait, envoya chercher Jacinthe en hâte. Elle arriva à temps pour voir la Vierge qui, s’étant annoncée par un reflet de lumière, venait d’apparaître sur un chêne vert, à peine plus grand que celui de la Cova da Iria………………………. ………………… Et, comme de coutume, Elle commença à s’élever en direction du levant. Les trois enfants coupèrent des branches de l’arbuste sur lequel la Vierge leur était apparue, et les emportèrent chez eux. Les branches répandaient un parfum d’une rare suavité.

Commentaires:
Un premier élément nouveau; la coloration de l’environnement, aussi bien sur les gens que sur les arbres et le sol. De plus il est visible par tous les individus présents. Est-ce un phénomène du à la projection de l’hologramme « Vierge », par exemple Un deuxième élément, ce fameux parfum, que l’on retrouve souvent lors d’apparitions.
Cela peut-être un parfum de miel, une senteur de rose ou une odeur indéfinie mais souvent très suave… La Vierge s’élève toujours de la même manière, comme le déplacement d’un objet qui s’éloigne.
Toujours ce phénomène de bruit, cet assombrissement du soleil comme si une faille dimensionnelle s’ouvrait…. Voyons la suite… (voir 2004)

L’énigme de Baïan Kara Oula au Tibet.

Année 2003
L’énigme de Baïan Kara Oula au Tibet.
Depuis les temps les plus reculés jusqu’à nos jours la planète Terre a été visitée par des astronefs habités venus de mondes inconnus.
Aux confins de l’Inde et du Tibet, dans l’Himalaya, à 3500 m d’altitude, les grottes de BAIAN KARA OULA.
Dans cette région vivent deux tribus, les Hams et les Dropas, des hommes d’environ 1m30. Leur origine : indéterminée. Ils n’appartiennent à aucune origine ethnique connue.
Leurs habitats sont simples, leurs ustensiles de cuisine sont taillés dans le bois. L’intérieur est très peu meublé.
Sous contrôle de l’armée Chinoise, cette région est sous le commandement du Maréchal Chang Kai Chek. Son armée à découvert dans ces grottes 716 disques de 35 à 50 cms de diamètre, qui portaient un double sillon spiroïdale partant de l’orifice central et rejoignant le bord extérieur.
Les premiers disques furent transportés à l’université de Pekin ou les premières observations permirent de constater une importante proportion de cobalt dans la composition des disques qui émettaient des vibrations à un rytme inhabituel.
L’examen des doubles sillons révéla des signes en relief dont le graphisme ne pouvait se comparer à aucune écriture connue. Il y a plus de 50 ans le professeur TSOUM OUM NUI lors d’une déclaration à l’académie des sciences de Pèkin révélat qu’il avait décripté ces disques.
Le professeur TSOUM OUM NUI explique : à cette époque lointaine des astronefs habités se posérent à plusieus reprises à Baian Kara Oula. Ils explorèrent méthodiquement la région.
Quelques milliers d’années plus tard, lors d’un atterrissage, leur vaisseau s’abime. Impossibilité de le remettre en état, ni de contacter leur civilisation d’origine. Certains périrent, les survivants parvinrent progressivement à s’adapter aux conditions de la vie terrestre.
Quelques milliers d’années plus tard, un nouveau vaisseau revint sur les lieux. Malheureusement, le quatre occupants ne purent établir un contact aisé avec les descendants des extraterrestres, qui étaient redevenu des êtres primitifs.
Les extraterrestres se sont mélés aux habitants et la communication a été très élémentaire. Les DROPAS, ont pour légende qu’ils descendraient des « nuages ». Ce n’est peut être pas aussi faux que cela, en effet, ils descendraient même directement des « extraterrestres ».
120 siècles avant notre ère, au dessus de l’himalaya les ovni apparaissaient déjà. C’est toujours le cas de nos jours.
Cet ensemble de diapositives édité par CASADAMONT était la première série de ce qui allait devenir l’histoire des soucoupes volantes en diapositives. L’affaire de BAIAN KARA OULA dans les temps anciens est intéressante dans le sens où à cette époque il n’y avait pas de technologie pour servir d’excuse. Cette série, que je possède, achetée en 1974, remonte aux années 1960, cette histoire venait d’être publiée dans de nombreux journaux ou ouvrages. Par la suite, des chercheurs ont tentés de l’authentifier, sans y parvenir. La Chine ne dément pas, mais ne confirme pas. Toutefois, cela nous montre que de nombreux documents nous décrivent dans les temps anciens, la visite d’OVNIs déjà sur notre planète, la bible n’en est-elle pas un exemple ?

Voyage astral, une certaine évolution ?

Année 2003
Voyage astral, une certaine évolution ?
Une émission scientifique E=M6, projetée au mois de janvier, m’a interpellé. Un des sujets proposés concernait le voyage astral ou sortie hors du corps, étonnant pour une émission dite populaire.

En effet, un neurologue suisse, Olaf Blanket, pratique des stimulations par électrodes sur des zones précises du cerveau de ses patients qui sont atteints d’une maladie grave. Il enregistre chaque réaction au stimuli et demande aux personnes de lui dire ce qu’elles ressentent aussi bien physiquement que psychiquement.

Lors d’une expérience sur une de ses patientes, ce médecin a provoqué sans le vouloir une réaction plutôt étrange. Cette personne s’est retrouvée
« collée » au plafond en observant son corps au dessous d’elle. Cette sortie hors du corps a pu se répéter plusieurs fois. Bien sûr, ce neurologue
raisonne en scientifique car pour lui, c’est cette stimulation à un endroit précis du cerveau qui a provoqué cet état particulier. Je suis d’accord avec lui.
Maintenant essayons d’aborder cette expérience sur le plan spirituel. Tout initié sait que le cerveau n’est qu’un transmetteur. Il reçoit des informations provenant de « l’extérieur », les décode et les envois donc au corps physique. Il sert de lien entre le corps et « l’esprit ». L’intérêt réside dans le fait que la stimulation par électrode a pris le relais de cette transmission, un peu comme une émission pirate, car la grande question que l’on peut se poser est de savoir qui donne l’ordre à cet endroit précis du cerveau pour provoquer cette sortie hors du corps.

Le neurologue pourrait également se poser les deux question suivantes : Comment un patient peut-il se voir lui-même ? Cette conscience qui se trouve au plafond observant hors du corps donc de l’extérieur, qu’est-elle ?

Je suis heureux de constater que le milieux médical n’est pas complètement sclérosé et qu’il existe quelques chercheurs dont l’esprit reste totalement ouvert. Mais en serait-il de même en France ?

Il faut garder également en mémoire qu’une sortie hors du corps est un avant goût du processus s’enclenchant lors de la mort.