Cela fait environ une dizaine d’années que je m’intéresse aux phénomènes aériens non identifiés. Cet intérêt, lié à une passion plus vaste pour tout ce qui touche à l’espace, a été renforcé par des observations personnelles. L’une d’elles a eu lieu dans le cadre d’une nuit d’observation organisée par l’association d’astronomie où j’étais alors.

Mais c’est délibérément que je n’en parlerai pas. Je souhaite en effet être fidèle au credo que je me suis imposé, c’est à dire de ne pas diffuser à tors et à travers des informations, sans se soucier des répercussions que cela pourrait avoir. A fortiori si ces informations sont considérées comme fiables et importantes.

Je comprendrai que l’on puisse voir ici un paradoxe. J’ai créé, il y a déjà un an un site Internet que j’ai appelé « DELTAWEB ». La nécessité de communiquer pour tenter d’en savoir davantage, d’améliorer les connaissances sur le phénomène des ovni s’était imposée. Internet permet de prospecter dans ce sens et de diffuser des travaux de manière souple et rapide. Néanmoins, la discrétion me semble primordiale. D’une part en raison de l’hésitation qu’ont certains scientifiques, malgré tout intéressés, à s’investir publiquement dans ce débat ; d’autre part parce qu’il me semble difficile de négliger un effet de « retour » (feed-back) de la masse d’informations diffusée sur les ovni. Cela peut en effet paraître dérisoire, sans position philosophique et morale.

DELTAWEB s’est donc présenté comme un compromis. Né d’une initiative individuelle, DELTAWEB n’est que la partie visible de DELTA, une association informelle d’individus intéressés par le phénomène des ovni. Certains « visiteurs » de DELTAWEB, si j’ose dire, ont regretté la longueur de certains articles. Pourtant, ce qui différencie DELTAWEB des autres sites, et plus généralement des autres écrits, sur les « ovni », c’est bien la volonté de fournir matière à réflexion. Le fait que l’on puisse parler du phénomène des ovni de manière précise, même intelligente, en précisant ce dont on parle, on donnant des références, en posant des questions, peut en effet surprendre compte tenu de ce qu’on peut entendre, lire et voir dans les médias.

DELTAWEB ne recherche pas de partisans pour soutenir quelque thèse conspirationniste mêlant trilatérale, franc-maçonnerie, ovni, Atlantes, implants et autres. L’esprit qui l’anime, c’est de mettre l’accent sur la notion de complexité, d’avoir une approche pluridisciplinaire du phénomène, d’améliorer sa connaissance en qualité et en quantité, de promouvoir des échanges entre chercheurs indépendants et scientifiques attitrés, de montrer que l’on peut parler autrement de ce phénomène.

[John N. – le 10-05-98]

Je vous serais grandement obligé, à quiconque pourrait me fournir des informations, références bibliographiques ou témoignages sur la personne, ci-après identifiée :

STANHOPE, Hester Lucy (1776-1839)

Une femme anglaise qui a beaucoup voyagée, fille de Charles STANHOPE, d’une rare beauté et de grande intelligence.

Ces voyages furent surtout centralisés en Asie Mineure (Moyen Orient). Elle aurait surtout établi ses quartiers en Syrie et au Liban. Elle jouit d’un pouvoir à son époque et fut même considérée en qualité de prophétesse, dans un certain milieu.

Amicalement et reconnaissant !

[Jean-Samuel G. – le 11-01-98]

Voici deux ouvrages qui peuvent ajouter une certaine bibliographie à ce sujet.

Je comprends qu’ils soient en anglais, mais qui se penche sur le fait Celtique, doit comprendre que la langue utilisée est l’Anglais.

De Steve Blamires on retrouve :
The Irish Celtic Magical Tradition.
256 pages, édité par Aquarian/Rhorsons

Aussi:

De Caitlin Matthews on retrouve :
The Celtic Book of the Dead.
136 pages, ensemble (genre Tarot),
cartes et napes.

Amicalement !

[Jean-Samuel G. – le 05-01-98]

Dernièrement j’écrivais à un contact, qui a perdu son épouse, il y a déjà quelques temps; que j’avais le grand bonheur d’avoir Jeannine avec moi depuis 47 ans, et que j’en rends hommage à Dieu (que Son Saint Nom soit béni) tous les jours. Que le mariage est à recommencer tous les matins dès son réveil. Lorsqu’une personne a bien compris la règle de « TROIS » Divine, de la création et de la réincarnation; on ne peut que porter à la compagne de ses jours, cette réciprocité que l’on porte à soi-même, rien de moins…

Ma formation scolaire se compose d’études secondaires avec les frères de l’école Chrétienne, ayant eu comme préfet ou directeur d’études des personnalités comme le Frère Marc André (fondateur de l’école de commerce de l’université Laval, aujourd’hui Faculté) le Frère Clément Lockwell (philosophe de réputation). De plus mon Cours Classique au Collège des Jésuites de Québec, et enfin le Grand Séminaire à Sainte-Anne de la Pocatière.

Le secret demeure toujours dans la quantité de bonne volonté, d’efforts personnels que le sujet était prêt à donner, ainsi que de collaborer. La formation que ces éducateurs nous ont donnés à l’époque fut merveilleuse.

– Né à Québec en 1926 (jeune poulet, pas de Hong Kong, n’est-ce pas ?).
– Formation universitaire.
– Père de trois enfants (tous plus de 40 ans).
– Service militaire (18 ans, pas pensionné), surtout dans le Corps de la Prévôté Canadien.
– 1958 à 1961, « Prévôt de la Citadelle de Québec.
– 1961 à 1962, affecté à la Force d’Urgence des Nations Unis au Moyen Orient « Chef Investigateur (Prévôté) ».
– 1962 à 1964, « Chef investigateur (prévôté) Camp Valcartier ».
– 1962, Etudes en Informatique, Université Laval (époque des cartes perforées).
– 1964, Gérant métallurgie de l’Islet (Fonderie de L’Islet).
– 1965, Officier de probation pour jeunes personnes mineures (Tribunal de la
jeunesse Québec).
– 1975, Transfert au C.S.S.Q.
– 1979, Transfert à la D.P.J. Québec.
– 1980, Nomination de Chef responsable provinciale, sécurité et rapatriements des jeunes personnes mineures (délinquances et protection).
– 1990, Retraité.

Vous vous étonnerez sans doute, en quoi cela regarde : ésotérisme, spiritualité et philosophie ?

Lorsque j’ai demandé à être libéré du Grand Séminaire, sur la recommandation de Mgr. Labrie, j’ai pu continuer de façon personnelle, mes recherches et mes études en ces domaines.

Mon voyage au Moyen Orient fut mis à profit et surtout je fus très privilégié. C’est ainsi que j’ai encore mieux compris cette dimension inconnue, et comme il n’y a pas de hasard, je fut favorisé par la Providence. Car la Grande Pyramide contrairement à la croyance générale, même scientifique, n’est pas un monument funéraire, mais bien le plus grand centre initiatique, et le seul endroit où sont donnés les plus hauts niveaux initiatiques, depuis des millénaires. Personnellement je crois que Yéoshua, avant l’âge de 12 ans, y a reçu sa si haute formation. Moi-même, par une faveur insigne de M. Jimblat, alors Premier Ministre du Liban, et également « Chef » des Druses, donna à mon insu, des instructions pour que je sois initié, le 4 février 1962, jour du passage de l’ère des Poisson à celui du Verseau. De 18:00 le soir à 06:00 le lendemain.

1978, fut une très belle année ! Un Conclave R.+ C. au Collège St.-Laurent à Montréal, sous la conduite de Raymond Bernard, qui fut suivit en 1979 de la Convention Mondiale à Québec, où j’ai eu le privilège de servir comme coprésident. C’est d’ailleurs la dernière fois que j’ai pu rencontrer mon Grand Ami Yolland Guérard, avant son départ pour la France.

[Jean-Samuel G. – le 31-12-97]

J’ai retiré le site Conscience et je l’ai complètement refait dans une nouvelle version (voir Autobiographie)qui ne sera pas disponible sur le Web, mais uniquement sur disquette et en livre. Les livres et disquettes seront disponibles dans les conférences ou par commande seulement.

Les chroniques traitent des sujets qui polarisent l’homme dans son mental. Elles ont pour but d’apporter une compréhension dans la psychologie de l’ego.

Le prix est de $ 19.95 canadien

J’offre les services suivants :

– Rencontre individuelle ou en groupe.
– Conférences…
– Consultation par courrier électronique.
– Pour me joindre ou pour commander le livre :
– Téléphone : indicatif régional (819) 474-8297 ou par Courrier électronique…

Province de Québec / Région : Drummondville

À bientôt…

[Michel T. – le 23-11-97]