« Bonjour à tous. Je me présente : je suis au premier abord un type bien banal à tous les niveaux, qui vit cependant une vie peut-être plus libre que la moyenne vis à vis des contraintes de notre société. J’ai peut-être bien été contacté il y a quelques temps par des « Aliens » – vu ce que j’ai vécu – mais je ne peux le certifier à 100%… En tout cas, un ovni bien réel est passé au dessus de chez moi il y a peu, et çà, je ne peux le nier ! Il est apparu par un temps très clair, et a parcouru le ciel d’est en ouest à grande vitesse, à très haute altitude, sans faire de bruit. Il commença par avoir l’aspect d’une étoile fort brillante, puis se mua en un engin jaune de forme ovoïde. Il arborait deux points rouges non clignotants, qui n’avaient rien à voir avec de simples feux de signalisation. Voilà tout ce que je peux en dire. »
Mais je continue aujourd’hui à penser que peut-être, la dimension particulière où vivent les Aliens et la réalité dans laquelle nous sommes enfermés ne sont pas très compatibles : nos visiteurs ne se montrent pas assez souvent en chair et en os pour être pleinement de notre monde. Malgré ce doute, voici quelques-uns des messages que j’ai cru recevoir de leur part, et que j’ai évidemment interprétés suivant ma sensibilité propre.
Les « extraterrestres » – le terme est impropre – recherchent à obtenir quelque chose de précis quand ils nous contactent. Mais, on peut se poser alors quelques questions légitimes à leur sujet : Qui sont Ils ? D’où viennent-ils ? Et que veulent-ils vraiment ? Voilà les questions que je me suis posé, et voici mes réponses fort peu cartésiennes, qui je le sais, vont vous faire réagir – et peut être même que cela va vous déstabiliser. Je vous recommande alors vivement de consulter les différentes données ufologiques accessibles, pour vous faire votre propre idée.
Mais je vous livre ma vision de ce que j’ai perçu de nos visiteurs du 3ème type :
Ce sont des êtres biologiques, composés de cellules comparables aux nôtres. Ils ont tous un plan anatomique symétrique : avec des membres articulés soit pour marcher, soit à fonction de préhension – et qui sont au nombre de quatre ; ils ont aussi une tête dont l’organe principal est le cerveau, et avec des oreilles, une bouche et un nez situés aux mêmes emplacement que les nôtres.
Leur génétique est aussi incroyablement proche de celle du règne animal et humain. Bref, ils ont un air de ressemblance avec notre humanité. Forcément, car ce sont tous des parents de notre lignée ! La grosse, très grosse différence avec nous vient de leur système digestif, et souvent, de leur très ancienne adaptation au milieu spatial. Leur intellect est évidemment différemment employé de ce que nous en faisons nous-mêmes.
Il existe plusieurs centaines d’espèces intelligentes, toutes parentes entres elles, à travers l’univers. Elles se présentent souvent sous des formes humanoïdes, « reptiliennes », animales (en apparence seulement) – avec parfois une pilosité abondante, et l’utilisation de la quadrupédie pour certaines races. Curieusement, certaines espèces prennent, avec l’âge, une tête particulièrement énorme. Les individus types sont parfois grands, très grands, et même très très très grands ; ou peuvent être petits, très petits… Les différences physiques entre hommes et femmes sont généralement très minimes, alors que la mentalité et les qualités des deux sexes diffèrent eux énormément. Du fait d’un surnombre de femmes – qui constituent l’ossature de leur société – les hommes, pour exister, doivent beaucoup s’employer pour se démarquer.
Les races dites reptiliennes et celles qui sont petites et gris – bleuâtres (les fameux Petits Gris) ne sont ni pires ni meilleurs que les autres, contrairement à ce que la désinformation humaine a proclamé pour désigner un ennemi à abattre. Ils sont même bien plus pacifiques et équilibrés que les humains les plus vertueux. Il est vrai qu’ils ont une certaine rudesse dans leurs rapports avec les autres, mais c’est assez anecdotique. Une autre race ayant gardé quelques caractéristiques reptiliennes, et qui plus est géante, est particulièrement apparentée à notre humanité. Des métis entre ces deux peuples existent aussi.
Une composante dégénérée de cette espèce-ci est depuis longtemps bannie de toute entente cordiale avec les diverses fraternités et confédérations de peuples. Divisée en plusieurs sous races, elle devient parfois agressive de manière irrationnelle quand elle se croit menacée, et manque de lucidité quand elle décide malencontreusement d’aider un peuple arriéré comme le nôtre. Depuis plusieurs centaines d’années, des technologies sont ainsi proposées à notre peuple, qui en pervertit systématiquement son usage pour faire le mal. Autant dire que la coopération avec ces Aliens, amplifiée il y a un peu plus d’un siècle (depuis les recherches de Tesla, qui était alors en contact ponctuel avec ces Aliens) ont eu des conséquences désastreuses pour l’équilibre de notre société. Nous en sommes aujourd’hui à un choix crucial : Rejeter tous nos frères de l’espace sans faire de distinction entre les uns et les autres (comme nous l’avons fait depuis toujours), ou bien pardonner.
Voyons leur lointaine origine, dont dépend la notre. Leurs premiers pas se sont déroulés… sur un point précis de notre planète Terre, il y a des centaines de millions d’années. L’emplacement de ce lieu ne sera pas révélé immédiatement à l’humanité, car nos élites actuelles détruiront tous ceux qui s’approcheront trop de la vérité – et c’est pour cela que je n’en dirais pas plus. Simplement, il faut dire que le Livre d’Hénoch, ou encore certaines sources Grecques antiques évoquent notamment ce lieu.
Tout a commencé par une série de hasard heureux. Une espèce de lézard bipède avait alors atteint une étonnante île au climat tropical, assez isolée du reste du monde et à l’abri des multiples désastres qui ont toujours secoué notre planète. Les conditions stables, l’électromagnétisme ambiant, et la pression élevée du lieu, ont peu à peu favorisé l’émergence d’entités intelligentes et de plus en plus grandes en taille. De plus, une énorme cavité naturelle faiblement éclairée, a permis aux divers occupants de l’île de survivre dans de relatives bonnes conditions aux pires cataclysmes que l’on puisse imaginer.
L’arrivée de nouveaux venus (souvent quadrupèdes) depuis les continents voisins, a favorisé la compétition et donc la diversification des espèces autochtones. L’effet de colonisation inverse a aussi eu lieu assez fréquemment. Mais, dans leur nouveau milieu, les anciens habitants de l’île solitaire ont vite dégénéré : les brusques changements climatiques, les catastrophes globales qui déciment ou endommagent les êtres vivants, la forte concurrence face aux espèces depuis longtemps hyper adaptées à leur milieu,… Les races intelligentes ont dû fortement évoluer pour survivre en se spécialisant à chaque milieu donné. Et elles sont devenues ainsi plus « primitives » et « bestiales » que leurs ancêtres. Notre espèce est elle le résultat du croisement entre une espèce dite dégénérée et une espèce assez évoluée.
Il y a moins de vingt million d’années, les races intelligentes qui étaient restées sur cette fameuse île – après avoir exploité longuement les métaux en creusant leur sol – ont atteint un seuil capital du développement de leur civilisation. Ils ont vite compris comment utiliser les ressources énergétiques inépuisables de leur environnement (l’énergie libre). Très vite, en utilisant la force centrifuge et électromagnétique naturelle de certains lieux terrestres, ils ont commencé à coloniser l’espace. Ils ont évolué, grâce à la technologie, vers un état qui a totalement modifié leurs cellules, qui furent amenées à leur potentiel maximum. Ainsi, outre une espérance de vie inimaginable, ils ont acquis de multiples capacités physiologiques et psychiques extraordinaires. Leur plus grande réussite a été d’arriver à jouer avec les dimensions de temps et d’espace, ce qui a permis : les voyages spatiaux temporels sur de longues distances, la totale protection face à tous risques potentiels d’endommager irrémédiablement leurs cellules, ou encore la possibilité de devenir invisibles aux yeux d’individus paranoïaques et agressifs. Ce n’est, bien sûr, qu’un aperçu sommaire des technologies qu’ils ont réussit à développer.
Malgré les crises, nombreuses durant ces millions d’années, ils ont appris à faire perdurer leurs cultures respectives dans l’harmonie et le respect de leur environnement. Quitte dans le pire des cas, à se réfugier sous terre, dans de profondes cavités artificielles aménagées pour résister aux pires désastres universels. Puis, l’expansion de leur civilisation reprenait de plus belle. Et chaque fois qu’une espèce terrestre atteignait un certain degré de conscience (que nous, humains, avons depuis longtemps) ils l’intégrait alors dans leur monde prospère et tolérant. Ce qui leur apportait de nouvelles forces vives. Seules les espèces qui déclinaient irrémédiablement (par la survenue de causes naturelles, déjà évoquées) furent laissées libres de faire ce qu’elles voulaient, car elles se détruisaient par elles-mêmes inévitablement.
Bien que nous soyons nous-mêmes à la limite entre les deux catégories précitées, nous ne voulons voir triompher autour de nous (dans les faits) que les inégalités, l’injustice, la loi du plus fort, la haine, la mort – ce qui nous relie plutôt aux races complètement dégénérées. Tant d’exemples le montrent inlassablement au niveau de ces soubresauts constants qui agitent notre petit oecoumène. Ce qui fait que nous sommes devenus complètement infréquentables avec notre manière d’agir habituelle. Notre comportement commun serait un peu comme celui de singes qui agresseraient systématiquement tout intrus qui oserait pénétrer sur leur territoire.
Mais nous ne sommes cependant pas vraiment responsables de notre état actuel. En effet, notre race, mixte, est apparue il y a quelque trois cent mille ans lors d’une manipulation génétique malheureuse, produite par une race elle-même déjà pervertie – celle des géants déjà évoquée plus haut. Depuis, tout va de mal en pis pour nous. Et cela malgré une remarquable expansion démographique, ce qui masque la réalité de notre confinement à une planète en sursis de l’arrivée de nouveaux cataclysmes globaux de forte ampleur. Notons aussi en notre faveur un fort développement technologique, très récent à l’échelle humaine, et encore bien mal maîtrisé et tellement fragile.
Maintenant, de deux choses l’une : soit nous poursuivons notre tendance au déclin et nous disparaissons définitivement ; soit nous évoluons enfin pour nous améliorer, et notre futur sera alors des plus radieux. Mais cela ne se fera qu’avec l’acceptation d’une coexistence fraternelle avec nos parents de l’espace… et rien n’est écrit d’avance à ce propos. Les oracles Aliens prédiraient eux qu’un nombre particulièrement important d’humains serait apte demain à passer à un degré supérieur de conscience. Une telle opportunité ne se reproduira hélas pas de si tôt…
[Laurent D. – le 09-07-05] |